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    Prospectives

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    Tiré de: Prospectives, vol. 3, no 3 (juin 1967)Titre de l'écran-titre (visionné le 24 janv. 2013

    La responsabilité du théologien

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    Responsibility is a concept with a dominant légal note. Its spécifies appear when we demarcate its field of application and tie it to a fonction with respect to a given public. The theologian's domain is that of Christian faith with a Dénomination. His responsibility is not exercised in the same way if he is a teacher, an educator or a writer. It is différent from that of the philosoph, the pastor or the prophet. Theologians who are writers sometimes worry authority and rock the community because their responsibility lies in the uncomfortable domain of taking on culture, which today is inhabited by doubt, into the intelligence of faith.La responsabilité est un concept à dominante juridique. On le précise en délimitant son domaine d'application, lié à une fonction s'exerçant à l'endroit d'un public défini. Le domaine du théologien est celui de la foi chrétienne dans une Confession. Sa responsabilité ne s'exerce pas de la même façon s'il est professeur, formateur ou écrivain. Elle se démarque de celle du philosophe, du pasteur et du prophète. Le théologien écrivain inquiète parfois l'autorité et ébranle la communauté, parce que sa responsabilité s'inscrit dans le domaine inconfortable de l'assomption de la culture, aujourd'hui habitée par le doute, dans l'intelligence de la foi.Duquoc Christian. La responsabilité du théologien. In: Revue théologique de Louvain, 36ᵉ année, fasc. 2, 2005. pp. 192-200

    Tradition et vérité - Le passé et la norme

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    Il semble devenu impossible, aujourd'hui, de reconduire purement et simplement les représentations classiques du rapport de l'Église à son passé, en raison même de l'annonce de l'Évangile aux cultures non occidentales et de l'effondrement de nos propres cultures. Si l'on retient les figures de la conjonction et de la disjonction comme explicatives du rapport tradition-vérité, deux exemples, pris dans l'histoire du christianisme, peuvent en éclairer la constitution et le fonctionnement : l'interprétation sacrificielle et expiatoire de la mort de Jésus, la question des ministères de l'Église.Duquoc Christian. Tradition et vérité - Le passé et la norme. In: Revue des Sciences Religieuses, tome 53, fascicule 3-4, 1979. Tradition et vérité. pp. 298-307

    La responsabilité du théologien

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    Responsibility is a concept with a dominant légal note. Its spécifies appear when we demarcate its field of application and tie it to a fonction with respect to a given public. The theologian's domain is that of Christian faith with a Dénomination. His responsibility is not exercised in the same way if he is a teacher, an educator or a writer. It is différent from that of the philosoph, the pastor or the prophet. Theologians who are writers sometimes worry authority and rock the community because their responsibility lies in the uncomfortable domain of taking on culture, which today is inhabited by doubt, into the intelligence of faith.La responsabilité est un concept à dominante juridique. On le précise en délimitant son domaine d'application, lié à une fonction s'exerçant à l'endroit d'un public défini. Le domaine du théologien est celui de la foi chrétienne dans une Confession. Sa responsabilité ne s'exerce pas de la même façon s'il est professeur, formateur ou écrivain. Elle se démarque de celle du philosophe, du pasteur et du prophète. Le théologien écrivain inquiète parfois l'autorité et ébranle la communauté, parce que sa responsabilité s'inscrit dans le domaine inconfortable de l'assomption de la culture, aujourd'hui habitée par le doute, dans l'intelligence de la foi.Duquoc Christian. La responsabilité du théologien. In: Revue théologique de Louvain, 36ᵉ année, fasc. 2, 2005. pp. 192-200

    Figures du démoniaque, hier et aujourd’hui

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    Le « retour de Satan », observable aujourd'hui en des manifestations fort diverses, pourrait bien renvoyer à la redécouverte, bruyante ou quotidienne, à la suite d'évènements terrifiants ou d'une déréliction sans remède au plan de l'histoire d'un « abîme noir » en l'humain. Redécouverte qui se laisse appréhender comme un double brouillage d'identité : l'image de Dieu oscille entre un versant positif et un versant négatif et l'humain s'en trouve comme traversé d'une fêlure, voire dédoublé. Si la foi toute chrétienne tient, tout entière, à la reconnaissance d'un salut gratuitement donné dans l'Événement christique insondable comme tel, comment fait-elle droit à la dimension d'épreuve, de combat, mais aussi à l'impératif de solidarité sans lesquelles la réalité et l'annonce du salut seraient privées de signification et de résonance ? Tels sont la question et l'enjeu de la session théologique, tenue aux F.U.SL. en 1991. Le parcours proposé comporte deux étapes : des mises en situation historiques - restitution de synthèses doctrinales et de glissements historiographiques - et anthropologiques font écho et interrogent des apports exégétiques, éthiques et théologiques visant à préciser ce qui nous est suggéré, à travers les figures du démoniaque, de ce qu'il peut advenir de la liberté humaine lorsqu'elle se retourne vers « Celui qui a, par la Croix, vaincu le Prince de Monde »
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