19 research outputs found

    Boulgakov, Œuvres, I, La Garde blanche, Nouvelles, récits, articles de variétés, Bibliothèque de la Pléiade, 1997. Édition publiée sous la direction de Françoise Flamant, avec la collaboration d'Edith Scherrer

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    Ducrey Anne. Boulgakov, Œuvres, I, La Garde blanche, Nouvelles, récits, articles de variétés, Bibliothèque de la Pléiade, 1997. Édition publiée sous la direction de Françoise Flamant, avec la collaboration d'Edith Scherrer. In: Revue Russe n°19, 2001. La Russie : un autre regard. pp. 70-72

    Boulgakov, Œuvres, I, La Garde blanche, Nouvelles, récits, articles de variétés, Bibliothèque de la Pléiade, 1997. Édition publiée sous la direction de Françoise Flamant, avec la collaboration d'Edith Scherrer

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    Ducrey Anne. Boulgakov, Œuvres, I, La Garde blanche, Nouvelles, récits, articles de variétés, Bibliothèque de la Pléiade, 1997. Édition publiée sous la direction de Françoise Flamant, avec la collaboration d'Edith Scherrer. In: Revue Russe n°19, 2001. La Russie : un autre regard. pp. 70-72

    Dramaturgie du seuil

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    Nouvelles réflexions sur l’espace Dans un article déjà ancien intitulé « L’espace dans trois pièces de M. Maeterlinck : Les Aveugles, L’Intruse et Intérieur », Helmut Klose pointe ce qui me semble être une clé du théâtre maeterlinckien : Dramaturgiquement parlant, la problématique spatiale se pose dans les trois pièces chaque fois différemment mais a ceci de commun : lorsque la question de l’espace ne se pose plus, la représentation est close. Et il conclut : « nous assistons tout au long du..

    Boulgakov : de la littérature engagée à l’engagement littéraire

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    « Les manuscrits ne brûlent pas », affirme Woland, un des personnages principaux du Maître et Marguerite de Mikhail Boulgakov. La phrase semble répondre, quelque deux décennies plus tard, à l’adage évoqué par le narrateur de Notes sur des manchettes, « Les écrits restent  ». Cet écho évident ne doit cependant pas faire illusion. S’il affirme bien, de part et d’autre de la carrière littéraire de Boulgakov, l’idée de la pérennité de l’écrit et donc l’unité profonde qui se tisse d’œuvre en œuvre..

    Le mystère au Moyen âge : élaboration d’un genre ou problème de terminologie ?

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    Lorsque le terme de mystère resurgit dans les dernières décennies du xixe siècle, puis tout au long du xxe siècle, il désigne des textes et des formes dramatiques tellement variés qu’on peine à identifier la logique générique à l’œuvre dans tous ces usages. La perplexité augmente si l’on tente de rapprocher les mystères modernes (fin xixe-xxie siècles) des pratiques médiévales telles que nous les ont révélées les études des spécialistes de l’époque et du genre. Deux hypothèses peuvent être fo..

    Sibylles fin de siècle

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    Au risque de décevoir le lecteur, les Sibylles fin de siècle n’ont rien de particulièrement sulfureux. L’esprit décadent, s’il habite bien les textes que nous allons parcourir, ne privilégie pas les mœurs malsaines, mais une certaine forme de proximité avec le monde des morts, tissant ainsi un lien avec quelques-unes des figures de la Sibylle, et notamment celle de Cumes que le texte de Virgile a inscrite dans l’imaginaire occidental. En fait, il s’avère bien difficile de trouver des Sibylles..

    Remerciements

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    Cet ouvrage n’aurait pu voir le jour sans le soutien d’un certain nombre de personnes, de services et d’institutions que nous remercions vivement : les deux Équipes d’accueil, les Universités Paris-Sorbonne et Strasbourg qui ont accueilli les deux manifestations scientifiques préliminaires, la directrice du CRLC Véronique Gély, le directeur de l’Institut de Littérature générale et comparée Guy Ducrey, le premier vice-président de l’Université de Strasbourg Michel Deneken, le service Action cu..

    Renaissances du Mystère en Europe : Fin xixe siècle - début xxie siècle

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    Destin extraordinaire que celui du mystère ! Secret à ses origines, puis extrêmement populaire au Moyen Âge et de ce fait interdit en France. Quasi oublié dans les siècles qui suivent, toujours repris, souvent trahi, le genre du mystère ressurgit en force à la fin du xixe siècle un peu partout en Europe, et semble toujours bien vivace en ce début du xxie siècle. Mais les spectacles pluriels qu'il désigne, les pratiques théâtrales qu'il implique, n'affichent plus qu'un lointain rapport avec les modèles antique et médiéval. De Dumas à Castellucci, de Lorca à Pommerat, de Claudel à Dario Fo, de Barnes à Tabori, quel sens faut-il donc donner au mot mystère ? Les formes modernes qui se développent depuis la fin du xixe siècle relèvent-elles du genre du mystère ? Et d'ailleurs, est-on fondé à parler de genre ? Si les mystères antiques, réservés aux seuls initiés, ont gardé nombre de leurs secrets, les travaux des spécialistes du Moyen Âge ont éclairé les formes et les enjeux didactiques et spectaculaires des mystères médiévaux. Il manquait une étude générale sur les formes modernes, voire contemporaines, du mystère en Europe. C'est désormais chose faite. Des chercheurs français et étrangers issus de plusieurs disciplines, des praticiens du théâtre, des romanciers se sont attachés à comprendre la pérennité du mystère jusqu'à nos jours, à en cerner les déclinaisons et réinvestissements, tout en faisant apparaître les enjeux que lui confère la modernité
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