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    Key signalling nodes in mammary gland development and cancer. Mitogen-activated protein kinase signalling in experimental models of breast cancer progression and in mammary gland development

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    Seven classes of mitogen-activated protein kinase (MAPK) intracellular signalling cascades exist, four of which are implicated in breast disease and function in mammary epithelial cells. These are the extracellular regulated kinase (ERK)1/2 pathway, the ERK5 pathway, the p38 pathway and the c-Jun N-terminal kinase (JNK) pathway. In some forms of human breast cancer and in many experimental models of breast cancer progression, signalling through the ERK1/2 pathway, in particular, has been implicated as being important. We review the influence of ERK1/2 activity on the organised three-dimensional association of mammary epithelial cells, and in models of breast cancer cell invasion. We assess the importance of epidermal growth factor receptor family signalling through ERK1/2 in models of breast cancer progression and the influence of ERK1/2 on its substrate, the oestrogen receptor, in this context. In parallel, we consider the importance of these MAPK-centred signalling cascades during the cycle of mammary gland development. Although less extensively studied, we highlight the instances of signalling through the p38, JNK and ERK5 pathways involved in breast cancer progression and mammary gland development

    L'assurance qualité à l'officine (le nouveau défi du pharmacien)

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    DIJON-BU MĂ©decine Pharmacie (212312103) / SudocSudocFranceF

    Disclosure of sexual abuse by adolescents treated in a psychiatry department

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    International audienceObjectives: The aim of the study is to describe the population of adolescents who have disclosed sexual abuse to a health professional during their care in a psychiatric department. We also want to discuss the circumstances that enable adolescents to make this disclosure.Methods: This single-center retrospective observational study is based on the mandatory reports (n=139) sent by a Paris adolescent psychiatry department between 2005 and 2021 after patients disclosed previous sexual abuse. R® (3.6.1) and RStudio® (1.2.5001) software were used for statistical analysis.Results: Girls accounted for almost all the adolescents who disclosed (95.7%). First abuse occurred around the age of 12 years and was first disclosed to a health professional a mean of 3.5 years later; 66 (47.5%) patients were admitted for inpatient care during their follow-up. The most common diagnoses were depression, eating disorders, posttraumatic stress disorders, and other anxiety disorders. Before disclosing to a health professional, most of these adolescents had already talked about it, mainly to a family member (69.8%) or peers (24.7%).Conclusion: This is the first study in France on the reporting of sexual abuse after its disclosure by adolescents being treated in a psychiatry unit. Our results show that child sexual abuse is rarely reported and that health care professionals are far from being the first recipients of these disclosures. We recommend routine screening for sexual abuse in adolescent psychiatry units, improved training for staff receiving these disclosures, and consideration of how best to coordinate medical, social, and legal services for these adolescents.Objectifs : Le sujet des violences sexuelles subies dans l’enfance est médiatisé depuis peu, ainsi que ses conséquences sur la santé mentale des victimes. La prise en charge adéquate de ces troubles dépend de la révélation des faits et de l’accueil qui lui est réservé. Notre étude a pour objectif principal de décrire la population des adolescents ayant révélé des violences sexuelles lors de leur prise en charge dans un service de médecine et psychiatrie pour adolescents, et de discuter des circonstances favorisant cette révélation.Méthode : Il s’agit d’une étude monocentrique observationnelle rétrospective réalisée à partir de signalements et informations préoccupantes rédigés suite à des révélations de violences sexuelles par un adolescent dans un service de pédopsychiatrie entre 2005 et 2021 à Paris. Cent trente-neuf écrits ont été inclus. Les données ont été analysées statistiquement avec le logiciel R® (3.6.1) et RStudio® (1.2.5001).Résultats : Le profil des adolescents ayant révélé des violences sexuelles correspond dans une large majorité à des victimes de sexe féminin (95,7 %). Les premières violences ont eu lieu vers 12 ans, avec une révélation à un professionnel de santé 3,5 ans plus tard en moyenne. Soixante-six victimes (47,5 %) ont bénéficié d’une hospitalisation en unité pédopsychiatrique. Les diagnostics les plus fréquents étaient la dépression, les troubles des conduites alimentaires, les troubles de stress post-traumatique et autres troubles anxieux. Avant de révéler à un professionnel de santé, une majorité des victimes avaient déjà parlé des faits à un ou plusieurs membres de la famille en majorité (69,8 %) ou à des pairs (24,7 %). Les violences rapportées consistaient en des pénétrations ou des attouchements par des hommes (97,7 %). Il y a eu plus de révélations de violences extrafamiliales (75,7 %) qu’intrafamiliales (24,3 %). Dans seulement 10,5 % des situations, une suite judiciaire était connue du service (audition, confrontation, examen médico-légal, instruction).Conclusion : Il s’agit de la première étude en France portant sur les signalements et informations préoccupantes pour révélations de violences sexuelles par des adolescents suivis dans un service de pédopsychiatrie. Il en ressort que les violences sexuelles dans l’enfance sont peu rapportées et que les professionnels de santé sont loin d’être les premiers dépositaires de ces révélations. Nous préconisons un dépistage systématique de ces violences chez les adolescents consultant en pédopsychiatrie. Il semble également essentiel de mieux former et accompagner les soignants face à ces révélations. Enfin, la question d’une meilleure articulation entre les services médicaux, sociaux et judiciaires pourrait donner lieu à une réflexion afin de mieux accompagner et protéger les mineurs victimes de violences sexuelles
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