19 research outputs found

    Préambule…

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    Céphalométrie et décalage des bases

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    Les auteurs s'interrogent sur le point de savoir si les mesures céphalométriques réalisées à partir des méthodes proposées sont suffisantes pour établir un diagnostic correct. Ils proposent d'autres points et concluent que la mesure obtenue à partir de ces points semble couvrir plus de décalages squelettiques en présence d'une Classe I d'Angle

    La simulation des répercussions de la chirurgie orthognathique sur les structures faciales - Apport d'un outil de simulation des déplacements des arcades dentaires : le “P3D”

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    En présence d'importantes dysmorphoses maxillo-mandibulaires, un protocole orthodontico-chirurgical est mis en œuvre. Il est alors nécessaire de réaliser des “set-up” prévisionnels (céphalométrique, photographique et des moulages). Les “set-up” céphalométriques et photographiques sont le plus souvent informatisés, alors qu'au niveau des moulages il reste nécessaire d'effectuer des manipulations sur un articulateur. Traditionnellement, il faut découper ces moulages et les remonter au moyen de plâtre, ce qui est long et impossible à refaire plusieurs fois... Le système “P3D” permet de réaliser les “set-up prévisionnels” sur moulages sans découpages, sans manipulation de plâtre, en conservant la relation articulaire et cela plusieurs fois si c'est nécessaire. Après une description du système, des exemples d'utilisation sont présentés

    Classe 2 ou classe 3 molaire : comment établir une occlusion fonctionnelle ?

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    Le traitement orthodontique visant l’établissement d’une classe 2 ou d’une classe 3 thérapeutique peut être une solution économe aboutissant à une situation fonctionnelle satisfaisante moyennant quelques ajustements mineurs mais nécessaires. Il est absolument indispensable de bien comprendre la différence entre classe 2 totale et classe 2 partielle, ou classe 3 totale ou partielle. La classe partielle est à corriger, alors qu’il faut de très bonnes raisons pour corriger la classe 2 totale, ou la classe 3, et finir en classe 1, jamais en relation cuspide-cuspide (classe partielle). En classe 2 totale ou en classe 3 totale thérapeutiques, il est possible d’obtenir un calage satisfaisant moyennant des aménagements mineurs de position (inclinaison, rotation) ou de forme (soustraction, addition). Ces corrections nécessitent un examen attentif des moulages, parfois une simulation par set-up/wax-up

    Dysfonctionnement de l’appareil manducateur et malocclusions : existe-t-il une relation ?

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    Il y a beaucoup d’hypothèses concernant les relations qui peuvent exister entre Dysfonctionnements de l’Appareil Manducateur (DAM) et malocclusions. Au vu de la littérature actuelle, peut-on établir ou non des relations qui aient une valeur scientifique basée sur la preuve (evidence based medecine) ? Objectifs : analyser la littérature internationale traitant des relations existant entre les malocclusions et les Dysfonctionnements de l’Appareil Manducateur (DAM) de 2000 à 2009. Matériels et méthodes : sélectionner sur MEDLINE des articles publiés de 2000 à 2009, de langue française ou anglaise avec un résumé, répondant aux termes MeSH : « Malocclusion » et « Temporomandibular joint disorders ». Ces articles sont soumis à une analyse critique au moyen d’une fiche de lecture. Cette analyse permet un tri selon le type d’étude (descriptive, analytique...) et leur degré de méthodologie. Deux auteurs calibrés réalisent cette analyse et leurs résultats sont comparés. Résultats : 17 études issues d’un panel de 171 articles composent notre base de données : 9/17 sont des études transversales, 6/17 sont des études longitudinales, 1/17 est une étude cas-témoins, 1/17 est une étude de cohorte. 9/17 ont été approuvées par un comité d’éthique, 9/17 sont randomisées. Enfin, 17/17 présentent des calibrations des observateurs et des analyses statistiques des données. Des relations entre les malocclusions et les DAM sont mises en évidence, mais elles sont faibles. Les résultats varient considérablement selon les études, tant en ce qui concerne la malocclusion incriminée que le type de DAM. Au vu de ce travail, on ne peut établir une relation consensuelle entre DAM et malocclusions. En effet, les études réalisées ont peu de valeur scientifique, à cause de l’hétérogénéité des échantillons et des méthodes d’une part, et du manque de définitions clairement établies des termes « malocclusions » et « dysfonctionnements de l’appareil manducateur », d’autre part

    Malfunction of the masticatory system (Temperomandibular disorders TMD) and malocclusion: is there a relationship?

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    Many hypotheses concerning the relationships that might exist between the disorders of masticatory system or temperomandibular disorders (TMD) and malocclusions have been advanced. But, in terms of evidence-based medicine, can we say that any of them have scientific merit? The objective of our project was to analyze the existing international literature of the years 2000 to 2009 on the relationship between malocclusion and malfunction of the masticatory system. Materials and method: we used MEDLINE to find all papers written in French or English that had an abstract referring to “Malocclusion” and “Temperomandibular joint disorders.” We subjected them to a critical analysis using a reading record program that sorted the papers into types of study, descriptive or analytical, and the intensity of their methodology. Two of our authors calibrated this analysis and we compared their results. Results: We examined 17 studies out of a panel of 171 articles. Nine out of the seventeen were transverse studies, six were longitudinal studies, one evaluated cases and a control group, and one was a cohort study. An ethical committee had approved of 9 of the studies and 9 out of the group had been randomized. From all seventeen we collected calibrations from observers and made statistical analyses of the data. Our conclusion was that there is a relationship between malocclusion and TMD but that it is a weak one. The results of the different studies varied considerably as a factor of the type of malocclusion incriminated and the type of temperomandibular disorder reported. Our work indicated that a relationship between TMD and malocclusion cannot be established and the studies we reviewed had little scientific value primarily because of the heterogeneity of the samples and of the lack of clearly established definitions of the terms “malocclusion” and “disorder” of the masticatory system

    Modifications cutanées après chirurgie bi-maxillaire

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    L'objectif de cette étude est d'évaluer les modifications du profil cutané consécutives aux ostéotomies bi-maxillaires des classes II, face longue. Les dossiers de vingt patients adultes (âge moyen 21 ans et 3 mois) présentant une classe II squelettique et dentaire avec une face longue (ANB moyen de 7° et FMA moyen de 33°) ont été retenus. Ils présentent des teleradiographies de profil de bonne qualité, prises en moyenne 1mois avant et 10 mois après la chirurgie ; les dents sont en contact et les lèvres au repos. Des mesures linéaires des déplacements horizontaux et verticaux de 8 points osseux et 9 points cutanés ont été effectuées sur les tracés céphalométriques des téléradiographies préopératoires et postopératoires par rapport à un repère orthonormé. Les différentes données enregistrées dans des tables Excel ont été analysées statistiquement par le logiciel S.P.S.S.® : l'estimation de l'erreur des mesures, les corrélations entre les variables dento-squelettiques et cutanées ainsi que les équations de régression simples et multiples ont été calculées. Les résultats montrent que l'ensemble du profil cutané sous-nasal post-opératoire va pouvoir être prédit avec précision et ceci aussi bien dans le sens horizontal que dans le sens vertical. En effet, le pourcentage moyen de variance expliquée de nos schémas prédictifs est supérieur à 75 % et l'erreur moyenne est inférieure à 1,6 mm. Ces schémas prédictifs constituent un outil pratique d'explication des modifications de l'enveloppe faciale aux patients qui vont recevoir une chirurgie bi-maxillaire et un outil didactique pour les étudiants. L'exploitation informatique de ces données les rendra encore plus accessibles

    Intérêt de la distraction symphysaire dans le traitement de l’insuffisance transversale mandibulaire : à propos d’un cas clinique

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    La distraction osseuse est une technique ancienne utilisée avec succès dans le traitement des malformations cranio-faciales. Les indications de cette technique se sont élargies, notamment au traitement de l’endognathie maxillaire chez l’adulte. Plus récemment, la distraction symphysaire est proposée comme traitement de l’insuffisance transversale mandibulaire associée à un encombrement antérieur important. En préambule, les principes de l’ostéodistraction et les étapes cliniques de la distraction symphysaire sont rappelés. Puis la présentation d’un cas clinique illustre l’intérêt de cette technique
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