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    Brie-Comte-Robert – 28-30 rue des Écoles

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    Le diagnostic archéologique mené sur la parcelle située rue des Écoles à Brie-Comte-Robert s’est avéré négatif. En effet, les sondages n’ont livré aucun vestige d’occupation humaine antérieure à la période moderne. La principale activité reconnue se manifeste par la présence d’un très haut front de taille lié à l’extraction à une échelle industrielle du calcaire de Brie, sans doute destiné à la production de chaux et à la construction au cours des xviie-xixe s. D’autres vestiges comprenant de..

    Garches (Hauts-de Seine), 6-12 rue de l'Eglise : rapport de diagnostic

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    Situé en coeur de bourg de la commune de Garches, le diagnostic archéologique couvre une emprise de 3 157 m2 au nord de l'église Saint-Louis. Topographiquement, l'assiette correspond à un méplat sur les versants sud et sud-est d'un rebord de plateau rejoignant la vallée de la Seine. Cinq tranchées ont été pratiquées sur l'ensemble de la surface dont une sous la forme d'un sondage profond atteignant les sables de Fontainebleau, substrat identifiée sur la carte géologique au 1/50 000e. Aucun vestige archéologique de périodes antérieures à l'urbanisation des parcelles intervenue à la fin du XIXe siècle, n'a été identifié. Les terres végétales, ou terres de labour, constituant les horizons pédologiques ne comprennent aucune inclusion anthropique permettant de témoigner d'occupations humaines anciennes

    Garches (Hauts-de Seine), 6-12 rue de l'Eglise : rapport de diagnostic

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    Situé en coeur de bourg de la commune de Garches, le diagnostic archéologique couvre une emprise de 3 157 m2 au nord de l'église Saint-Louis. Topographiquement, l'assiette correspond à un méplat sur les versants sud et sud-est d'un rebord de plateau rejoignant la vallée de la Seine. Cinq tranchées ont été pratiquées sur l'ensemble de la surface dont une sous la forme d'un sondage profond atteignant les sables de Fontainebleau, substrat identifiée sur la carte géologique au 1/50 000e. Aucun vestige archéologique de périodes antérieures à l'urbanisation des parcelles intervenue à la fin du XIXe siècle, n'a été identifié. Les terres végétales, ou terres de labour, constituant les horizons pédologiques ne comprennent aucune inclusion anthropique permettant de témoigner d'occupations humaines anciennes

    Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), Quartier des Paradis : rapport de diagnostic

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    Situé au sud de la commune de Fontenay-aux-Roses le \guillemotleft Quartier des Paradis \guillemotright, intégrant le grand complexe des Blagis aux confins des communes de Sceaux et de Bagneux dans les Hauts-de-Seine, fait l'objet d'un projet de réaménagement et d'amélioration de grande envergure. Caractéristique des constructions collectives de la fin des années 50 et des années 60 du vingtième siècle, l'environnement regroupe des barres d'immeubles et des espaces de stationnement et quelques terrains en jardin ou arborés. Les surfaces entre les constructions peuvent avoir été épargnées lors des travaux récents et être des témoins conservant les traces d'occupations anciennes dans un territoire totalement méconnu justifiant ainsi une prescription de diagnostic. L'intervention est divisée en deux phases, la première à l'ouest réalisée en cette année et la deuxième à l'est programmée pour une période ultérieure. Quatre zones d'intervention ont été délimitées afin de minimiser les nuisances vis-à-vis de la population, respecter le cadre arboré et conserver les installations sportives et de loisirs indispensables à la bonne vie de la cité. De ce fait, la surface échantillonnée est très restreinte par rapport aux surfaces prescrites. Un sondage très profond dans l'amorce du vallon du ru de Fontenay (aussi dénommé ru de la Fontaine du Moulin) se dirigeant vers la vallée de la Bièvre n'a pas permis d'identifier d'occupation ancienne dans une très épaisse séquence de limons. L'exigu\"ité de la zone n'a pas permis de multiplier les observations. Dans ce même sondage, sous des remblais récents, les surfaces d'avant la construction de la cité semblent déjà fortement impactées par les activités humaines et présentent particulièrement une coloration très sombre. Deux tranchées à l'ouest sont quant à elles moins profondes. La séquence limoneuse y est plus réduite. Aucune trace d'occupation ancienne n'est apparue dans ces sondages, ni, par ailleurs de mobilier résiduel ancien. Le mobilier recueilli (quelques fa\"iences, vases horticoles, bouteilles et flacons en verre) correspond aux occupations pavillonnaires du secteur à la fin du XIXe et durant la première moitié du XXe. Enfin, les tranchées au nord, dans un relief totalement artificiel, outre révéler l'emplacement d'une ancienne barre démolie, ont permis d'identifier le seul indice d'une anthropisation antérieure aux constructions du XXe s. Un fossé ou tranchée est-ouest a été identifié dans les sondages du secteur nord. Le comblement, relativement propre mélangeant limon et sables, n'a livré aucun objet mobilier permettant d'attribuer une chronologie. Stratigraphiquement il correspond à une période antérieure à la mise en place des barres d'habitation collective mais ne co\"incide pas avec les délimitations cadastrale

    Paris 5e, 16 bis rue de l'Abbé de l'Épée : rapport de diagnostic

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    Un diagnostic a été réalisé dans la cour de l'hôtel particulier du 16 bis rue de l'Abbé de l'Épée. Topographiquement, l'assiette correspond à un méplat sur le versant occidental du rebord de plateau occidental de la "Montagne Sainte-Geneviève", vers l'entaille de l'axe du boulevard Saint-Michel rejoignant la vallée de la Seine. L'emprise se situe dans les marges méridionales de la ville antique, dans un environnement résidentiel (domus) et artisanal (potiers). Anciennement localisé dans les jardins du Noviciat du couvent des Feuillants, dit aussi "monastère des Saints-Anges-Gardiens", le long du "passage Saint-Jacques", la parcelle n'a été aménagée et construite qu'à compter du milieu du XIXe siècle. Malgré un contexte prometteur, avec de nombreuses découvertes spectaculaires dans un voisinage très proche, l'exploration de la cour de l'hôtel particulier du 16 bis rue de l'Abbé de l'Épée n'a pas permis la mise en évidence de niveaux archéologiquement pertinents ou comparables aux découvertes voisines. Les niveaux de remblais mis en évidence renferment du mobilier mélangé des XVIe au XVIIe siècles avec quelques témoins antiques (sigillées, tegulae, etc.) et attestent de remaniements profonds survenus à une période récente. Avec un terrain instable, fuyant et hétérogène, l'hypothèse d'un colmatage ancien d'effondrements de fontis est privilégié. Pour des raisons techniques, le substrat géologique n'a pas pu être atteint

    Paris 5e, 16 bis rue de l'Abbé de l'Épée : rapport de diagnostic

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    Un diagnostic a été réalisé dans la cour de l'hôtel particulier du 16 bis rue de l'Abbé de l'Épée. Topographiquement, l'assiette correspond à un méplat sur le versant occidental du rebord de plateau occidental de la "Montagne Sainte-Geneviève", vers l'entaille de l'axe du boulevard Saint-Michel rejoignant la vallée de la Seine. L'emprise se situe dans les marges méridionales de la ville antique, dans un environnement résidentiel (domus) et artisanal (potiers). Anciennement localisé dans les jardins du Noviciat du couvent des Feuillants, dit aussi "monastère des Saints-Anges-Gardiens", le long du "passage Saint-Jacques", la parcelle n'a été aménagée et construite qu'à compter du milieu du XIXe siècle. Malgré un contexte prometteur, avec de nombreuses découvertes spectaculaires dans un voisinage très proche, l'exploration de la cour de l'hôtel particulier du 16 bis rue de l'Abbé de l'Épée n'a pas permis la mise en évidence de niveaux archéologiquement pertinents ou comparables aux découvertes voisines. Les niveaux de remblais mis en évidence renferment du mobilier mélangé des XVIe au XVIIe siècles avec quelques témoins antiques (sigillées, tegulae, etc.) et attestent de remaniements profonds survenus à une période récente. Avec un terrain instable, fuyant et hétérogène, l'hypothèse d'un colmatage ancien d'effondrements de fontis est privilégié. Pour des raisons techniques, le substrat géologique n'a pas pu être atteint

    Fontenay-aux-Roses (Hauts-de-Seine), Quartier des Paradis : rapport de diagnostic

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    Situé au sud de la commune de Fontenay-aux-Roses le \guillemotleft Quartier des Paradis \guillemotright, intégrant le grand complexe des Blagis aux confins des communes de Sceaux et de Bagneux dans les Hauts-de-Seine, fait l'objet d'un projet de réaménagement et d'amélioration de grande envergure. Caractéristique des constructions collectives de la fin des années 50 et des années 60 du vingtième siècle, l'environnement regroupe des barres d'immeubles et des espaces de stationnement et quelques terrains en jardin ou arborés. Les surfaces entre les constructions peuvent avoir été épargnées lors des travaux récents et être des témoins conservant les traces d'occupations anciennes dans un territoire totalement méconnu justifiant ainsi une prescription de diagnostic. L'intervention est divisée en deux phases, la première à l'ouest réalisée en cette année et la deuxième à l'est programmée pour une période ultérieure. Quatre zones d'intervention ont été délimitées afin de minimiser les nuisances vis-à-vis de la population, respecter le cadre arboré et conserver les installations sportives et de loisirs indispensables à la bonne vie de la cité. De ce fait, la surface échantillonnée est très restreinte par rapport aux surfaces prescrites. Un sondage très profond dans l'amorce du vallon du ru de Fontenay (aussi dénommé ru de la Fontaine du Moulin) se dirigeant vers la vallée de la Bièvre n'a pas permis d'identifier d'occupation ancienne dans une très épaisse séquence de limons. L'exigu\"ité de la zone n'a pas permis de multiplier les observations. Dans ce même sondage, sous des remblais récents, les surfaces d'avant la construction de la cité semblent déjà fortement impactées par les activités humaines et présentent particulièrement une coloration très sombre. Deux tranchées à l'ouest sont quant à elles moins profondes. La séquence limoneuse y est plus réduite. Aucune trace d'occupation ancienne n'est apparue dans ces sondages, ni, par ailleurs de mobilier résiduel ancien. Le mobilier recueilli (quelques fa\"iences, vases horticoles, bouteilles et flacons en verre) correspond aux occupations pavillonnaires du secteur à la fin du XIXe et durant la première moitié du XXe. Enfin, les tranchées au nord, dans un relief totalement artificiel, outre révéler l'emplacement d'une ancienne barre démolie, ont permis d'identifier le seul indice d'une anthropisation antérieure aux constructions du XXe s. Un fossé ou tranchée est-ouest a été identifié dans les sondages du secteur nord. Le comblement, relativement propre mélangeant limon et sables, n'a livré aucun objet mobilier permettant d'attribuer une chronologie. Stratigraphiquement il correspond à une période antérieure à la mise en place des barres d'habitation collective mais ne co\"incide pas avec les délimitations cadastrale
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