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    Tumeurs rares de l’ovaire: à propos d’une série de 11 cas de tumeurs non épithéliales malignes de l’ovaire

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    Les tumeurs non épithéliales malignes de l'ovaire représentent environ 20% des cancers de l'ovaire. L'objectif de notre travail est de dresser lesparticularités diagnostiques cliniques et d'imagerie de ces tumeurs. Nous avons procédé à une étude rétrospective portant sur 11 cas de tumeursnon épithéliales de l'ovaire. Ces tumeurs ont été colligées au service de gynécologie et obstétrique I du CHU Hassan II de Fès sur une période de 4 ans, entre janvier 2009 et décembre 2012. Les tumeurs germinales représentant 54% (6 patientes) des cas alors que les tumeurs du cordonsexuel ont été représentées par 4 cas de tumeurs de granulosa de type adulte et nous avons colligés un cas de lymphome ovarien primitif. Lasymptomatologie clinique était dominée par la distension abdominale associée souvent à des douleurs abdominopelviennes chroniques. La tailletumorale moyenne était de 175 mm avec un aspect solido-kystique dans 54% des cas. Le dosage des marqueurs tumoraux (hormone chorioniquegonadotrope, lactate déshydrogénase, CA 125, alpha-foetoprotéine) a été réalisé chez toutes les patientes. La découverte d'une masse annexiellesuspecte chez une jeune femme doit, outre une tumeur frontière ou un cancer épithélial de l'ovaire, évoquer une tumeur non épithéliale, a fortiorisi cette masse est volumineuse, si elle est associée à des signes d'hyperestrogénie ou d'androgénie

    Le mélanome primitif de la muqueuse génitale féminine: à propos de trois observations et revue de littérature

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    Le mélanome malin primitif de l'appareil génital féminin est une tumeur extrêmement rare. Il est fréquemment observé au niveau de la vulve mais il est rare au niveau du col utérin et du vagin. Il est le plus souvent   diagnostiqué à un stade tardif à l'occasion de métrorragies ou de massetumorale. Son histogénèse a été longtemps débattue. Le diagnostic est anatomo-pathologique avec recours nécessaire à l'étude   immunohistochimique. Sa prise en charge n'est pas codifiée avec plusieurs thérapeutiques proposées notamment dans le mélanome métastatique.Son pronostic est désastreux, associé à un taux élevé de récidives et à une courte survie. Les auteurs présentent trois observations, de  mélanomes primitifs vaginal, vulvaire et cervical, chez trois patientes âgées  respectivement de 70, 65 et 40 ans. Et à travers ces observations, ils mettent en relief les principaux aspects cliniques, histologiques, thérapeutiques de cette entité avec une revue de la littérature
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