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    Effects of calorie restriction and IGF-1 receptor blockade on the progression of 22Rv1 prostate cancer xenografts.

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    Calorie restriction (CR) inhibits prostate cancer progression, partially through modulation of the IGF axis. IGF-1 receptor (IGF-1R) blockade reduces prostate cancer xenograft growth. We hypothesized that combining calorie restriction with IGF-1R blockade would have an additive effect on prostate cancer growth. Severe combined immunodeficient mice were subcutaneously injected with 22Rv1 cells and randomized to: (1) Ad libitum feeding/intraperitoneal saline (Ad-lib); (2) Ad-lib/20 mg/kg twice weekly, intraperitoneal ganitumab [anti-IGF-1R antibody (Ad-lib/Ab)]; (3) 40% calorie restriction/intraperitoneal saline (CR); (4) CR/ intraperitoneal ganitumab, (CR/Ab). CR and ganitumab treatment were initiated one week after tumor injection. Euthanasia occurred 19 days post treatment. Results showed that CR alone decreased final tumor weight, plasma insulin and IGF-1 levels, and increased apoptosis. Ganitumab therapy alone reduced tumor growth but had no effect on final tumor weight. The combination therapy (CR/Ab) further decreased final tumor weight and proliferation, increased apoptosis in comparison to the Ad-lib group, and lowered plasma insulin levels relative to the Ad-lib and Ad-lib/Ab groups. Tumor AKT activation directly correlated with plasma IGF-1 levels. In conclusion, whereas ganitumab therapy modestly affected 22Rv1 tumor growth, combining IGF-1R blockade with calorie restriction resulted in a significant decrease in final tumor weight and improved metabolic profile

    Effects of Calorie Restriction and IGF-1 Receptor Blockade on the Progression of 22Rv1 Prostate Cancer Xenografts

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    Calorie restriction (CR) inhibits prostate cancer progression, partially through modulation of the IGF axis. IGF-1 receptor (IGF-1R) blockade reduces prostate cancer xenograft growth. We hypothesized that combining calorie restriction with IGF-1R blockade would have an additive effect on prostate cancer growth. Severe combined immunodeficient mice were subcutaneously injected with 22Rv1 cells and randomized to: (1) Ad libitum feeding/intraperitoneal saline (Ad-lib); (2) Ad-lib/20 mg/kg twice weekly, intraperitoneal ganitumab [anti-IGF-1R antibody (Ad-lib/Ab)]; (3) 40% calorie restriction/intraperitoneal saline (CR); (4) CR/ intraperitoneal ganitumab, (CR/Ab). CR and ganitumab treatment were initiated one week after tumor injection. Euthanasia occurred 19 days post treatment. Results showed that CR alone decreased final tumor weight, plasma insulin and IGF-1 levels, and increased apoptosis. Ganitumab therapy alone reduced tumor growth but had no effect on final tumor weight. The combination therapy (CR/Ab) further decreased final tumor weight and proliferation, increased apoptosis in comparison to the Ad-lib group, and lowered plasma insulin levels relative to the Ad-lib and Ad-lib/Ab groups. Tumor AKT activation directly correlated with plasma IGF-1 levels. In conclusion, whereas ganitumab therapy modestly affected 22Rv1 tumor growth, combining IGF-1R blockade with calorie restriction resulted in a significant decrease in final tumor weight and improved metabolic profile

    Etude des déterminants structuraux de la sécrétion, de la bioactivité et de la spécificité de la gonadotropine équine, eLH/CG, dans le but de développer de nouvelles molécules à activité gonadotrope

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    L'élaboration de nouvelles molécules à activité gonadotrope, utilisables en zootechnie, nécessite une étude détaillée des régions nécessaires à l'activité hormonale. Cela impose également le développement de systèmes de production permettant d'obtenir une hormone recombinante biologiquement active in vivo en quantité suffisante. Les gonadotropines sont constituées par l'association non-covalente de deux sous-unités distinctes : a et b La sous-unité b confère la spécificité hormonale de chaque dimère a / b. Au cours de ce travail de thèse, nous avons étudié le rôle de la région C-terminale (séquence b 90-149) de la sous-unité beLH/CG supposée contenir les déterminants LH et FSH des gonadotropines. Les travaux effectués montrent que contrairement à l'hCG, le pont disulfure b26-110 n'est pas nécessaire au maintien du dimère de la eLH/CG et de la pLH, ni à l'expression de leurs activités biologiques. Par contre, l'absence de ce pont disulfure diminue de 30% la sécrétion de l'hormone par les cellules COS7. La mutation du pont disulfure b26-110 provoque une rétention intracellulaire de l'hormone. L'effet de la mutation du pont 26-110 sur la sécrétion de l'hormone est aboli lorsque les deux sous-unités sont liées en une seule chaîne (monocaténaire baeLH/CG). Par des délétions progressives de la région C-terminale de la sous-unité , nous avons identifié deux régions impliquées dans la sécrétion de la eLH/CG : d'une part la région b132-149 et d'autre part la région b104-109. La délétion de la séquence b110-149 n'affecte pas les bio activités LH et FSH in vitro de la eLH/CG (dimérique et/ou monocaténaire). Par contre, la mutation de la région b104-109 en alanine induit une chute de 80% de l'activité FSH in vitro de l'hormone. Ces travaux montrent que la région C-terminale de la sous-unité joue un rôle dans les processus de maturation et de sécrétion de la eLH/CG et est impliquée dans le déterminisme de l'activité FSH. Dans le but de développer des systèmes de production appropriés à la synthèse d'hormone recombinante, nous avons tenté de produire une eLH/CG monocaténaire (baeLH/CG) par transgénèse dans le lait de lapine. Cette hormone est produite a raison de 21 mg/l dans le lait et présente les mêmes activités LH et FSH in vitro que la eCG naturelle. Par contre, la baeLH/CG ne présente pas d'activité biologique in vivo du fait de son élimination très rapide après injection.TOURS-BU Sciences Pharmacie (372612104) / SudocSudocFranceF
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