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    Profil des parasitoses intestinales chez les enfants ages de 0 a 5 ans au Togo.

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    Objective: To value the pertinence of the deparasitage says "systematic" at Togo, while establishingparasitic profile of the five sanitary regions of the country.Patients and methods: We conducted a retrospective study carrying on 2009 positive parasitological stool exams of under 5 years old children received in consultation and / or hospitalized in pediatricsservices of the Teaching Hospital Center of Kara and of the Regional hospital Center of Dapaong, Sokodés, Atakpamés, and Tsévié, from January 1st, 1999 to December 31, 2001, either a period of 3years.Results: On the 2009 positive parasitological stool exams, 61% came from boys and 39% from girls. The children the more touched were aged of more than 12 months, with a predominance of children of 48 at 60 months (34.45%). Diarrhea (41.3%), abdominal pains (23.6%) and vomits (17.7%) were the main motives of demand of stools exam. The parasitic groups isolated were protozoa (75.5%), helminths (20%) and fungi (4.5%). Monoparasitism (83.5%) was the most frequent means ofinfestation. The associations to two parasitic species have been recorded in 14.5% of cases and associations to three parasitic species were rather rare.Conclusion: The deparasitage says "systematic" in Togo should include imidazole, anthelminthic aiming the round worms and the flat worms, and sometimes an antifungal. Objectif : Evaluer la pertinence du déparasitage dit « systématique » au Togo, en établissant le profil parasitaire des cinq régions sanitaires du pays.Patients et méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 2009 examens parasitologiques de selles positifs des enfants de 0 à 5 ans reçus en consultation et / ou hospitalisésdans les services de pédiatrie du CHU – Kara et des CHR de Dapaong, Sokodé, Atakpamé, et Tsévié, du 1er Janvier 1999 au 31 Décembre 2001, soit une période de 3 ansRésultats : Sur les 2009 examens parasitologiques des selles positifs, 61% provenaient des garçons et 39 % des filles. Les enfants les plus touchés étaient âgés de plus de 12 mois, avec une prédominancedes enfants de 48 à 60 mois (34,45 %). La diarrhée (41,3 %), les douleurs abdominales (23,6 %) et les vomissements (17,7 %) étaient les principaux motifs de demande d’examen des selles. Les groupesparasitaires isolés étaient les protozoaires (75,5 %), les helminthes (20%) et les champignons (4,5 %). L e mode d’infestation le plus fréquent était le monoparasitisme (83,5 %). Les associations à deuxespèces parasitaires ont été enregistrées dans 14,5 % des cas et les associations à trois espèces parasitaires étaient plutôt rares.Conclusion : Le déparasitage dit « systématique » au Togo devrait comporter les imidazolés, les antihelminthiques visant les vers ronds et les vers plats, et parfois un antifongique.

    Soins traditionnels donnes aux nouveau-nés et nourrissons dans le district sanitaire de Kloto (Togo) : risques et avantages

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    Purpose: Evaluate the traditional practices of management of neonates and infants, to identify practices to encourage and practices to discourage in the promotion of child health in the health district of Kloto.Population and methods: it was a quantitative and qualitative cross-sectional investigation, conducted from May 28 to June 14, 2008 in the health district of Kloto, and which involved 21 traditional birth attendants, 21 tradipractitioners, 70 pregnant women, 70 lactating women and 70 neonates and infants 0-6 months.Results: more than nine out of ten tradipractitioners received consultation of newborns and infants. They administered care as oral decoction (4.8%), body massage (33.3%) and bath (57.1%). Thirty percent of the neonates had received their first bath since the birth and seventy percent within the first 24 hours of life. They had already received an indefinite nature ophthalmic ointment in 50% of cases. Neonates whose umbilical cord had been treated with ash or Shea butter were in 100% of cases in rural areas. More than eight traditional birth attendants on 10 (83.3%) knew that infants must take the first feeding as soon as its first hour of life. Two-thirds (66.7%) of traditional birth attendants in urban areas and the third party (33.3%) in rural areas felt that the first administration of water and complementary foods to infants should be before 6 months of age. According to 81.7% to 90% of pregnant women the customary time for initiation of infants at the first feeding is the hour after birth. They threw the colostrum in 20% or more of cases. According to 9 out of ten pregnant women first administration of water to the infant was traditionally after 6 months of age of the infant. The traditional time of the introduction of the first baby food is the period of 2 to 6 months of age of the infant, declared by over three quarters of pregnant women. These pregnant women actually introduced the first food to their babies before there one month of age in 100% of cases in urban areas and 75% of cases in rural areas. Introduced food type was porridge or other liquids in almost 100% of cases. According to the majority of lactating women, the customary time for initiation of infants at the first feeding is the hour after his birth. They directly used colostrum in 97.1% of cases. The traditional time of the first administration of water to the baby is before 6 months of age of the infant according to 9 out of 10 mothers. And according to 78.6% of these mothers, the introduction of the first baby food is traditionally from the sixth month of age of the infant. Introduced food type was porridge or other liquids in more than 90% of cases, the pulp or other foods in 1.6%.Conclusion: This study to measure the degree of involvement of the practitioners in the health of children, and we reflect the reality of beneficial or harmful traditional practices.Keywords: Traditional care, newborn and infant, risks and advantages, TogoJ. Rech. Sci. Univ. Lomé (Togo), 2012, Série D, 14(2) : 27-3

    Evaluation de la prise en charge des infections respiratoires aiguĂŞs chez les enfants de moins de 5 ans au Chu de Lome (Togo)

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    Introduction : La PCIME est une stratégie élaborée par l’OMS et l’UNICEF en vue de réduire la mortalité ainsi que la fréquence et la gravité des maladies les plus meurtrières chez l’enfant.Objectif : Evaluer la prise en charge des IRA chez les enfants de moins de 5 ans hospitalisés au CHU –Tokoin de Lomé au regard des directives de la stratégie PCIME (Prise en Charge Intégrée des Maladies de l’Enfant).Patients et Méthodes : Nous avons réalisé une étude rétrospective portant sur 378 dossiers de patients de moins de 5 ans hospitalisés pour IRA du 1er janvier 2004 au 31 décembre 2005 dans le service de pédiatrie du CHU – Tokoin, hôpital de référence du pays.Résultats : La fréquence hospitalière était de 5,81%. Les enfants de moins de deux ans étaient plus atteints (79,80%). Les garçons sont plus touchés (sex ratio=1,4). Près de la moitié des enfants avaient leurvaccination à jour (48,67%) ; 52,91% des enfants de moins de 2 ans étaient allaités au sein Les signes cliniques étaient classiques dominés par la toux (78,04%), la fièvre (67,19%) et les signes de lutte respiratoire 52,91% des cas. La pneumonie (31%) et la bronchite aiguë (24,60%) ont été les formes les plus fréquentes. La malnutrition protéino énergétique a été retrouvée chez 53,96% des enfants, l’anémie dans 47,35%. La prise en charge thérapeutique des malades ne correspond pas à cellerecommandée par les directives de PCIME, notamment avec une trop large utilisation d’antibiotique (95,50%,) dont 24,66 % pour " une toux ou un rhume "et dans un tiers des cas l’association céphalosporine de 3èmegénération + aminoside a été utilisée (30,75%). Le taux de létalité global était de 5, 03%; La plupart des patients n’ont pas été suivis après la sortie.Conclusion : Cette étude montre clairement les insuffisances de la stratégie classique pour la prise en charge des enfants de moins de 5 ans hospitalisés dans le service du CHU - Tokoin pour infections respiratoires aiguës, par rapport à la stratégie PCIME. Cette stratégie mérite donc d’être vulgarisée à tous les centres hospitaliers en vue d’améliorer la prise en charge des malades

    Prise en charge de la detresse respiratoire neonatale dans lunite de reanimation pediatrique du CHU-Tokoin Lome (Togo)

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    Introduction: La détresse respiratoire néonatale (DRNN) est une affection fréquente très meurtrière dont la prise en charge doit être bien codifiée. Au Togo, l’insuffisance du plateau technique et des difficultés d’organisation des soins rendent difficile la prise en charge. Très peu d’études ont été consacrées à la DRNN en Afrique Sub-saharienne. Le but de la présente étude est d’évaluer la prise en charge de la DRNN dans l’Unité de Réanimation Pédiatrique du CHU-Tokoin de Lomé.Patients et méthode d’étude: Il s’agissait d’une étude rétrospective ayant porté sur l’analyse de 219 dossiers des nouveau-nés à terme, hospitalisés du 1er janvier au 31 décembre 2007 pour DRNN ou l’ayant développé au cours de l’hospitalisation.Résultats: La fréquence de la DRNN était de 26,7% ; une prédominance masculine a été observée avec une sex-ratio de 1,67. L’âge des nouveau-nés était compris entre J0 et J7 dans 94,5% des cas; 51,5 des nouveau-nés étaient nés de mères primigestes. Les nouveau-nés par césarienne représentaient 23,7% ; 52% des nouveau-nés étaient réanimés en salle de naissance ; les nouveau-nés ayant eu un score d’APGAR ≥8 ont été réanimé à tort dans 14,9%, à la 1ère, 36,3% à la 5ème et 48,6% à la 10ème minute. Les principaux motifs d’hospitalisation étaient la détresse respiratoire (42,1%) et la réanimation en salle de naissance (19,1%) ; la tachypnée était le trouble du rythme respiratoire le plus fréquent (60,7%) ; le tirage intercostal (99,1%) et le battement des ailes du nez (95%) étaient des signes de lutte respiratoire les plus observés. Le score de Silverman était compris entre 5 et 7 dans 60,7% ; les signes de gravité les plus retrouvés étaient un score de Silverman ≥ 5(25,8%), la prostration (24,1%) et la cyanose (20%). Un bilan paraclinique été très peu demandé. Les principales étiologies étaient l’infection (47 ,9%), la souffrance néonatale (25,2%) et les troubles métaboliques (8,9%). Le traitement était essentiellement constitué d’oxygénothérapie, d’une bi-antibiothérapie parentérale (céphalosporine de 3ème génération + aminoside) de courte durée (durée moyenne ± 3,65 jours). Une surcharge hydrique a été observée dans 55,3% des cas. L’évolution a été favorable dans 42,5% des cas ; la létalité a été très élevée (45,2%). Les principales causes de décès étaient l’infection (47,5%) la souffrance (21,2%) et les troubles métaboliques (17,2%).Conclusion: Cette étude a révélé des insuffisances dans la prise en en charge des nouveau-nés en détresse respiratoire hospitalisés. L’amélioration de la qualité de la prise en charge de ces détresses respiratoires s’impose et cela doit passer par le renforcement du plateau technique de l’unité, des soins adaptés et un bon suivi du nouveau-né hospitalisé pour détresse respiratoire. Leur prévention passe par une bonne prise en charge de la grossesse et de l’accouchement et une bonne réanimation en salle de naissance si elle est indiquée.Mots clés: Détresse respiratoire, nouveau-né à terme, prise en charge, TogoEnglish AbstractBackground: Neonatal Respiratory Distress (NNRD) is a frequent affection which is very lethal and which management must be well codified. In Togo, inadequate technical equipment and organizational difficulties make the management difficult. Very few studies have been devoted to NNRD in Sub-Saharan Africa.Objective: Evaluate the management of NNRD in the Paediatric Intensive Care Unit of Tokoin Teaching Hospital of Lome.Method: It was a retrospective study on the analysis of 219 cases of infants born at term, hospitalized from January 1st to December 31st, 2007 for NNRD or having developed it during hospitalization.Results: The frequency of the NNRD was 26.7%; a male predominance was observed with a sex ratio of  1.67. The age of the newborns ranged between D0 and D7 in 94.5% of cases; 51.5% of the newborns were born to primigravidae. infants born by caesarean section accounted for 23.7%; 52% of infants were reanimated in the delivery room; newborns who had an APGAR score ≥ 8 were reanimated in 14.9% at the 1st, 36.3% at the 5th and 48.6% at the 10th minute. The main reasons for hospitalization were respiratory distress (42.1%) and reanimation in the delivery room (19.1%), tachypnea was the most common respiratory rythm trouble (60.7%); the intercostal pull (99.1%) and the flaring of the nose (95%) were the most observed signs of respiratory struggle. Silverman's score was between 5 and 7 in 60.7%; the most found signs of severity were Silverman’s score ≥ 5 (25.8%), prostration (24.1%) and cyanosis (20%). A paraclinical checkup was rarely asked. The main etiologies were infection (47. 9%), neonatal suffering (25.2%) and metabolic disorders (8.9%). The treatment consisted essentially of oxygen, bi-parenteral antibiotics (3rd generation cephalosporin + aminoside) of short duration (average duration ± 3.65 days). Fluid overload was observed in 55.3% of cases. The evolution was favorable in 42.5% of cases; lethality was very high (45.2%). The main causes of death were infection (47.5%) suffering (21.2%) and metabolic disorders (17.2%).Conclusion: This study has revealed insufficiencies in the management of hospitalized newborns with respiratory distress. Improving the quality of the management of these respiratory distresses is a must and can only be achieved by the improvement of the technical equipment of the unit, appropriate cares and proper monitoring of hospitalized newborns for respiratory distress. Their prevention requires good management of pregnancy and childbirth and a good reanimation in the delivery room when indicated.Keywords: Respiratory distress, newborn at term, management, Tog

    Place des intoxications aigues accidentelles dans les urgences pediatriques a Atakpame au Togo

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    Objectif : Déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, thérapeu-tiques et évolutives des intoxications aiguës accidentelles dans un hôpital régional en zone rurale au Togo où comme dans lespays en voie de développement certaines pratiques traditionnelles peuvent être néfastes.Patients et Méthodes : Il s’agit d’une étude de dossiers de 134 enfants des deux sexes âgés de 0 à 15 ans, hospitalisés pour intoxications aiguës accidentelles au cours des années 1994 à 2003 au CHR d’Atakpamé (un hôpital régional) au Togo.Résultats : Les intoxications aiguës accidentelles représentaient 1,08% des hospitalisations et 3% des urgences pédiatriques. Près de 2 enfants sur 3 (62,68%) étaient âgés de moins de 5 ans (âge moyen 4,52ans ±3,34). Le sex ratio est de 1,31. L’alcool éthylique occupait la première place (41,79%) suivi par le pétrole (20,89). L’intoxication par le pétrole prédominait entre 1et 2 ans et celle de l’alcool entre 3 et 5ans. L’intoxication par les caustiques était la plus grave. Les pesticides étaient retrouvés dans 8,96% des cas.Certains enfants ont reçu à domicile avant leur admission à l’hôpital de l’huile rouge (13,43%) du lait (5,22%) ou du miel (2,24%). Le traitement hospitalier comprenait l’élimination du toxique par les vomissements provoqués et la diurèse forcée dans un quart des cas (24,62%), les gestes de réanimation (aspiration des voies aériennes supérieures,  oxygénothérapie) chez un malade sur cinq (23,13%), un traitement symptomatique chez deux tiers des enfants (67,91%). Le taux de guérison était de 97,01% au décours d’un séjour moyen de 2,64 jours. Le taux de létalité était faible (0, 74%).Conclusion : Les intoxications aiguës accidentelles demeurent toujours un réel problème de santé publique notamment en milieu rural ; elles sont dominées par les accidents domestiques dont l’issue est souvent fatale. leur prévention efficace devra passer par une approche à la fois médiatique, épidémiologique et communautaire

    Place Du VIH / SIDA Chez Les Enfants Admis A La Pouponniere Sainte Claire De Lome (TOGO)

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    Introduction : La place de l’infection VIH/SIDA chez les enfants placés en pouponnière étant insuffisamment documentée dans notre pays, le présent article cherche à déterminer le profil social, l’évolution pondérale et le devenir des enfants à sérologie positive au VIH à la pouponnière Sainte Claire de Lomé qui accueille les enfants abandonnés ou en situation difficile.Patients et méthodes : Il s’agit d’une étude cas-témoin du 1er janvier 1997 au 31 décembre 2002 chez les enfants ayant une sérologie au VIH positive dépistée à l’admission à la Pouponnière Sainte Claire (PSC) de Lomé. Les témoins étaient des enfants séronégatifs pour le VIH, de même origine sociale, et reçus pendant la même période que le cas.Résultats : Parmi 192 enfants admis à la PSC, 111 ont été dépistés pour le VIH dont 18 avaient une sérologie positive (16,2%). Au moins trois enfants sur quatre (78%) à sérologie positive à l’admission avaient été des abandonnés et admis plus tardivement que les séronégatifs (79% vs 57%), Au moins trois enfants sur quatre (78%) à sérologie positive à l’admission (14/18) étaient des abandonnés alors que les orphelins ne représentaient que 17% des cas (3/18), le reste des enfants 5% (1/18) avait été de autres statuts (mère malade mentale, mère incarcérée).Parmi les enfants séropositifs suivis jusqu’à 18 mois (nombre) (66,7%) ont négativé leur sérologie entre 7 et 14 mois. Deux enfants restés séropositifs à 18 mois étaient infectés par le VIH. Il n’y a pas de différence significative entre la fréquence de consultation (2,56 vs 2,46 consultations par mois, p= 0,202), ni d’hospitalisation (22% vs 17%) entre les enfants à sérologie positive à l’admission et les enfants groupe témoin.Tous les enfants à sérologie négative et abandonnés à l’admission ont été adoptés avant l’âge de 1 an contre 25% des enfants à sérologie positive avant l’âge de 1an. Les 3/4 (75%) des adoptions dans le groupe des enfants à sérologie positive à l’admission et abandonnés se sont faites au Togo contre 40% des enfants à sérologie négative. Les enfants à sérologie positive arrivaient tardivement à la PSC (plus d’enfants séropositifs étaient admis tardivement et de façon significative au-delà d’un mois (43% vs 21%), p < 0,001 ) et ils avaient été plus souvent abandonnés. Cela suppose que la séropositivité pourrait être l’une des raisons de l’abandon de ces enfants par les parents. Mais pris en charge dans de bonnes conditions médicosociales, ils avaient une évolution pondérale normale, comparable à celle des enfants à sérologie négative. Conclusion : En attendant que soit suffisamment documentée la place du VIH dans l’abandon des enfants, les campagnes de sensibilisation sur le VIH / SIDA devraient prendre en compte les données de cette étude.Mots clés : Enfants, infection à VIH, pouponnière, Togo, Afrique.ABSTRACTBackground: More children were abandoning in difficult condition in our countries. What is the place of VIH/AIDS infection in this situation?Objective: To specify the social profile, the weight evolution and the outcome of children HIV- positive at Sainte Claire nursery at Lomé to contribute to understand the reasons of children abandoning (givenup) in Lomé (Togo).Method: It is retrospective study about taking care of children HIV-positive during a period of 6 years (January 1997 to December 2002).Results: Out of 192 children admitted in the institution 111 were checked (58%) and 18 were HIVpositive (16%). Most of them (78%) were abandoning and lately after 3 months, orphans were 17%. Among the children who were not really infected, two children for tree (66.7%) lost the HIV antibody between 7 and 14 mouths. Two children were positive at 18 months. The weight evolution was normal for all the HIV-positive children.Most of HIV- positive children (75%) were adopted at Togo against 40% of HIV-negative children. The HIV- positive children were admitted lately on the nursery and most of them abandoned. These suppose perhaps the HIV- positively could be an important reason for children abandoning by their parents. But taking in care correctly and not discreditably they were weight evolution normal.Conclusion: This information is important for HIV/AIDS sensitization campaign in ours countries.Keywords: Children HIV- positive, difficult situation, nursery, Togo, Africa

    Situation de la drepanocytose au Togo

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    Sickle cell disease is the most important hemoglobin abnormalities in our country where this disease is an impotant public health concern. The gene frequency of Hb S is estimated to 16.1%. The frequency of homozygous sickle cell disease is about 1.3% and 2.6% for SC sickle cell disease patients. We estimate that 171.600 people suffering from major sickle cell disease in Togo. Regarding Sickle cell disease the major problems are the lack of national program for the control of the disease; no neonatal screening is available and the lack of sickle cell disease center for the management of the patients. La drépanocytose est l’anomalie hémoglobinique la plus importante dans notre pays où elle constitue un problème de santé publique. La fréquence du gène de l’HbS est estimée à 16,1 %, celle de la drépanocytose homozygote est de 1,3 % et celle de la forme double hétérozygote de 2,6 %. On estime qu’environ 200.000 Togolais ont une forme majeure de drépanocytose. Les différents problèmes observés sont liés à l’inexistence d’un programme national de lutte contre la maladie, l’absence de dépistage néonatal et le manque de structures spécifiques de prise en charge

    Facteurs maternels de morbidite et de mortalite neonatales precoces lies a la grossesse et l’accouchement dans un hopital rural : Cas de l’hopital biblique batiste de Kpele-Tsiko (Togo)

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    But : Identifier les facteurs maternels de risque de morbidité et de mortalité néonatales précoces au sein dudit hôpital, afin de déterminer et de mieux orienter les actions à mener pour contribuer à la réduction dela mortalité néonatale au Togo.Patients et méthodes : Il s’est agi d’une étude rétrospective menée du 1er Janvier 2002 au 31 Décembre 2006, portant sur 221 femmes ayant accouché dans ledit hôpital, ou référées des maternités environnantes,et dont les bébés vivants, âgés de 0 à 7 jours, étaient hospitalisés pour détresse vitale. Les données recueillies provenaient des dossiers disponibles des mères. La collecte des données a été effectuée à l’aidede fiche d’enquête individuelle.Résultats : La majorité (71,4%) des mères avait commencé les consultations prénatales entre 4 à 6 mois de grossesse. Six mères sur dix (62,8%) avaient bénéficié de 4 à 6 CPN pendant la grossesse. Ellesavaient une prophylaxie anti-anémique et anti-palustre correcte (94,4%), la tension artérielle correctement surveillée (96,6%), le statut vaccinal correct (93,3%). Le paludisme (30,3%), l’infection urinaire (12,3%).étaient les pathologies dominantes des mères au cours de la grossesse. Ces femmes avaient porté une grossesse monofoetale (91,8%) et avaient accouché dans une formation sanitaire agréée (87,8%), à domicile (10,8%). Les principaux facteurs de morbidité périnatale identifiés étaient surtout : rupture des membranes de plus de douze heures (22,9%), souffrance foetale aigue (21,2%). La majorité (73,8%) des mères avait accouché par voie basse, et 26,2% par césarienne. Les mères étaient âgées de 18 à 35 ans (89,5%), multipares (75,7%), analphabètes (32,9%), ménagères (35%).Conclusion : Les facteurs maternels de morbidité et de mortalité néonatales précoces identifiés sont surtout d’ordre individuel et social, relevant d’une insuffisance de surveillance de la grossesse, du basniveau socio-économique des femmes. Des campagnes de sensibilisation centrées sur la santé de la femme, notamment de la femme enceinte, pourraient conduire au changement de comportement et accroître le recours à temps aux soins de qualité dans les formations sanitaires en cas de maladie ou de grossesse

    Place du lavement intra rectal dans les intoxications aigues en milieu rural au Togo

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    Objectif : Déterminer les caractéristiques épidémiologiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives des intoxications aiguës accidentelles dans un hôpital secondaire en zone rurale au Togo où comme dans lespays en voie de développement, certaines pratiques peuvent en favoriser leur gravité.Patients et Méthodes : Il s’agit d’une étude rétrospective analytique des dossiers de 124 enfants des deux sexes âgés de 0 à 10 ans, hospitalisés pour intoxications aiguës accidentelles au cours de l’année 2008 àl’hôpital « Yendoubé » de Dapaong au nord Togo.Résultats : La fréquence hospitalière était de 2,70% (124 intoxications aiguës sur 4583 malades hospitalisés). Au moins 9 enfants sur 10 (93,54%) étaient âgés de moins de 5 ans (âge moyen : 2,52 ans±1,34). Les intoxications par lavements intra rectaux occupaient le premier rang (73,38% des enfants), suivies par l’intoxication au pétrole et par l’alcool éthylique. Dans les intoxications par les lavements intra rectaux, les signes cliniques étaient dominés par la fièvre (60,43%), les signes respiratoires (57,14%), les douleurs abdominales (32,96%), l’anémie (27,47%), la déshydratation (23,07%) et le coma (23,07%).Certains enfants ont reçu à domicile avant leur admission à l’hôpital de l’huile rouge, du miel ou du lait. Le traitement hospitalier comprenait l’élimination du toxique par les vomissements provoqués et la diurèse forcée dans 33,70% des cas, les gestes de réanimation (aspiration des voies aériennes supérieures, oxygénothérapie) chez 19,41% des malades, et un traitement symptomatique chez 33,10% des enfants. Le taux de guérison était de 60,48% au décours d’un séjour moyen de 4,21 jours. Le taux de létalité global était élevé (29, 03%); l’intoxication par lavement intra rectal était responsable à elle seule de 83,33% des décès.Conclusion : Les intoxications aiguës accidentelles demeurent toujours un réel problème de santé publique notamment en milieu rural ; elles sont dominées par les lavements intra rectaux dont l’issue est souvent fatale. Leur prévention pour être efficace devra passer par une approche à la fois médiatique, épidémiologique et communautaire. Objective: To determine epidemiological, clinical, therapeutic and evolution characteristics of accidental acute intoxication in secondary hospital in rural underworld at Togo who as in many development countries some traditional practices can promote gravity.Method: It was a retrospective and descriptive study of 124 children of 0 to 10 years old files hospitalised in 2004 for accidental acute intoxication at Yendoube hospital at Dapaong (Togo).Results: Accidental acute intoxication cases represent 2, 70% of hospitalisation and concern less than 5 years old (93,54%), middle age 2,52 years-old ± 1,3. The rectal wash intoxication was on the first placewith 73, 38%, followed by petroleum and alcoholic intoxication. Clinical sign were various according to toxic product. In rectal wash most sign were fever (60,43%), respiratory sign (57,14%), stomach ache (32,96%), anaemia (27,47%), 23,07% become dehydrated and coma (23,07%). About the other’s intoxications sign were classics. Some children have received at home red oil (12.87%), milk (9, 68%) or honey (5, 65%). Hospitaltreatments were toxic elimination by vomit technical and diereses method (33.70%), reanimation practices (19, 41%) and symptomatic treatment (33, 10%). The death rate was 29, 03%, but rectal wash intoxication cause 83, 33% of the death.Conclusion: Accidental acute intoxication remain a reel public health problem especially in underworld outclass by rectal wash with many death. His prevention needs a media, epidemiological and community approached

    Profils épidémiologiques et cliniques des enfants handicapés mentaux des centres de l’Institut « ENVOL » du Togo

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    But : Dégager les aspects épidémiologiques et cliniques du handicap mental, en déterminer les étiologies afin d’envisager une approche de prise en charge appropriée des différents cas. Patients et Méthodes : Il s’est agi d’une étude descriptive portant sur 212 élèves de l’Institut Médico- Psycho-Pédagogique « ENVOL » du Togo, du 1er au 24 mars 2004. Résultats : Sur les 212 élèves examinés, 65 % étaient des garçons et 35 % des filles, avec un sex-ratio de 1,86. Ils étaient âgés de 16 ans en moyenne. A leur naissance, leurs mères avaient entre 20 et 29 ans (46,4%) et leurs pères entre 30 et 39 ans (45,4 %). La dysmorphie sans la morphologie de Trisomie 21 (84 %), le phénotype de Trisomie 21 (21,7 %) et l’infirmité motrice cérébrale (IMC) (10,8 %) étaient les principaux motifs d’admission aux centres « ENVOL ». Dans les antécédents, 93 % des élèves étaient nés par voie basse normale, 95,3 % étaient nés à terme, 31 % étaient associés à une anoxie périnatale, 12,3 % étaient épileptiques. Les tableaux cliniques étaient sous forme de syndrome dysmorphique (74,2 %) ou de dysmorphie isolée (25,8 %). Les anomalies prénatales (43 %) dont 71,4 % d’origine génétique, et les anomalies périnatals (21,7 %) dominées par l’anoxie périnatale (78,3 %) étaient les principales causes de retard mental. Conclusion : Cette étude nous a permis de nous rendre compte de la diversité étiologique et de la complexité de l’approche diagnostique du retard mental. Mots clés : Profils épidémiologiques et cliniques, enfants handicapés mentaux, Togo. Aim: To release the epidemiologic and clinical aspects of mental handicap, to determine the etiologies of them in the order to consider an approach of appropriated management of different cases. Patients and Methods: It was a descriptive study carrying on 212 pupils of Medico-Psycho-Educational institute “ENVOL” of Togo, from 1st to 24 march 2004. Results: On the 212 examined pupils, 65% were boys, 35% the girls, with a sex-ratio of 1.86. They were 16 years old on average. At their birth, their mothers had between 20 and 29 years (46.4%) and their fathers between 30 and 39 years (45.4%). Dysmorphy without the morphology of Trisomy 21 (84%), phenotype of Trisomy 21 (21.7%) and cerebral driving infirmity (10.8%) were the principal reasons for admission in the “ENVOL” institute’s centers. In the past medical history, 93% of the pupils had been born by normal vaginal delivery, 95.3 % were full-term infants, 31% were associated a perinatal anoxia, 12.3% were epileptics. The clinical pictures were in the form of dysmorphic syndrome (74.2%) or of isolated dysmorphy (25.8%). Anomalies prenatals (43%) including 71.4% of genetic origin, and anomalies perinatals (21.7%) dominated by perinatal anoxia (78.3%) were the principal causes of mental retardation. Conclusion: This study showed the etiologic diversity and the complexity of diagnostic approach of mental retardation.Key words: Epidemiologic and clinical profiles, mentally handicapped children, Togo
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