18 research outputs found

    Isoptopic evidence of the transfer of nitrogen fixed by legumes to coffee trees

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    The use of isotopic methods has made it possible to quantify the contribution of nitrogen fixed by a coffee plantation. Thanks to the use of the natural 15N abundance assessment technique, we were able to show that, in field condition, roughly 30/ of the nitrogen effectively fixed by a legume (including biomass, roots and root exudates) were transferred to the associated coffee trees. The quantities of N transferred by legume prunings to sole coffee trees were measured to evaluate the amount of N transferred to coffee via litter fall or soil

    Estimating N transfers between N2-fixing actinorhizal species and the non-N2-fixing Prunus avium under partially controlled conditions

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    International audienceTwo methods of N transfer between plants—by litter decomposition and root-to-root exchange—were examined in mixed plantations of N-fixing and non-fixing trees. Nitrogen transfers from decaying litters were measured by placing 15N-labelled litters from four actinorhizal tree species around shoots of containerized Prunus avium. Nitrogen transfers by root-to-root exchanges were measured after foliar NO3-15N fertilization of Alnus subcordata and Elaeagnus angustifolia growing in containers in association with P. avium. During the first 2 years of litter decomposition, from 5–20% of the N, depending on the litter identity, was released and taken up by P. avium. N availability in the different litters was strongly correlated with the amount of water-soluble N, which was highest in leaves of E. angustifolia. In the association between fixing and non-fixing plants, 7.5% of the A. subcordata N and 25% of E. angustifolia N was transferred to P. avium by root exchange. These results showed that the magnitude of N transfers by root exchange depended on the associated N2-fixing species. Among the species investigated, E. angustifolia displayed the highest capacity for exudating N from roots as well as for releasing N from litters. These qualities make this tree a promising species for enhancing wood yields in mixed stands

    Colloque BRG/USTL : méthodologies de gestion et de conservation des ressources génétiques = Methodologies of genetic resources management and conservation

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    En utilisant des analyses PCR/RFLP et le séquençage de l'intergène nifD-K, des souches non isolées de #Frankia présentes dans les nodosités de trois des quatre genres constituant la famille des Casuarinacées (#Casuarina, #Allocasuarina and #Gymnostoma) ont été caractérisées. L'analyse des séquences alignées a permis d'établir les relations phylogénétiques entre ces souches. Les souches infectives sur #Casuarina et #Allocasuarina appartiennent au même groupe phylogénétique, alors que les souches infectives sur #Gymnostoma sont regroupées avec les souches d'Elaegnacées. Les relations entre le groupage moléculaire et les caractéristiques symbiotiques du micro-organisme (spectre d'hôte) confirment les différences entre les symbioses impliquant #Casuarina/#Allocasuarina et #Gymnostoma. La diversité génétique des microsymbiotes de #Casuarina et #Allocasuarina semble être corrélée à l'espèce de la plante hôte. Au contraire, aucune relation n'a été trouvée entre le type de microsymbiotes de #Gymnostoma$ et l'espèce végétale. La comparaison des arbres phylogénétiques des plantes hôtes et de leurs microsymbiotes suggère qu'une séparation précoce soit survenue dans l'évolution des Casuarinacées, entraînant l'existence de deux lignées de descendants. (Résumé d'auteur

    Colloque BRG/USTL : méthodologies de gestion et de conservation des ressources génétiques = Methodologies of genetic resources management and conservation

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    En utilisant des analyses PCR/RFLP et le séquençage de l'intergène nifD-K, des souches non isolées de #Frankia présentes dans les nodosités de trois des quatre genres constituant la famille des Casuarinacées (#Casuarina, #Allocasuarina and #Gymnostoma) ont été caractérisées. L'analyse des séquences alignées a permis d'établir les relations phylogénétiques entre ces souches. Les souches infectives sur #Casuarina et #Allocasuarina appartiennent au même groupe phylogénétique, alors que les souches infectives sur #Gymnostoma sont regroupées avec les souches d'Elaegnacées. Les relations entre le groupage moléculaire et les caractéristiques symbiotiques du micro-organisme (spectre d'hôte) confirment les différences entre les symbioses impliquant #Casuarina/#Allocasuarina et #Gymnostoma. La diversité génétique des microsymbiotes de #Casuarina et #Allocasuarina semble être corrélée à l'espèce de la plante hôte. Au contraire, aucune relation n'a été trouvée entre le type de microsymbiotes de #Gymnostoma$ et l'espèce végétale. La comparaison des arbres phylogénétiques des plantes hôtes et de leurs microsymbiotes suggère qu'une séparation précoce soit survenue dans l'évolution des Casuarinacées, entraînant l'existence de deux lignées de descendants. (Résumé d'auteur
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