Rupture au sein de la «mafia de la liberté» ? Octavio Paz, Mario Vargas Llosa... et les autres. Le regard de Proceso sur la «Rencontre Vuelta/Televisa», été 1990

Gachie-Pineda Maryse. Rupture au sein de la «mafia de la liberté» ? Octavio Paz, Mario Vargas Llosa... et les autres. Le regard de Proceso sur la «Rencontre Vuelta/Televisa», été 1990. In: América : Cahiers du CRICCAL, n°15-16, 1996. Le discours culturel dans les revues latino-américaines, 1970-1990. pp. 55-91

Penser et écrire le Mexique selon Carlos Fuentes : du roman à l'essai

Gachie-Pineda Maryse. Penser et écrire le Mexique selon Carlos Fuentes : du roman à l'essai. In: América : Cahiers du CRICCAL, n°22, 1999. Écrire le Mexique. pp. 91-112

Filiations, filiation in El mexicano, psicología de sus motivaciones de Santiago Ramírez (1977)

Gachie-Pineda Maryse. Filiations, filiation in El mexicano, psicología de sus motivaciones de Santiago Ramírez (1977). In: América : Cahiers du CRICCAL, n°19, 1997. Les filiations. Idées et cultures contemporaines en Amérique Latine. pp. 41-54

La diffusion du marxisme au Mexique à travers la revue Futuro (1933-1939)

Gachie Maryse. La diffusion du marxisme au Mexique à travers la revue Futuro (1933-1939). In: América : Cahiers du CRICCAL, n°4-5, 1990. Le discours culturel dans les revues latino-américaines de l'entre-deux guerres, 1919-1939. pp. 151-164

L’Université de Guadalajara, une "Université socialiste" ? Pouvoir politique et pouvoir universitaire (1953-1989)

La U.D.G. (Université de Guadalajara) est aujourd’hui la seconde université publique du Mexique. En 1940, elle comptait 478 étudiants de niveau baccalauréat (preparatoria) et 763 étudiants de niveau supérieur, répartis dans 8 écoles et facultés. Ses effectifs ont connu ensuite une véritable explosion : le boom a atteint 400 % dans les années 60. Elle est devenue une "université de masses". Elle compte aujourd’hui environ 215.000 étudiants (50 % de niveau preparatoria), 8200 enseignants, plus ..

Université et contre-Université dans le Mexique cardéniste : Universidad Autónoma de México et Universidad Obrera de Mexico

Fonctionnant tantôt comme mythe (sexennat d’Echeverria), tantôt comme nostalgie d’un paradis perdu (la candidature à la présidence de Cuauthémoc Cárdenas) dans un pays qui se débat depuis 1982 dans les affres et les rigueurs d’une crise chaque jour plus insupportable, le sexennat de Lázaro Cárdenas (1934-1940) est en réalité une étape incontournable de l’histoire du Mexique contemporain, l’une des clefs nécessaires au chercheur désireux d’appréhender un pays à la fois "proche et distant". Car..

La ciencia de la historia entre el positivismo y el idealismo en la universidad de Valencia (1918-1930)

La ciencia de la historia en España, en el primer tercio del siglo XX