5 research outputs found

    Neurinomes et neurofibromes spinaux diagnostic et resultats du traitement chirurgical a yaounde

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    Description les neurinomes et neurofibromes spinaux restent très peu étudiés en Afrique sub-saharienne. Objectif rapporter les résultats du traitement chirurgical des neurinomes et neurofibromes spinaux à Yaoundé. Méthodes étude rétrospective menée à l’Hôpital Général et à l’Hôpital Central de Yaoundé, du 1er Janvier 1995 au 1er Janvier 2005. Critères d’inclusion: dossier médical comprenant les résultats de l’examen clinique pré et post opératoire, ceux des examens neuroradiologiques et histopathologiques, le compte rendu opératoire. Un suivi post-opératoire minimal de six mois. Le résultat fonctionnel été évaluée par l’échelle de Karnofsky. Résultats sur 62 patients opérés d’une tumeur intrarachidiennes, 12 (19,35 %) ont été sélectionnés (neuf neurinomes, deux neurofibromes, un neurofibrosarcome). L’age moyen était de 40,66 ans ±13,20, le sex ratio 0,71. La durée moyenne de symptômes avant le diagnostic était de 17,83 mois ± 5,81, extrêmes 6 et 28 mois ; le signe d’appel le plus fréquent était la radiculalgie (six cas). Cinq patients étaient paraplégiques. Le score deKarnofsky moyen préopératoire était de 50,00 ±12,79 et de 70,83±23,53 en postopératoire. Le siège tumoral était cervical (quatre cas), dorsal (six cas), lombaire (deux cas). La tumeur était extradurale dans six cas, intra durale quatre, intra et extradurale deux cas. L’exérèse était macroscopiquement complète dans neuf cas, partielle dans trois. Cinq patients ont connu une amélioration permettant une réinsertion professionnelle. Conclusion le diagnostic des neurinomes et neurofibromes reste tardif dans notre environnement, ce qui limite lerésultat chirurgical

    Acute subdural hematoma in a footballer following a head-ball of the ball: a rare neurosurgical complication

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    Abstract Acute subdural hematoma is a frequent complication of high-energy head injuries. Herein, we report an unusual case of this condition that occurred in a young footballer after he head-balled a football. A 37-year-old footballer, during a match, jumped and gave a head shot on the ball. Upon landing, he felt severe headaches forcing him out of the stadium. About 4 h later, he lost consciousness and went into a coma. After resuscitation, he remained clouded, with cephalalgia and had left hemiparesis. The performed brain scan revealed an acute right fronto-parietal subdural hematoma and the patient benefited from craniotomy surgery in our department with simple postoperative suites. The authors, after a brief discussion of the biomechanics of this serious condition, ask all the actors of this very popular sport, to consider the possibility of occurrence of this condition in players

    Brulures graves chez l'enfant : Aspects épidémiologiques et thérapeutiques à l'Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaoundé

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    Les brûlures représentent 70% des accidents domestiques des enfants. Les brûlures graves sont responsables d'importantes perturbations mettant en jeu le pronostic vital. Cette étude s'est proposée de définir les caractéristiques épidémiologiques et les modalités thérapeutiques des brûlures graves chez les enfants admis en réanimation pédiatrique de l'Hôpital Gynéco-Obstétrique et Pédiatrique de Yaounde. Il s'agit d'une étude rétrospective réalisée de septembre 2002 à mars 2004 (soit 19 mois). Les dossiers complets des patients de 0 à 15 ans pour brûlures graves étaient retenus. 560 enfants ont été hospitalisés et parmi ceux-ci 20 ont été admis pour brûlures graves. Il y avait 12 garçons et 8 filles soit un sexe ratio de 1,5. La tranche d'âge de 0 à 3 ans a été la plus représentée (75%). Les liquides chauds ont représenté l'agent causal le plus fréquemment rencontré. Aucun patient n'a été pris en charge au lieu de l'accident, cependant des méthodes traditionnelles ont été utilisées (poils d'animaux, miel, oeuf…). La prise en charge intra-hospitalière a consisté en un remplissage vasculaire, l'analgésie, des pansements locaux, des antisécrétoires et des anxiolytiques. 50% des enfants ont reçu une antibiothérapie systématique aux urgences dès leur admission. Nous concluons que les brûlures graves chez l'enfant sont fréquentes ; les liquides chauds étant le principal agent causal. Les mesures de prévention basées sur l'éducation des populations s'imposent. Une prise en charge adéquate et pluridisciplinaire est indispensable. Mots clés: Brûlures graves, enfants, epidémiologie, thérapeutique. Clinics in Mother and Child Health Vol. 1(2) 2004: 85-8

    The surviving sepsis campaign: basic/translational science research priorities

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