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    Factors associated with acceptability of HIV self-testing (HIVST) among university students in a Peri-Urban area of the Democratic Republic of Congo (DRC)

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    Introduction: this paper examines the acceptability of HIV self-testing (HIVST) by students in a university in the DRC and identifies factors associated with uptake of HIVST. Methods: a cross-sectional study was conducted with a sample of 290 students from Kikwit University. Data were summarized using proportions and predictions of acceptability of HIVST by logistic regression. Results: the average age of students was 22.5 years, with the majority of the students being male (57%). Just over half the students sampled, reported being sexually active (51.8%). One hundred and sixty four (75%) reported that they had one sexual partner and fifty-six (25%) two or more sexual partners in the past year. Sixty-six percent had used condoms during their last sexual encounter. The acceptability of HIVST was high (81.4%) and 66.1% of students stated that they would confirm the self-test at a local health facility. The knowledge about the importance of the self-test (OR 5.02; 95% CI:1.33-18.88; p=0.017), the perception that counseling pre and post-test were important (OR 2.91; 95% CI:1.63-5.19; p < 0.0001) and the willingness to realize the test with a partner (OR 2.46; 95% CI:1.43-4.23; p=0.034) were factors associated with HIVST. Conclusion: the acceptability of HIVST was high and therefore its implementation is feasible in our country. However, prior to implementation, additional factors such as cost; access of HIVST; false reassurance of the test; missed early infections in the window period, limited counseling and linkage to care options, need to be considered

    Congrès AFMED 2017 : Co-infection VIH-Helminthiases intestinales à Kinshasa (RD Congo) : fréquence et facteurs associés: HIV-Helminthiasis co-infection in Kinshasa (DR Congo): frequency and associated factors

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    Objectifs. Montrer l‟ampleur des helminthiases intestinales chez les PVVs adultes en milieu de soins à Kinshasa et en identifier les facteurs associés.Méthodes. Étude transversale à visée analytique réalisée dans 8 structures de prise en charge des PVVs à Kinshasa choisies de manière aléatoire. Quatre cent vingt-deux PVVs adultes ont été incluses dans l‟étude selon une approche probabiliste. Un questionnaire pré-testé leur a été administré. Chaque patient avait remis un échantillon de selle conservé dans du formol à 10% pour examen par la méthode de RITCHIE. Les données ont été analysées l‟aide du logiciel SPSS version 21. La régression logistique a servi à identifier les facteurs associés à l‟infection helminthique chez les PVVs.Résultats. Sur 422 PVV, 324 étaient des femmes, soit un sex ratio de 1H/3,3F ; soit 10 H pour 33 F. L‟âge moyen était de 42 ans (ET =10 ans).La fréquence globale des helminthiases intestinales était de 22% (93/422). L‟helminthe le plus retrouvé était Ascaris lumbricoides 44/422 (10,4%) suivi de Trichuris trichiura (Trichocéphale) 33/422 (7,8%), et de Strongyloides stercoralis (Anguillule) 14/422 (3,3%). Ce dernier helminthe était associé à un taux de LT CD4 bas. Aucune infection helminthique mixte n‟a été détectée. Le taux de lymphocytes T CD4 médian était de 388 éléments/mm3 (EIQ : 342-412) pour toutes les PVVs de l‟étude, et 425 éléments/mm3 (EIQ : 373-456) pour les co-infectées, avec comme extrêmes : 13-1421 éléments/mm3. Plus de 70% de PVV étaient atteints d‟infections à faible intensité. Après ajustement, l‟utilisation d‟eau de robinet [OR ajusté 3,62 IC95% (1,04-12,58), p=0,018], la consommation des légumes crus ou fruits frais [OR ajusté 1,80 IC95% (1,11-2,92), p=0,018], la non consommation d‟eau traitée [OR ajusté 2,84 IC95% (1,81-4,72), p=0,018], le non lavage hygiénique des mains après usage de toilettes [OR ajusté 2,65 IC95% (1,14-8,21), p=0,010] et avant de manger [OR ajusté 2,01 IC95% (1,09-6,73), p=0,004] étaient les facteurs associés à l‟helminthiase intestinale.Conclusion. La co-infection VIH-helminthiasiase intestinale est fréquente à Kinshasa. Ascaris lumbrocoides est l‟helminthe le plus retrouvé. L‟immunodépression avancée favorise la strongyloïdose. Les campagnes de sensibilisation sur l‟éducation sanitaire et le déparasitage intermittent de masse chez les PVVs devraient être à envisagés
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