Modeling of biocatalytic reactions: A workflow for model calibration, selection and validation using Bayesian statistics

We present a workflow for kinetic modeling of biocatalytic reactions which combines methods from Bayesian learning and uncertainty quantification for model calibration, model selection, evaluation, and model reduction in a consistent statistical framework. Our workflow is particularly tailored to sparse data settings in which a considerable variability of the parameters remains after the models have been adapted to available data, a ubiquitous problem in many real‐world applications. Our workflow is exemplified on an enzyme‐catalyzed two‐substrate reaction mechanism describing the symmetric carboligation of 3,5‐dimethoxy‐benzaldehyde to (R )‐3,3′,5,5′‐tetramethoxybenzoin catalyzed by benzaldehyde lyase from Pseudomonas fluorescens . Results indicate a substrate‐dependent inactivation of enzyme, which is in accordance with other recent studies

Performance Verification of the FlashCam Prototype Camera for the Cherenkov Telescope Array

The Cherenkov Telescope Array (CTA) is a future gamma-ray observatory that is planned to significantly improve upon the sensitivity and precision of the current generation of Cherenkov telescopes. The observatory will consist of several dozens of telescopes with different sizes and equipped with different types of cameras. Of these, the FlashCam camera system is the first to implement a fully digital signal processing chain which allows for a traceable, configurable trigger scheme and flexible signal reconstruction. As of autumn 2016, a prototype FlashCam camera for the medium-sized telescopes of CTA nears completion. First results of the ongoing system tests demonstrate that the signal chain and the readout system surpass CTA requirements. The stability of the system is shown using long-term temperature cycling.Comment: 5 pages, 13 figures, Proceedings of the 9th International Workshop on Ring Imaging Cherenkov Detectors (RICH 2016), Lake Bled, Sloveni

FlashCam: a fully-digital camera for the medium-sized telescopes of the Cherenkov Telescope Array

The FlashCam group is currently preparing photomultiplier-tube based cameras proposed for the medium-sized telescopes (MST) of the Cherenkov Telescope Array (CTA). The cameras are designed around the FlashCam readout concept which is the first fully-digital readout system for Cherenkov cameras, based on commercial FADCs and FPGAs as key components for the front-end electronics modules and a high performance camera server as back-end. This contribution describes the progress of the full-scale FlashCam camera prototype currently under construction, as well as performance results also obtained with earlier demonstrator setups. Plans towards the production and implementation of FlashCams on site are also briefly presented.Comment: 8 pages, 6 figures. In Proceedings of the 34th International Cosmic Ray Conference (ICRC2015), The Hague, The Netherlands. All CTA contributions at arXiv:1508.0589

Towards Protein Crystallization as a Process Step in Downstream Processing of Therapeutic Antibodies: Screening and Optimization at Microbatch Scale

Crystallization conditions of an intact monoclonal IgG4 (immunoglobulin G, subclass 4) antibody were established in vapor diffusion mode by sparse matrix screening and subsequent optimization. The procedure was transferred to microbatch conditions and a phase diagram was built showing surprisingly low solubility of the antibody at equilibrium. With up-scaling to process scale in mind, purification efficiency of the crystallization step was investigated. Added model protein contaminants were excluded from the crystals to more than 95%. No measurable loss of Fc-binding activity was observed in the crystallized and redissolved antibody. Conditions could be adapted to crystallize the antibody directly from concentrated and diafiltrated cell culture supernatant, showing purification efficiency similar to that of Protein A chromatography. We conclude that crystallization has the potential to be included in downstream processing as a low-cost purification or formulation step

«La relation de limitation et d’exception dans le français d’aujourd’hui : excepté, sauf et hormis comme pivots d’une relation algébrique »

L’analyse des emplois prépositionnels et des emplois conjonctifs d’ “excepté”, de “sauf” et d’ “hormis” permet d’envisager les trois prépositions/conjonctions comme le pivot d’un binôme, comme la plaque tournante d’une structure bipolaire. Placées au milieu du binôme, ces prépositions sont forcées par leur sémantisme originaire dûment métaphorisé de jouer le rôle de marqueurs d’inconséquence systématique entre l’élément se trouvant à leur gauche et celui qui se trouve à leur droite. L’opposition qui surgit entre les deux éléments n’est donc pas une incompatibilité naturelle, intrinsèque, mais extrinsèque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme d’un rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans d’autres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portée par un « tout » à un autre « tout ». De plus, l’inconséquence induite mise en place par la préposition/conjonction paraît, en principe, tout à fait insurmontable. Dans l’assertion « les écureuils vivent partout, sauf en Australie » (que l’on peut expliciter par « Les écureuils vivent partout, sauf [qu’ils ne vivent pas] en Australie »), la préposition semble en effet capable d’impliquer le prédicat principal avec signe inverti, et de bâtir sur une telle implication une sorte de sous énoncé qui, à la rigueur, est totalement inconséquent avec celui qui le précède (si « les écureuils ne vivent pas en Australie », le fait qu’ils « vivent partout » est faux). Néanmoins, l’analyse montre qu’alors que certaines de ces oppositions peuvent enfin être dépassées, d’autres ne le peuvent pas. C’est, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de résoudre le conflit dans les termes d’une somme algébrique entre deux sous énoncés pourvus de différent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numériques des termes de la somme étant déséquilibrées, le résultat est toujours autre que zéro. La relation exceptive, au contraire, qui n’implique pas le rapport « tout » - « partie », n’est pas capable de résoudre le conflit entre deux sous énoncés pourvus du même poids informatif et en même temps de signe contraire : les valeurs numériques des termes de la somme étant symétriques et égales, le résultat sera toujours équivalent à zéro