43 research outputs found

    Lieutadès – Route de Vayssières

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    Le diagnostic mené sur la parcelle 120p de la section AB du cadastre de la commune de Lieutadès (15) les 20 et 21 avril 2022 n’a pas permis la découverte de vestiges archéologiques malgré un recouvrement important en partie basse de l’emprise. La partie haute est arasée. Le substrat apparaît immédiatement sous la terre végétale

    Soyons – Le Malpas

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    ve-vie s. apr. J.‑C. Le site n’était plus fortifié. La pente a apparemment servi de dépotoir et de zone de rejet de déblais de démolition ; du mobilier fin ve-début vie s. y a été retrouvé. Une grosse fosse de démolition/dépotoir a également été fouillée. Le site semble avoir été complètement réorganisé au début du vie s. iiie s. apr. J.‑C. Une occupation inattendue du iiie s. a pu être fouillée. Elle se présente sous la forme d’un espace de circulation, un lit de galets au niveau de la cassu..

    L’habitat fortifié à l’âge du Bronze et au premier âge du Fer sur le versant oriental du Massif central (Ardèche, Loire, Rhône)

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    Ce programme, initié en 2012, concerne l’étude de l’habitat fortifié dans la partie rhône-alpine du Massif Central qui constitue également son flanc oriental (départements de l’Ardèche, de la Loire et du Rhône). Le cadre chronologique concerne l’ensemble de l’âge du Bronze et du premier âge du Fer, depuis l’étape initiale du Bronze ancien jusqu’à La Tène A1 comprise. L’intégralité des sites fortifiés de manière visible (rempart) ou naturelle (topographie) et possédant une attribution chronolo..

    Bilan des occupations de Soyons au Ve s. av. J.-C.

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    La commune de Soyons (07) abrite une importante occupation du Ve s. av. J.-C. qui a pour originalité d’associer un site de hauteur, le Malpas, à un établissement de plaine dans le village actuel. Depuis les années 1960, Soyons est présenté comme un lieu privilégié pour l’étude des échanges nord/sud via le Rhône, qui passe aux pieds du site. Des opérations de fouilles programmées menées depuis 2013 sur le site de hauteur apportent de nouvelles informations sur la chronologie et la nature de l’occupation du site. Une fortification, avec un mode de construction complexe, est érigée au moment de l’entrée du site dans le réseau du commerce méditerranéen. Le plateau semble alors occupé par un habitat alors que la ville-basse est, entre-autre, le siège d’une activité de l’artisanat du bronze. Si le mobilier céramique est clairement de culture nord-alpine, certains marqueurs vont dans le sens d’une assimilation du mode de vie méridional par une partie de la population.The village of Soyons (Ardèche) houses an important 5th century AD settlement, which associates a hillfort, the Malpas, and a lowland site in the actual town. Since the 1960s, Soyons has been presented as a privileged spot for studying North/South exchanges in the Rhône valley. Since 2013, new excavations have been providing new data about the chronology and nature of the site's occupation. A complexe fortication was built when Soyons was included in the Mediterranean trade network. Here the plateau seems to be a place of habitat while a part of the lowland site is used as a place of bronze craft activity. The ceramic corpus clearly belongs to the north-alpine culture, however some markers point out an assimilation of the Southern lifestyle by a part of the population

    Le site de hauteur des Barasses à Balazuc (Ardèche)

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    Le site de hauteur des Barasses, jusqu’alors absent du corpus des sites perchés protohistoriques connus en Ardèche, a fait l’objet d’une première campagne archéologique en mai 2015, dans le cadre du Projet Collectif de Recherche « L’habitat fortifié à l'âge du Bronze et au premier âge du Fer sur le versant oriental du Massif Central : départements de la Loire, de l'Ardèche et du Rhône », puis d’une seconde, de manière indépendante, en juin 2016. Une phase de prospection suivie de l’ouverture de plusieurs sondages ont permis de déterminer diverses phases d’occupations et de fréquentations de l’éperon. Une occupation pérenne de la première moitié du premier âge du Fer a pu notamment être diagnostiquée, avec la présence de bâti en matériaux légers et périssables, ainsi que de diverses preuves d’artisanat et de consommation alimentaire. La présence importante de céramique d’importation inscrit le site des Barasses dans les réseaux de circulation et d’échanges rhodanien et méditerranéen, qui se développent à la transition des deux âges du Fer.The hilltop settlement of the Barasses, until then unknown among protohistoric perched settlements in Ardèche, was first the subject of an archeological campaign in May 2015. This work was part of the Collective Research Project "The fortified settlement from the Bronze Age and the First Iron Age on the eastern slope of the Massif Central: the Departments of the Loire, Ardèche and Rhone." A second independent study followed in June 2016. A phase of prospecting followed by the opening of several excavations made it possible to determine various phases of settlement on the spur. A perennial occupation of the first half of the First Iron Age could then be diagnosed, including the presence of constructions made of light and perishable material, as well as clear evidence of craftsmanship and food consumption. The significant presence of imported ceramics places the Barasses site in the Rhone and Mediterranean circulation and exchange networks, which developed at the transition of the two Iron Ages

    Séquence d'altérabilité croissante des granodiorites aux leucogranites orientés dans les arènes des granitoïdes de l'ouest Limousin

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    Dutreuil J.-P. Séquence d'altérabilité croissante des granodiorites aux leucogranites orientés dans les arènes des granitoïdes de l'ouest Limousin. In: Norois, n°102, Avril-Juin 1979. pp. 235-246

    S'emparer d'une Question Socialement Vive au Collège: Une approche collective du jugement réflexif à propos de la vaccination

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    International audienceCette étude s'inscrit dans le champ de la didactique de questions qui mobilisent et divisent : les Questions Socialement Vives, dans la visée de préparer les élèves à la participation citoyenne aux prises de décisions politique à propos de l'utilisation sociale des innovations technoscientifiques. Il s'agit ici d'interroger les situations didactiques permettant de confronter authentiquement les apprenants à ces QSV, à l'aune des jugements réflexifs construits au cours de la prise en charge individuelle et collective d'une telle question complexe. Dans cette communication, nous proposons d'examiner le jugement réflexif déployé par des collégiens français en zone d'éducation prioritaire, confrontés à la délicate question de l'hésitation vaccinale

    De l’éducation à la vaccination à l’éducation aux controverses socioscientifiques

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    International audiencensistant sur la dimension scientifique des enjeux contemporains, Irwin (2001) nomme citoyenneté scientifique la possibilité donnée aux citoyens non spécialistes d’intervenir de manière démocratique dans les choix de société en matière d’innovations technoscientifiques. Cette citoyenneté appelle une éducation dont les modalités, telle que la scolarisation de controverses socioscientifiques méritent d’être questionnées. Dans cet article, nous proposons une modélisation des approches d’éducation scientifique et politique, et l’examen de son potentiel à rendre compte de situations d’enseignement-apprentissage structurées par la scolarisation d’une controverse socioscientifique. Cette modélisation est un cadre multidimensionnel ancré dans la typologie de Levinson (2010). Nous l’utilisons pour penser et analyser des situations d’enseignement autour des controverses via une démarche du type Design experiment. Nous analysons deux séances de biologie menées avec des élèves français de 13 à 15 ans (classe de 4° de collège). Ils ont abordé avec leur professeur la délicate question de l’hésitation vaccinale, particulièrement sensible en France en se concentrant sur le cas du vaccin contre le papillomavirus

    De l'éducation à la vaccination à l'éducation aux controverses socioscientifiques. Un exemple d'engagement des élèves en classe de biologie

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    International audienceInsistant sur la dimension scientifique des enjeux contemporains, Irwin (2001) nomme citoyenneté scientifique la possibilité donnée aux citoyens non spécialistes d'intervenir de manière démocratique dans les choix de société en matière d'innovations technoscientifiques. Cette citoyenneté appelle une éducation dont les modalités, telle que la scolarisation de controverses socioscientifiques méritent d'être questionnées. Nous proposons de le faire via une démarche du type Design experiment (Cobb, Confrey, Lehrer, & Schauble, 2003) pour analyser deux séances de biologie menées avec des élèves français de 13 à 15 ans (classe de 4° de collège). Ils ont abordé avec leur professeur la délicate question de l'hésitation vaccinale, particulièrement sensible en France (Larson, et al., 2016 ; Raude & Mueller, 2017), en se concentrant sur le cas du vaccin contre le papillomavirus recommandé aux adolescentes (et bientôt aux adolescents), alors que son efficacité et son innocuité sont mis en doute dans les médias. Dans cette communication, nous prendrons appui sur la typologie des approches d'éducation scientifique et politique de Levinson (2010) pour montrer que l'articulation de deux stratégies complémentaires adoptées par le professeur a aidé les élèves à identifier des savoirs stabilisés mais aussi à problématiser un savoir controversé et à envisager leur positionnement comme dynamique/évolutif
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