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    Mortality Patterns and Public Health in Hamilton, Canada, 1900–14

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    In recent years a wide-ranging debate has focused on the origins and extent of the decline in mortality rates in Britain in the 18th century and in North America during the closing decades of the 19th century. Some historians suggest that the decrease was tied to a general improvement in living standards and in particular to better nutrition while others point to municipal public health measures carried out by vigilant medical health officers.This paper examines the experience of Hamilton, Ont., during a period of extreme urban and industrial expansion, 1900-14. The evidence, both qualitative and quantitative, suggests that these years were not a ''golden age" of public health: the health of Hamiltonians did not improve, and, in fact, mortality rates increased. Moreover, infants and children of the working class were the most obvious casualties of an inhospitable environment that hurt those least able to exert any degree of control over their circumstances. Public health was not a popular cause in the city, and as a consequence, much of the minimal progress that did occur was either fortuitous or the result of the exertions of one man, Dr James Roberts, the crusading medical health officer.Ces dernières années, un débat de grande envergure a porté sur l’origine et l’importance de la baisse du taux de mortalité en Grande-Bretagne au XVIIIe siècle, et en Amérique du Nord durant les dernières décennies du XIXe siècle. Certains historiens ont attribué cette baisse à une amélioration des conditions de vie en général et, en particulier, à une meilleure alimentation des gens, tandis que d’autres l’ont imputée à des mesures favorisant la santé publique, prises à l’échelle municipale par des directeurs de la santé particulièrement vigilants.Le présent article examine la situation de la ville d’Hamilton, en Ontario, durant une période de très grande croissance urbaine et industrielle, soit de 1900 à 1914. Les preuves dont on dispose, tant au point de vue qualitatif que quantitatif, laissent supposer que ces années ne furent pas un « âge d’or » pour la santé publique. En effet, la santé des résidents d’Hamilton ne s’est pas améliorée au cours de cette période; en fait, le taux de mortalité a augmenté. De plus, il semble que ce sont les bébés et les enfants de la classe ouvrière qui ont le plus clairement souffert d’un milieu hostile, particulièrement nuisible aux êtres ayant le moins d’influence sur leurs conditions de vie. La santé publique n’était pas une cause populaire dans cette ville et, par conséquent, une grande partie des progrès minimes qui y ont été accomplis l’ont été par accident ou ont résulté de l’effort d’un seul homme, le Dr James Roberts, directeur et champion de la santé publique

    Westem Language Publications on Religions in China, 1990-1994

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