39 research outputs found

    Campagne SELECT 13 N/O Gwen-Drez - Du 10 au 28 avril 1997

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    Influence of the nature of the twine on the codend selectivity: Reminder: During the “SELECT 12” campaign in April 1996, we demonstrated that the nature of the material used for the manufacture of the trawl codend has an influence on the selectivity. Results showed that the use of single twine made of polyamide in the codend was more selective on hake and Nephrops than single twine made of polyethylene. Nevertheless single twine made of polyamide codend loses “flexibility” with use and therefore a study should be done to investigate its impact on selectivity (fishermen do not often use this equipment: however this 150 mesh net is particularly selective and it would be premature to discard it). Influence of the diameter of the twine and the mesh number on the selectivity of codends: These results show the high variability of codend charactistics tested on hake. The parameters tested during this campaign - e.g., diameter of the twine and mesh number (length of codend) - influence the selectivity of codends. It seems that the capture volume and the length of the codend are essential for the selectivity, while the nature of the equipment is secondary. However each parameter should be investigated in a future campaign. Furthermore, any regulatory measure that would seek to suppress the use of double twine polyethylene codend would be premature. Perspective: further experiment should be considered with the standard polyamide codend of 32.5 mm. • An additional experiment with the 100 mesh and 65 mm polyethylene double twine test codend to determine the influence of the mesh number on the selectivity; • An additional experiment with the 100 mesh deep and 65 mm polyethylene double twine (4 mm diameter) test codend to determine the influence of the diameter of the twine on the selectivity.Influence de la nature du fil sur la sélectivité des culs de chalut : Rappel : Lors de la campagne sélect 12, en avril 1996, nous avions montré que la nature du matériau utilisé pour la fabrication de la poche du chalut avait une influence sur la sélectivité. Les résultats montraient que l’utilisation d’une poche en polyamide fil simple était plus sélective sur le merlu et la langoustine qu’une poche en polyéthylène fil simple. Toutefois, une poche en polyamide fil simple perd de sa « souplesse » à l’usage et il conviendrait donc d’en étudier l’impact sur la sélectivité (les professionnels utilisent peu ce matériel : cependant ce maillage avec 150 mailles est particulièrement sélectif et il serait donc prématuré de le supprimer). Influence du diamètre de fil et du nombre de mailles sur la sélectivité des culs de chalut : Ces résultats montrent la grande variabilité de la sélectivité des poches testées sur le merlu. Les paramètres expérimentés lors de cette campagne –le diamètre de fil et le nombre de mailles (longueur des poches)- agissent sur la sélectivité des culs de chalut. Il semble que le volume de capture, la longueur de la poche soient primordiaux pour la sélectivité et que la nature du matériau soit secondaire. Toutefois, il conviendra dans une prochaine campagne d’étudier chaque paramètre. Par ailleurs, toute mesure réglementaire qui viserait à la suppression de l’utilisation d’un cul de chalut en polyéthylène double fil serait prématurée. Perspective : d’autres essais sont à envisager avec la poche témoin en polyamide de 32.5 mm. • Une expérimentation complémentaire de la poche test en polyéthylène double fil de 65 mm et de 100 mailles afin de déterminer l’influence du nombre de mailles sur la sélectivité ; • Une expérimentation complémentaire d’une poche test en polyéthylène simple de 65 mm et de 4 mm de diamètre et de 100 mailles de profondeur afin de déterminer l’influence du diamètre de fil sur la sélectivité

    LOUPE- Observation de l'habitat et des communautés associées dans le contexte des pêcheries du Gouf de Capbreton

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    Le projet LOUPE a pour objectif général d’acquérir des données complémentaires relatives aux pêcheries à partir d’observations à la mer sur des navires professionnels, avec le recueil de données spatialisées de l’effort de pêche et des captures associées (commerciales et rejets). Ces données sont complétées par un questionnaire socio-économique. Le but est de fournir des indicateurs simples prenant en considération les dimensions écologiques, économiques et sociales pour éclairer les choix des gestionnaires et favoriser la mise en œuvre et l’efficacité de la gouvernance pêche dans cet espace. Le projet propose également de mettre en œuvre un système vidéo fixe et autonome (VECOC) pour réaliser des observations vidéo sous-marines et permettre ainsi d’identifier les espèces présentes, de visualiser les conditions de capture et le comportement de l’engin. Ce dernier dispositif est testé sur la palangre uniquement

    Survival of discarded Nephrops norvegicus after trawling in the Bay of Biscay

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    The new Common Fisheries Policy may exempt some species from the landing obligation if a high survival rate can be demonstrated among discards. This study focuses on the survival capacity of Nephrops norvegicus discarded from trawlers of the Bay of Biscay (France). Three sea trials were conducted on board 3 commercial trawlers and 15 fishing operations were sampled. The vitality of Nephrops was classed into three categories (healthy, moribund or dead) before release at sea and samples of healthy and moribund individuals were kept in captivity on Nephrops grounds for three days. A Generalised Linear Model was used to examine the variability in the proportion of healthy Nephrops discarded, which was significantly influenced by tow duration, duration of air exposure and temperature, as well as individual length. By combining the results on vitality before release at sea with those on survival in captivity following re-immersion, resampled by bootstrapping, it was calculated that 51% [42–60%] of discarded Nephrops would survive after three days of re-immersion. We discuss the sources of variability in survival rate, as well as the implications of a potential exemption from the landing obligation for this species

    HYDROTAMIS. Evaluation et amélioration de la qualité des captures de civelles de l’UGA Loire, côtiers vendéens et Sèvre niortaise

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    La qualité des captures de civelles occupe une importance croissante pour optimiser les projets de repeuplement en France et en Europe et pour mieux valoriser la production. Aussi le Comité régional des pêches maritimes et des élevages marins des Pays de la Loire (COREPEM) a initié une étude visant à améliorer la qualité des captures de civelles de l’UGA LCV, première unité de gestion nationale en nombre de licenciés et en volume de production. Pour réaliser cette étude, le COREPEM s’est appuyé sur l’Ifremer (Laboratoire de Technologie Halieutique de Lorient), le Syndicat mixte pour le développement de la pêche et de l’aquaculture en Pays de la Loire (SMIDAP) et l’Association des pêcheurs professionnels de Loire-Atlantique (AADPPMFEDLA). Ce projet se divise en 3 étapes majeures : (i) la réalisation d’un état initial de la qualité des captures, (ii) l’identification des causes de lésions et (iii) la proposition d’améliorations sur les tamis à civelles le cas échéant. Sur la base de l’échantillonnage puis de l’analyse de près de 6 000 civelles, la qualité des captures de l’UGA peut être qualifiée de bonne, voire de très bonne selon les secteurs. La Loire a toutefois été identifiée comme étant le secteur présentant la marge de progression la plus importante. Différents tests en estuaires et en bassins ont par la suite permis de mieux identifier les sources de lésion : les civelles arrivent dans le tamis en se dirigeant directement, sans ralentir, vers le fond de la réserve, où elles coincent leur queue au travers des mailles. Lorsque le fond de la réserve est colmaté, le piquage des queues peut se produire en amont. Les civelles présentent alors des légères lésions au niveau de la queue, une zone particulièrement impliquée dans l’osmorégulation. Une fois le mucus abîmé à cet endroit, le déséquilibre des échanges ioniques entraîne dans la plupart des cas la mort de la civelle au cours des premières heures de stabulation. Pour prévenir ce phénomène qui représente 77 % des lésions observées, en concertation avec les professionnels et les scientifiques, 3 prototypes de tamis ont été développés. La surface d’entrée a été conservée mais des dimensions plus importantes et un maillage adapté devaient en effet diminuer le risque de frottement de la civelle sur la toile, et le risque de maillage dans le fond de la réserve. Un de ces trois prototypes testés en conditions réelles de pêche par 3 navires au cours de 12 marées, durant la saison de pêche à la civelle 2014-2015, produit une qualité de civelles supérieure au tamis standard de l’ordre de 25 %. Parmi les perspectives de l’étude, il s’agira de proposer ce tamis aux professionnels de Loire dès la saison 2015-2016 tout en les sensibilisant à l’importance de pêcher à une vitesse limitée durant un temps réduit, des paramètres indispensables à une production de bonne qualité

    Analyse des informations disponibles sur le dispositif « Raised Fishing Line »

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    Dans le cadre de la mise en place de mesures de gestion visant à préserver le stock de cabillaud de mer Celtique, la DPMA a sollicité l’expertise de l’Ifremer pour analyser les informations disponibles sur le dispositif sélectif prévu par l’article 13 « Remedial measures for cod and whiting in the Celtic Sea » : le « Raised Fishing Line » (RFL). Ce dispositif aurait pour but d’éviter les captures de cabillaud et s’adresserait aux flottilles chalutières ciblant plus de 20% d’églefin dans la zone de protection de la mer Celtique. A notre connaissance, ce dispositif RFL est décrit dans deux rapports rédigés en 2017 et 2019 par la Ireland’s Seafood Development Agency (BIM) et dans une publication scientifique de 2010 parue dans le journal « Fisheries Research ». Nous proposons de synthétiser les points forts et faibles du RFL présentés dans ces documents, ainsi que de mettre en lumière les informations manquantes mais nécessaires à une analyse exhaustive

    Informations sur les améliorations de la sélectivité des espèces/engins visés par les exemptions de minimis

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    Ce travail vise à évaluer les possibilités d’amélioration de la sélectivité pour les espèces / engins /zones visées par les exemptions de minimis (annexe 1), en fonction des données bibliographiques ou de résultats d’études

    Survie des rejets de langoustine après chalutage.

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    Le taux de survie des langoustines rejetées après chalutage est estimé aujourd’hui à 51% contre 30% dans les années 70-80. Cette valeur estimée expérimentalement est donc un majorant du taux de survie réel qui est impacté par de nombreux facteurs difficilement quantifiables. La mortalité des rejets peut être réduite par l’utilisation de table de tri et de goulotte d’évacuation lors du traitement de la capture. Cependant, la survie des langoustines au-delà du moment de leur remise à l’eau est difficile à évaluer, mais il est certain que leurs chances de survie sont réduites si elles sont rejetées en dehors des secteurs où les individus pourront retrouver un habitat qui leur est favorable

    PROJET « CAPS » : Cellule d’APpui à la Sélectivité

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    L’amélioration de la sélectivité et la diminution des rejets sont des thématiques sur lesquelles les professionnels de la pêche, en partenariat avec les scientifiques de l’IFREMER travaillent depuis de nombreuses années. Ces thématiques répondent, de plus, au contexte réglementaire de la Politique Commun des Pêches, car la sélectivité est un outil qui permet de s’adapter à l’obligation des débarquements. De nombreux dispositifs sont mises en oeuvre au quotidien par les pêcheurs français. Dans les dernières années, de nombreux projets ont été menés en partenariat avec IFREMER sur la sélectivité que ce soit sur le golfe de Gascogne (REDRESSE, OPTISEL, portés par l’AGLIA) ou en mer Celtique (CELSELEC porté par l’OP LPDB ou REJEMCELEC porté par l’OP Cobrenord). Certains dispositifs testés dans ces projets ont montré des résultats prometteurs. Afin de maintenir la dynamique engagée sur la sélectivité et d’optimiser le travail réalisé précédemment, l’AGLIA a mis en place le projet CAPS : « Cellule d’appui à la sélectivité » financé par France Filière Pêche et les Régions Bretagne, Pays-de-la-Loire et Nouvelle-Aquitaine. Ce projet « carte blanche » propose aux professionnels de la pêche de tester des dispositifs sélectifs de leur choix qui puissent répondre à leurs besoins spécifiques. Dans le cadre de ce projet, le pêcheur est acteur en proposant la problématique à traiter, en participant à la sélection du dispositif à tester et est moteur dans ces essais. L’objectif du projet CAPS est de favoriser l’adoption et l’appropriation de dispositifs sélectifs par les patrons volontaires. Le projet CAPS se décline en 3 phases. Dans un premier temps, un recensement des dispositifs sélectifs non obligatoires déjà utilisés par la profession sera entrepris en même temps que le recensement des nouveaux besoins et propositions de la profession. Selon les besoins exprimés, des essais en mer de dispositifs sélectifs seront réalisés sur des navires volontaires. Enfin, une analyse des essais sera réalisée et disponible pour être diffusée et communiquée auprès des professionnels et structures professionnelles

    Suivi stationnel (2007-2020) de l'herbier de zostères naines (Zostera noltei) et calcul de l’indicateur DCE « Angiospermes » (2020) dans la masse d'eau côtière FRFC09 – Lac d'Hossegor

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    Le calcul de l’indicateur angiospermes dans la masse d’eau FRFC09 – Lac d’Hossegor est basé sur le suivi de trois métriques (composition, extension, abondance) des deux espèces de zostères présentes dans le Lac : Zostera noltei et Zostera marina. Les résultats obtenus jusqu’en 2020 permettent d’affecter une « bonne qualité » à cette masse d’eau vis-à-vis de cet indicateur
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