127 research outputs found

    Du chocolat qui n'en est pas : l'andok

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    Carnet d'enquête : la forêt qui nourrit

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    Le Moabi : l'arbre qui cache l'éléphant

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    Biodiversity and conservation value of an Atlantic central African forest: the Ngovayang Massif (Cameroon)

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    A total of 7967 individuals with dbh ≥ 10 cm were recorded, belonging to 583 species, 267 genera and 71 families. The mean number of stems was 532 ± 75 stems ha-1. The mean Fisher's alpha index was 42.4 ± 6.5. Taking into account other data available, the list of vascular plants known in the Massif reaches a total of 1497 species. We found 224 species of high conservation value, including Cameroon endemics and other rare and threatened species. Species richness and endemism are comparable to those of the richest known sites in Central African forests. Topographic heterogeneity, high precipitation and atmospheric humidity owing to the proximity of the ocean, and permanence of a forest cover during past geological times probably all contribute to explaining the Massif's high tree diversity and endemism. This study highlights the botanical importance of the poorly studied Ngovayang forest within the Lower Guinea region, justifying efforts for improved assessment of this value and for the development of suitable national conservation strategies

    Compte rendu - Synthèse de débats

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    Candidature au patrimoine mondial évaluation technique de l'UICN. : trinational de Sangha. (Cameroun, République Centrafricaine, Congo)

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    Le Trinational de la Sangha (TNS) est situé aux confins du Cameroun, du Congo et de la République Centrafricaine, sur les marges nord-ouest de la cuvette congolaise. Il renferme trois aires protégées de catégorie II de l'UICN : le parc national de Lobéké (Cameroun), le parc national de Nouabalé-Ndoki (Congo) et le parc national de Dzanga-Ndoki (République Centrafricaine) ; ce dernier étant constitué de deux secteurs individualisés. Les trois parcs nationaux sont contigus, couvrant ensemble 754 300 ha. Les valeurs naturelles du TNS incluent des écosystèmes en grande majorité intouchés, des habitats uniques ainsi que la présence d'espèces rares ou en danger de disparition. La taille du Bien proposé, sa situation biogéographique, à la charnière des domaines floristiques congolais et guinéen - dans l'intervalle de la Sangha -, ainsi que des pressions humaines relativement faibles, ont permis le développement d'une biodiversité riche et en bonne santé. Le TNS renferme de vastes superficies de forêts denses humides africaines écologiquement et fonctionnellement intactes, n'ayant jamais été exploitées ni vidées de leur faune par un braconnage intensif. Ces forêts n'ont subi que de faibles influences humaines par le passé, car habitées essentiellement par des populations de pêcheurs et de semi-nomades dont l'empreinte écologique est restée limitée. Trente pour cent seulement du TNS a été exploité sélectivement pour le bois d'oeuvre au cours du siècle dernier mais les processus en cours de régénération forestière concourent finalement à la diversité totale du site. La rivière Sangha constitue l'épine dorsale du réseau hydrographique ; elle traverse le TNS en son centre, du nord au sud. Elle héberge encore le crocodile du Nil ainsi que le poisson tigre goliath, un grand carnivore - le plus gros et le plus spectaculaire Characideae africain - qui attestent du bon état de santé des écosystèmes aquatiques. Le Bien proposé renferme un réseau exceptionnellement diversifié de clairières sur sol hydromorphe : 138 clairières sont actuellement connues du TNS mais d'autres restent encore à découvrir. La variation de taille des clairières, la variabilité des conditions hydro-pédologiques ainsi que les mécanismes de dispersion des graines à l'oeuvre ont conduit à une variété de types d'habitats et d'assemblages d'espèces. Ces clairières présentent non seulement des différences dans la végétation herbeuse qui occupe leur centre ou dans la végétation arborée des lisières, mais elles sont aussi fréquentées par des communautés animales différentes. Isolées dans une matrice forestières, ces clairières sont particulièrement attractives pour les populations de grands mammifères, dont les éléphants de forêt, les gorilles, diverses antilopes (bongo, sitatunga...), des suidés (potamochère, hylochère).Certaines clairières sont associées à des cours d'eau (baïs en langue BaAka) alors que d'autres occupent de petites cuvettes (yangas). La plupart ont un rôle important dans l'apport en sels minéraux et d'argile dans le régime alimentaire des populations animales qui les fréquentent. La présence de ces clairières et les facilités de vision de la faune qu'elles offrent constituent des éléments particulièrement importants, tant du point de vue de la recherche scientifique que de la conservation ou de l'écotourisme. Le réseau hydrographique secondaire inclue aussi de petits lacs très attractifs pour les éléphants. Hormis ces clairières et lacs, le TNS renferme une grande diversité de zones humides (forêts marécageuses, forêts périodiquement inondées, raphiales). L'essentiel du Bien proposé est toutefois couvert par des forêts de terre ferme incluant des proportions variables d'espèces décidues ainsi que par des forêts sempervirentes anciennes dominées par le limbali, une Leguminosae-Caesalpinioidae. La biodiversité du TNS est représentative des écosystèmes de forêts denses humides tropicales. Elle est en outre enrichie par un pool d'espèces herbacées ne vivant que

    Phyto-afri : un atlas forestier interactif en ligne [fiches de compétences forêts SIA 2011]

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    La gestion durable des forêts nécessite une connaissance améliorée des ressources. Dans ce but, l'atlas Phyto-afri rassemble, sur un site web, l'ensemble des données scientifiques concernant les espèces forestières d'Afrique tropicale humide. Il constitue un support clé pour des stratégies de protection d'espèces et d'exploitation raisonnée des ressources en bois. (Résumé d'auteur

    Climat et changement climatique en Afrique centrale

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    The effect of elevation on species richness in tropical forests depends on the considered lifeform: results from an East African mountain forest

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    Elevation gradients in tropical forests have been studied but the analysis of patterns displayed by species richness and elevation have received little attention. We examined whether the effect of elevation on species richness varies according to forest lifeforms and the main plant families in the Kahuzi-Biega National Park, within the Albertine Rift. We established 20 1-ha plots from 810 to 2760 m asl. Inside each plot, species inventories were carried out within three nested sub-plots: the tree lifeform (i.e. species with a dbh ≥ 10 cm), the shrub lifeform (dbh < 10 cm) and the herbaceous lifeform. For trees and shrubs (woody lifeforms) abundance data (i.e. number of individuals per species) were taken into account whereas the herbaceous lifeform was surveyed using presence–absence data. We plotted species counts vs elevation for each of the ten richest families per forest lifeform and resorted to Poisson regression models to assess the statistical meanings of the displayed results. Hurdle models (truncated Poisson regression) were used to account for overdispersion in the data. For woody lifeforms, we observed a monotonic decrease of species richness, while species richness appeared to be increasing with elevation for the herbaceous lifeform. Woody lifeforms displayed various vegetation patterns according to the considered families, therefore, contrasting with the general pattern observed in the herbaceous lifeform. These findings suggest the existence of specific eco-physiological properties pertaining to each forest lifeform and the existence of family-specific elevation patterns of species richness
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