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    Senegal: Explorer le processus de la collaboration multisectorielle mise en place pour l’étude qualitative

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    En 2015, STEP UP a mené une étude qualitative sur l’expérience de femmes ayant subi une grossesse non désirée suite à un viol ou inceste dans la région de Dakar, Sénégal, en partenariat avec le Comité de plaidoyer pour l’accès à l’avortement médicalisé, plus connu sous le nom de «Taskforce». L’objectif général de l’étude était de développer une meilleure compréhension de la vie de ces femmes et d’apporter leur voix au débat sur la légalisation de l’avortement médicalisé. Cette étude de cas examine les caractéristiques de la collaboration, comment elle a été efficace, les leçons apprises, et les recommandations formulées pour de telles futures collaborations. --- In 2015, STEP UP conducted a qualitative study on the experience of women who have undergone an unwanted pregnancy following rape or incest in the region of Dakar, Senegal, in partnership with the Advocacy Committee for Access to Medical Abortion, better known as “Taskforce.” The overall objective of the study was to develop a better understanding of the lives of these women and to add their voice to the debate over the legalization of safe abortion. This case study examines the characteristics of the collaboration, how effective it has been, lessons learned, and recommendations for future such collaborations

    L’expérience de femmes ayant subi une grossesse non désirée au Sénégal : Une étude qualitative

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    Dans le cadre du projet Strengthening Evidence for Programming on Unintended Pregnancy (STEP UP), et sur financement de DFID, une étude qualitative a été menée dans la région de Dakar, au Sénégal, par le Population Council en partenariat avec la Taskforce pour développer une meilleure compréhension de la vie des femmes ayant subi une grossesse non désirée suite à un viol ou un inceste et apporter leur voix au débat sur la légalisation de l’avortement médicalisé. Actuellement, qu’elles décident de garder la grossesse non désirée ou de s’en débarrasser, dans tous les cas, leur vie en est affectée. En interdisant l’avortement, notamment en cas de viol/inceste, le Sénégal «viole» des droits protégés par différents traités et conventions qu’il a pourtant ratifiés. L’adoption d’une loi permettant l’avortement médicalisé est nécessaire pour le respect des droits humains et de santé des femmes; la diminution de la prévalence; et la réduction des conséquences des grossesses non désirées et des avortements à risque pour les victimes, leur famille, et la société en général. --- As part of the Strengthening Evidence Project for Programming and Unintended Pregnancy (STEP UP), and funded by DFID, a qualitative study was conducted in the Dakar region of Senegal by the Population Council in partnership with Taskforce to develop a better understanding of the lives of women who have experienced an unwanted pregnancy following rape or incest, and to contribute to the debate on the legalization of safe abortion. Currently, whether they decide to keep the unwanted pregnancy or not, in every case their lives are affected. By banning abortion, particularly in cases of rape/incest, Senegal “violates” rights protected by various treaties and conventions that it has ratified. The adoption of a law allowing safe abortion is necessary for the respect of human rights and women\u27s health; reduction in prevalence; and reduction of the consequences of unwanted pregnancies and unsafe abortions for victims, their families, and society in general
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