26 research outputs found

    POMMES DE TERRE ROBUSTES EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE : ESSAI VARIETAL 2021

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    Dans le cadre d’une convention signĂ©e par tous les acteurs du secteur de la pomme de terre en novembre 2018 au Salon InterPom Primeurs, le CRA-W, la FIWAP et Biowallonie collaborent pour qu’en 2021, plus aucune variĂ©tĂ© non-robuste ne soit utilisĂ©e en AB. Cet essai est le fruit d’une collaboration constructive entre ces structures mais aussi les maisons de plants pour la fourniture des variĂ©tĂ©s. Au niveau du CRA-W, ce projet voit collaborer diffĂ©rentes unitĂ©s : la Cellule transversale de Recherches en Agriculture biologique (CtRAb), UnitĂ© BiodiversitĂ© et AmĂ©lioration des Plantes et ForĂȘts (U2), UnitĂ© Productions VĂ©gĂ©tales (U4), UnitĂ© Sols, Eaux et Productions IntĂ©grĂ©es (U7). L'objectif est qu'en 2021 plus aucune variĂ©tĂ© de pommes de terre non-robustes ne soit utilisĂ©e en Agriculture Biologique Une pomme de terre robuste, c’est quoi ? La mise au point de variĂ©tĂ©s de pommes de terre robustes est une tĂąche qui est en cours depuis de nombreuses annĂ©es au CRA-W. La rĂ©sistance au mildiou est la premiĂšre qualitĂ© recherchĂ©e pour la robustesse en variĂ©tĂ© de pommes de terre. Mais dans le contexte actuel d’évolution du climat, le concept de robustesse se veut plus global. Il englobe d’autres maladies, ravageurs frĂ©quents ou Ă©mergents, la sensibilitĂ© de la culture aux stress hydriques et tempĂ©ratures Ă©levĂ©es, mais Ă©galement une efficience plus Ă©levĂ©e pour les Ă©lĂ©ments nutritifs, en particulier l’azote. En AB, la prĂ©cocitĂ© de la culture est une caractĂ©ristique particuliĂšrement intĂ©ressante et recherchĂ©e pour garantir aux producteurs un rendement suffisant et de qualitĂ©

    POMMES DE TERRE ROBUSTES EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE : ESSAI VARIETAL

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    En 2018, une convention « pommes de terre robustes » a Ă©tĂ© signĂ©e en Belgique (suite Ă  celle signĂ©e aux Pays-Bas un an plus tĂŽt) par la majeure partie des acteurs de la « filiĂšre pommes de terre bio ». Cette convention s’étale sur une pĂ©riode allant de dĂ©but 2019 au 31 dĂ©cembre 2021. La production de pommes de terre bio s’est dĂ©veloppĂ©e et poursuivie ces derniĂšres annĂ©es en Belgique, en particulier en Wallonie. Le nĂ©goce et l’industrie ont dĂ©veloppĂ© leur gamme bio, souvent en proposant des variĂ©tĂ©s qu’ils connaissaient dĂ©jĂ  ou qui Ă©taient proposĂ©es par des maisons de plants. Il s’agissait de variĂ©tĂ©s souvent plus ou moins tolĂ©rantes (parfois mĂȘme assez sensibles) au mildiou
 Mais en annĂ©es Ă  fortes attaques de mildiou (2012, 2014 et 2016), les producteurs ont parfois vĂ©cu des drames suite Ă  des cultures dĂ©truites prĂ©cocement – dĂšs fin juin ou mi-juillet – avec des productions peu quantitatives (rendements trĂšs faibles, calibres insuffisants) et qualitatives (manque de maturitĂ©, de matiĂšre sĂšche, trop de grenailles et pas assez de gros tubercules). Suite Ă  cela, le secteur (producteurs, nĂ©goce et transformation, magasins et distribution) a rĂ©agi afin de trouver une solution. C’est ainsi qu’un « convenant » (une convention en nĂ©erlandais) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© - d’abord aux Pays-Bas, ensuite en Flandre et finalement en Wallonie - associant obtenteurs et maisons de plants, producteurs (plants et conso), nĂ©gociants et distribution afin de promouvoir progressivement l’utilisation de variĂ©tĂ©s robustes1 et rĂ©sistantes au mildiou. La convention - qui engage ses signataires - prĂ©voit qu’au 31 dĂ©cembre 2021, les personnes, firmes ou institutions (plus d’une centaine) qui sont parties prenantes : - n’utilisent plus que des variĂ©tĂ©s robustes dans leur gamme bio, Ă  choisir dans une liste (24 variĂ©tĂ©s en 2020) appelĂ©e Ă  Ă©voluer et s’étoffer ; - produisent assez de plants de ces variĂ©tĂ©s, afin que les planteurs aient assez de plants Ă  un prix raisonnable ; - ne vendent plus que ces variĂ©tĂ©s robustes dans leur gamme bio ; - chaque annĂ©e, les variĂ©tĂ©s prometteuses seront testĂ©es et suivies dans diffĂ©rentes zones du pays. Les rĂ©sultats de ces essais (Ă©valuation de la rĂ©sistance/tolĂ©rance au mildiou du feuillage au champ ; mesures de critĂšres quantitatifs et qualitatifs ; tests culinaires) devant ĂȘtre diffusĂ©s (liste des variĂ©tĂ©s robustes adaptĂ©es chaque annĂ©e), et pris en compte par les signataires

    POMMES DE TERRE ROBUSTES EN AGRICULTURE BIOLOGIQUE : ESSAI VARIÉTAL

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    Durant l’annĂ©e 2018, deux conventions « pommes de terre robustes » ont Ă©tĂ© signĂ©es en Belgique (une en RĂ©gion flamande en juillet, l’autre pour la RĂ©gion wallonne en novembre) par la majeure partie des acteurs de la « filiĂšre pommes de terre bio ». La production de pommes de terre bio s’est dĂ©veloppĂ©e et poursuivie ces derniĂšres annĂ©es en Belgique, et en particulier en RĂ©gion wallonne. Le nĂ©goce et l’industrie ont dĂ©veloppĂ© leur gamme bio, souvent en proposant des variĂ©tĂ©s qu’ils connaissaient dĂ©jĂ  ou qui Ă©taient proposĂ©es par des maisons de plants. Il s’agissait de variĂ©tĂ©s souvent (mais pas toujours, bien malheureusement !) plus ou moins tolĂ©rantes (rarement tout Ă  fait rĂ©sistantes) au mildiou
 Mais en annĂ©es Ă  fortes attaques de mildiou (2012, 2014 et 2016), les producteurs ont parfois vĂ©cu des drames suite Ă  des cultures dĂ©truites prĂ©cocement – dĂšs fin juin ou mi-juillet – avec des productions quantitatives (pas assez de tonnes, manque de grosses) et qualitatives (manque de maturitĂ©, de matiĂšre sĂšche, trop de grenailles et pas assez de grosses). Suite Ă  cela, le secteur (producteurs, nĂ©goce et transformation, magasins et distribution) a rĂ©agi afin de trouver une solution. C’est ainsi qu’un « convenant » (une convention en nĂ©erlandais) a Ă©tĂ© Ă©laborĂ© - d’abord aux Pays-Bas, ensuite en Flandre et pour finir en Wallonie - associant obtenteurs et maisons de plants, producteurs (plants et conso), nĂ©gociants et distribution afin de promouvoir progressivement l’utilisation de variĂ©tĂ©s robustes1 et rĂ©sistantes au mildiou. La convention - qui engage ses signataires - prĂ©voit qu’à l’échĂ©ance fin 2021, les personnes, firmes ou institutions qui sont parties prenantes : - N’utilisent plus que des variĂ©tĂ©s robustes dans leur gamme bio, Ă  choisir dans une liste (24 variĂ©tĂ©s en 2019) appelĂ©e Ă  Ă©voluer et s’étoffer ; - Produisent assez de plants de ces variĂ©tĂ©s, afin que les planteurs aient assez de plants Ă  un prix raisonnable ; - Ne vendent plus que ces variĂ©tĂ©s robustes dans leur gamme bio. - Chaque annĂ©e, les variĂ©tĂ©s prometteuses seront testĂ©es et suivies dans diffĂ©rentes zones du pays. Les rĂ©sultats de ces essais (Ă©valuation de la rĂ©sistance/tolĂ©rance au mildiou feuilles aux champs ; mesures de critĂšres quantitatifs et qualitatifs ; tests culinaires) devant ĂȘtre diffusĂ©s (liste des variĂ©tĂ©s robustes adaptĂ©es chaque annĂ©e), et pris en compte par les signataire

    CCDC 1820683: Experimental Crystal Structure Determination

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    Related Article: Arjan Geersing, Nathalie SĂ©gaud, Monique G. P. van der Wijst, Marianne G. Rots, Gerard Roelfes|2018|Inorg.Chem.|57|7748|doi:10.1021/acs.inorgchem.8b00714,An entry from the Cambridge Structural Database, the world’s repository for small molecule crystal structures. The entry contains experimental data from a crystal diffraction study. The deposited dataset for this entry is freely available from the CCDC and typically includes 3D coordinates, cell parameters, space group, experimental conditions and quality measures.

    Folic acid conjugates of a bleomycin mimic for selective targeting of folate receptor positive cancer cells

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    A major challenge in the application of cytotoxic anti-cancer drugs is their general lack of selectivity, which often leads to systematic toxicity due to their inability to discriminate between malignant and healthy cells. A particularly promising target for selective targeting are the folate receptors (FR) that are often over-expressed on cancer cells. Here, we report on a conjugate of the pentadentate nitrogen ligand N4Py to folic acid, via a cleavable disulphide linker, which shows selective cytotoxicity against folate receptor expressing cancer cells

    Multi-faceted implementation strategy to increase use of a clinical guideline for the diagnosis of deep venous thrombosis in primary care

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    BACKGROUND: A clinical decision rule (CDR), combined with a negative D-dimer test, can safely rule out deep venous thrombosis (DVT) in primary care. This strategy is recommended by guidelines, yet uptake by GPs is low. OBJECTIVE: To evaluate a multi-faceted implementation strategy aimed at increased use of the guideline recommended CDR plus D-dimer test in primary care patients with suspected DVT. METHODS: This multi-faceted implementation strategy consisted of educational outreach visits, financial reimbursements and periodical newsletters. 217 Dutch GPs (implementation group) received this strategy and included patients. Effectiveness was measured through the following patient-level outcomes: (i) proportion of non-referred patients, (ii) proportion of missed DVT cases within this group and (iii) the proportion of patients in whom the guideline was applied incorrectly. Implementation outcomes ('acceptability', 'feasibility', 'fidelity' and 'sustainability') were assessed with an online questionnaire. Patient-level outcomes were compared with those of patients included by 450 GPs, uninformed about the study's purposes providing information about usual care. RESULTS: 336 (54%) of 619 analyzable implementation group patients were not referred, missing 6 [1.8% (95% confidence interval 0.7% to 3.9%)] DVT cases. Incorrect guideline use was observed in 199 patients (32%). Self-reported acceptability, feasibility and expected sustainability were high. Guideline use increased from 42% to an expected continuation of use of 91%. Only 32 usual care GPs included 62 patients, making formal comparison unreliable. CONCLUSIONS: This multi-faceted implementation strategy safely reduced patient referral to secondary care, despite frequently incorrect application of the guideline and resulted in high acceptability, feasibility and expected sustainability

    Importance of Metal-Ion Exchange for the Biological Activity of Coordination Complexes of the Biomimetic Ligand N4Py

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    Metal coordination complexes can display interesting biological activity, as illustrated by the bleomycins (BLMs), a family of natural antibiotics that when coordinated to a redox-active metal ion, show antitumor activity. Yet, which metal ion is required for the activity in cells is still subject to debate. In this study, we described how different metal ions affect the intracellular behavior and activity of the synthetic BLM-mimic <i>N</i>,<i>N</i>-bis­(2-pyridylmethyl)-<i>N</i>-bis­(2-pyridyl)­methylamine (N4Py). Our study shows that a mixture of iron­(II), copper­(II), and zinc­(II) complexes can be generated when N4Py is added to cell cultures but that the metal ion can also be exchanged by other metal ions present in cells. Moreover, the combination of chemical data, together with the performed biological experiments, shows that the active complex causing oxidative damage to cells is the Fe<sup>II</sup>-N4Py complex and not per se the metal complex that was initially added to the cell culture medium. Finally, it is proposed that the high activity observed upon the addition of the free N4Py ligand is the result of a combination of scavenging of biologically relevant metals and oxidative damage caused by the iron­(II) complex

    Validation and impact of a simplified clinical decision rule for diagnosing pulmonary embolism in primary care : design of the PECAN prospective diagnostic cohort management study

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    Introduction Combined with patient history and physical examination, a negative D-dimer can safely rule-out pulmonary embolism (PE). However, the D-dimer test is frequently false positive, leading to many (with hindsight) 'unneeded' referrals to secondary care. Recently, the novel YEARS algorithm, incorporating flexible D-dimer thresholds depending on pretest risk, was developed and validated, showing its ability to safely exclude PE in the hospital environment. Importantly, this was accompanied with 14% fewer computed tomographic pulmonary angiography than the standard, fixed D-dimer threshold. Although promising, in primary care this algorithm has not been validated yet. Methods and analysis The PECAN (Diagnosing Pulmonary Embolism in the context of Common Alternative diagNoses in primary care) study is a prospective diagnostic study performed in Dutch primary care. Included patients with suspected acute PE will be managed by their general practitioner according to the YEARS diagnostic algorithm and followed up in primary care for 3 months to establish the final diagnosis. To study the impact of the use of the YEARS algorithm, the primary endpoints are the safety and efficiency of the YEARS algorithm in primary care. Safety is defined as the proportion of false-negative test results in those not referred. Efficiency denotes the proportion of patients classified in this non-referred category. Additionally, we quantify whether C reactive protein measurement has added diagnostic value to the YEARS algorithm, using multivariable logistic and polytomous regression modelling. Furthermore, we will investigate which factors contribute to the subjective YEARS item 'PE most likely diagnosis'. Ethics and dissemination The study protocol was approved by the Medical Ethical Committee Utrecht, the Netherlands. Patients eligible for inclusion will be asked for their consent. Results will be disseminated by publication in peer-reviewed journals and presented at (inter)national meetings and congresses
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