The Roman baths at Karnak, between river and temple. Architectural study and urban context

International audienc

RETRATO SIN IDENTIFICAR [Material gráfico]

Copia digital. Madrid : Ministerio de Educación, Cultura y Deporte, 201

Préface

On savait depuis longtemps que les bains étaient merveilleusement nombreux en Égypte. On serait tentés aujourd’hui d’appliquer cette formule de P. Jouguet  à la Jordanie. Tel fut le constat du colloque international organisé à Amman du 21 au 24 mai 2008 par le programme Balnéorient (2006-2010)  qui avait pour objectif l’étude du phénomène balnéaire dans le bassin oriental de la Méditerranée. Cette rencontre, organisée conjointement par l’Institut français du Proche-Orient (Jean-Paul Pascual ,..

American Branch Report 1996

The seventh annual dinner of the American branch was held at the I Matti restaurant in Washington, D.C. on 29 December 1996. There was no formal programme, but the traditional toast was offered and greetings were delivered from members who could not attend. Those present particularly appreciated the messages from Kathleen and Bill Adams and from Harriet Williams. While we enjoyed excellent Italian food, there was lively conversation about recent works on George Eliot, film versions of various nineteenth-century novels, and our own projects and recent reading. Those in attendance were Marjorie Goss, Shoshana Knapp, Lee Pierson, Meri-Jane Rochelson, Ed Smith, and Linda K. Robertson. Ed Smith volunteered to prepare a Special Session proposal on George Eliot for next year\u27s Modern Language Association convention in Toronto

Compte-rendu de Aupert. P., Monturet R., « Saint Bertrand de Comminges, les thermes du forum »

in "comptes rendus bibliographiques

Balaneia grecs et hellénistiques, l'invention du bain collectif

National audienceLes Romains n’ont pas inventé l’eau chaude… ni l’art de s’en servir pour se laver et se détendre en compagnie. Les premiers exemples d’installations balnéaires collectives, attestés par l’archéologie et les textes, remontent au Ve siècle avant J.-C., à Athènes et à Olympie. Cette pratique se diffuse ensuite, tout au long de la période hellénistique, à l’ensemble du bassin méditerranéen voire au-delà. C’est de cette première tradition balnéaire grecque qu’émerge, dans la Campanie du IIe siècle avant J.-C., le modèle des thermes romains

Les « stucs perchés » d’al-Habis (Pétra), nouvelles approches

International audienceThe eastern cliff of the Jabal al-Habis, a rocky massif that overlooks the temple of Qasr al-Bint to the west, preserves the remains of two richly stuccoed walls perched some 20 m above the ground. These decorations, miraculously preserved but inaccessible, have recently been the subject of a graphic reconstruction, which was carried out without being precisely measured. This article, which is based on a three-dimensional digital model of the cliff, makes it possible to propose a detailed survey and a renewed reconstruction. It also explores, using the negative that the structure has left in the rock, architectural solutions likely to explain the presence of these stuccoes at such a height. The impressive building resulting from this analysis was supported and anchored to the cliff at a height of over 23 m. Its archaeological and stylistic context leads us to propose a hypothetical dating of the building in the last third of the first century BC.La falaise orientale du Jabal al-Habis, massif rocheux qui surplombe à l’ouest le temple du Qasr al-Bint, garde les vestiges de deux parois richement stuquées, perchés à une vingtaine de mètres au-dessus du sol. Ces décors, miraculeusement préservés mais inaccessibles, ont récemment fait l’objet d’une tentative de restitution, sans avoir pu être précisément mesurés. Cet article, qui s’appuie sur une modélisation numérique tridimensionnellede la paroi, permet d’en proposer un relevé détaillé et une restitution renouvelée. Il explore également, à l’aide du négatif que la structure a laissé dans le rocher, les solutions architecturales susceptibles d’expliquer la présence de ces stucs à une telle hauteur. L’impressionnant bâtiment qui découle de cette analyse s’appuyait et s’ancrait à la falaise sur plus de 23 m de haut. Son contexte archéologique et stylistique nous incite à en proposer une datation hypothétique dans le dernier tiers du Ier s. av. J.-C

Les bains romains de Sleim (Selæma), analyse architecturale et proposition de chronologie

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