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    Family And Community Practices Relating To Infant Feeding In Central Togo:A study preceding implementation of the family and community component of the «Integrated Management of Childhood Illness» strategy (C-IMCI).

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    The aim of this study was to assess neonate and infant feeding practices in the central region of Togo before implementation of the community component of the «Integrated Management of Childhood Illness» (C-IMCI) strategy. It was a cross-sectional study from 29th March to 8th April 2004 and included a random sample of 983 households, 506 caretakers and 733 under-five children. Using the Epi-info and SPSS softwares, this study assessed mainly breast feeding, the use of breast milk substitutesand weaning practices. It was noted that out of the 733 children, 52% were males and 48% females, 27% less than one year and 21.6% between 12 and 23 months. After delivery, 29.3% of infants were breastfed within one hour, and 75.6% within the first 24 hours. Only 78.4% of the children received colostrum after birth. It was also noted insufficient breast milk flow in 53.1% of the mothers and water was the main substitute for breast milk in 21% of the children. If 57.7% of the children were exclusively breastfed for the first 6 months, only 9.5% of the infants were breastfed up to the 23rd month. Complementary foods were introduced at an average age of 6 months with water, pap, «diuri» (a plant decoction), and at an average age of 11 months with other family foods. Altogether,65% of mothers stopped breastfeeding between 18 and 30 months for varying reasons : 7% because of pregnancy, 6% due to insufficient breast milk flow, 3% professional constraints and 3% death. From this study we recommend that sustained efforts have to be made on the sensitization of mothers during C-IMCI implementation on cultural practices that do not support optimal feeding of the neonate and young infant

    Erythropoïétine recombinante, traitement de l’anémie grave d’un nourrisson

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    L’érythropoïétine recombinante (EPOr) est utilisée en néonatalogie afin de prévenir l’anémie et de limiter le nombre de transfusions, qui sont essentiellement administrées dans les 3 ou 4 premières semaines de vie chez les nouveau-nés prématurés de moins de 1500 g ou de moins de 36 semaines d’aménorrhée (SA). Un nourrisson de 25 mois présentant un paludisme grave forme anémique décompensé avec un taux d’hémoglobine de 1,9 g/dl dont les parents sont des Témoins de Jéhovah a été traité par de l’EPOr en lieu et place d’une transfusion sanguine. En effet, les parents étaient contre la transfusion sanguine en raison de leur foi. L’utilisation de l’EPOr n’est pas habituelle à cet âge mais il est nécessaire qu’on s’en approprie pour les situations où nous ne disposerons pas de sang, tout en tenant compte du coût. C’est le lieu aussi de sensibiliser les Témoins de Jéhovah à être plus réalistes surtout devant des cas comme celui de ce nourrisson.Mots clés : Anémie, Erythropoïétine, transfusion, Témoins de Jéhovah.Recombinant erythropoietin (EPOr) is used in neonatology to prevent anaemia and to limit the number of transfusions which are essentially administered in the first 3 or 4 weeks of the life in preterm infants with birth weights below 1500 g. or below 36 SA. An infant of 25 months presented an acute malaria and anaemia, the haemoglobin rate was 1,9 g/dl, whose parents were Témoins de Jéhovah, was treated by EPOr instead of blood transfusion. In fact, the parents were against blood transfusion because of their faith. The EPOr’s use is not usual at this age but it is necessary we appropriate for the situations for which we didn’t have blood. It’s the moment to sensitize Témoins de Jéhovah to preserve children life in the situations like of this infant.Keys words: Anaemia, Erythropoietin, transfusion, Témoins de Jéhovah

    Poids de naissance et influences des facteurs maternels dans la region maritime du Togo

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    Objectif : Déterminer le poids moyen de naissance, la prévalence de l’hypotrophie et les influences des facteurs maternels sur le poids de naissance dans la région maritime au Togo.Méthodologie. Étude prospective sur 12 mois dans la région maritime. Mille deux cent quatre vingt seize nouveau-nés vivants à terme, nés par voie basse, issus de grossesses normales monofoetales et indemnesde maladie néonatale mettant en jeu le pronostic vital, et leurs mères ont été inclus.Résultats. Le poids moyen de naissance était de 3000 ± 400 g.  L’incidence de l’hypotrophie à terme était de 7,1%. Les mères mineures, le faible taux de scolarisation des mères, l’absence de prophylaxie antipalustre, de traitement martial étaient négativement associés au poids de naissance. La profession du père influençait également le poids de la mère et de l’enfant à la naissance.Conclusion. Ces influences maternelles simples à identifier pouvaient conduire à des actions concrètes pour cette population.Objective: To determine mean weight at the birth and the frequency of risk factors associated with small weight birth in the population in South-Togo.Methods: Twelve months prospective study in the maritime area of Togo. One thousand and two hundred ninety six alive newborns born after normal single pregnancy, and without severe neonatal diseases wereincluded.Results: The mean birth-weight ± SD was 3000 ± 400 g. The incidence of low birth-weight was 7.1%. Among mother’s and socioeconomic risk factors, teenage mothers, the non use of malaria prophylaxia and the iron use lack had a significantly high risk of having a child with intrauterine growth retardation. Father’s job also affected the mother’s and newborn’s weight.Conclusion: These easy risk factors should allow specific actions for this population

    Infection urinaire chez l’enfant au CHU-Campus. Prévalence et sensibilité des germes

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    Objectif : Evaluer la prévalence de l’infection urinaire et la sensibilité des germes isolés.Méthodologie : Il s’agit d’une étude prospective qui s’est déroulée du 1er janvier au 31décembre 2009, dans le service de pédiatrie du CHU-Campus de Lomé. Elle a porté sur une population d’enfants âgés de moins de 15 ans, reçus en consultation et/ou hospitalisés dans le service pour fièvre avec ou sans point d’appel sur l’arbre urinaire.Résultats : La prévalence de l’infection urinaire est de 9.67%. La tranche d’âge la plus concernée est de 6 à 30 mois. L’Eschérichia Coli était le germe le plus fréquemment isolé (51.6 %) suivi du Klebsiella (16.6%). L’Eschérichia Coli était sensible aux Céphalosporines de troisième génération (77.4%), aux Aminosides (77.4%) et aux Quinolones (67.7%).Conclusion : L’infection urinaire chez l’enfant est une pathologie fréquente et le germe le plus fréquent est l’Escherichia Coli.Mots clés : Infection urinaire, enfants, prévalence, sensibilité des germes.English AbstractObjective of the study: The study aims at evaluating the prevalence of the urinary infection and analyzing the sensitivity of the isolated germs to antibiotics.Methodology: It is retrospective study concerning children under 15 years old examined at the Pediatrics department of Campus teaching hospital from January 1 to December 30, 2009 for clinical signs related to urinary infection.Results: The prevalence of urinary infection in the study was 9.7%. The study targeted children between 6 to 30 months. L’Escherichia Coli (51.6%) was the principal germ isolated in the study followed by Klebsiella (16.6%). Escherichia coli was sensitive to third generation cephalosporin and aminosides (77.4%) and to quinolone (67.7%).Conclusion: Urinary infection is a frequent disease in childhood. Escherichia Coli was the principal germ isolated.Keywords: Urinary infection, children, prevalence, germ sensitivity

    Plaidoyer pour le lavage de nez dans les pathologies naso-sinusiennes

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    Introduction: Les diverses plaintes de la pathologie rhino-sinusienne sont pour les oto-rhino-laryngologistes un sujet constant de recherche thérapeutique avec le maximum d’avantages, le moins d’inconvénients et le moins de contraintes. Après l’avènement des antibiotiques et leur utilisation massive avec des résultats variables, probants dans certains cas mais mitigés dans d’autres, de nombreuses thérapeutiques adjuvantes ont été proposées ou associées dont le lavage de nez au sérum physiologique qui est d’un appoint voire d’un apport considérable dans la diversité de la symptomatologie en ORL.Matériels et méthodes: Tous les patients reçus de juin 2008 au 29 février 2012 en ORL pour lesquels le lavage de nez a été une des thérapeutiques adjuvantes instituées.Résultats/commentaires: Sur un total de patients 1568 reçus en consultation ORL au CHU en 3 ans 8 mois ,284 patients soit 18,11% ont eu a bénéficiés du lavage de nez comme traitement adjuvant dans la thérapeutique spécifique institué en fonction de la symptomatologie et de la clinique. Toutes les tranches d’âge sont concernées mais avec une nette prédominance de la tranche de 15 à 44ans et ceci dans les deux sexes. Le lavage de nez a permis l’arrêt de la rhinorrhée dans 81,68% des cas chez les hommes et 89,89% des cas chez les femmes et l’amélioration de l’obstruction nasale dans 16,81% des cas chez les hommes et dans 5,88% chez les femmes, mais aussi de diminuer voire d’amender les principaux symptômes que sont les céphalées, la rhinorrhée, l’obstruction nasale. L’utilisation de l’eau salée pour des irrigations nasales ou La solution saline d’irrigation nasale (SNI) pour le traitement des plaintes naso-sinusiennes se base sur les traditions yoguiques et homéopathiques et serait issue de la tradition médicale de l’AYURVEDIC [1, 2] .C’est une thérapeutique adjuvante qui permet des bains des cavités nasales par des solutions salines en pulvérisateur ou liquide [1, 3]. En effet ce traitement fait de l’utilisation d’irrigation saline ,de spray nasal , de lavages voire de douches naso-sinusiennes plus de 4 fois par jour .Il est important de noter que selon des récentes études les irrigations faites avec du sérum salé isotonique employé comme un traitement adjuvant pour les sinusites chroniques ou les allergies nasosinusiennes, réduisent de manière significative les résistances nasales déterminé par la rhinomanométrie [1-4] 4mais aussi elle est une méthode simple peu couteuse , efficace [4-7]. L’irrigation nasale est recommandée comme traitement d’appoint dans les sinusites les rhinites tant allergique que non mais aussi après une chirurgie endonasale. Le lavage de nez permet l’humidification des muqueuses partant favorise le nettoyage mucociliaire en enlevant voire diminuant les croutes favorise leur élimination et ainsi la guérison en réduisant le recours aux antibiotiques [4-10]. Sans danger, le lavage de nez est bien tolérée tant chez les enfants que chez les adultes. Cette thérapeutique réduit les prises médicamenteuses permet un mieux être des patients ainsi que l’amélioration de leur symptomatologie avec régression des plaintes comme dans notre étude [4-11]. Il est cependant important de noter que les jets de salin sous pression semblent plus efficaces que les gouttes et que le salin hypertonique accélère les temps du transit mucociliaire mais est plus irritant. Il en existe de nombreuses indications, préparations et dispositifs d’administration comme décrit dans le LANCET en 1902[11].La SNI est efficace mais insuffisamment utilisée dans les plaintes et pathologies naso-sinusiennes [7, 10, 12]. Appliquer sur la base de la pression positive par jet sous pression ou pulsé ou sur la base de la pesanteur jouant sur le dispositif verseur, la solution saline est introduite dans une narine et s’évacue par l’autre. Le mécanisme d’action du SNI n’est certes pas élucidé .Le SNI augmenterait le mucus nasal par nettoyage directe du lit de l’inflammation et des irritants avec déplacement des médiateurs de l’inflammation et amélioration de la fonction mucociliaire [11, 13-18].Conclusion: Ce travail est un plaidoyer pour promouvoir le lavage du nez par les solutions nasales d’irrigation (SNI)qui se révèle être un important composé pour la prise en charge de nombreuses pathologies et manifestations naso-sinusiennes avec des résultats fort encourageant .Mots clés: lavage du nez, solution nasale d’irrigation, symptomatologie nasosinusienne.English Title: A plea for nose washing in naso-sinusian pathologiesPurpose of the presentation: To highlight the many benefits of nose-washing with saline solutions through nasal irrigation in the panoply of remedies available in the diversity of the symptomatology of the ORL diseases obtained through the observation of patients.Material and methods: All the patients received from june2008 to 29 february 2012 in ENT consultation and for who the nose washing had been an adjuvant therapeutic.Analysis: The observations were made on a total of 1568 patients received in the ORL department of the CHU in the period June 2008 to February 2012. Of this total, 284 patients, that is, 18.11%, were prescribed with nose-washing as an additional requirement in the treatment of the specific pathology diagnosed. All ages levels were concerned but with a significant prevalence in the 15 to 44 years age-group and in both male and female patients. Nose -washing proved to be an effective remedy for halting the rhinorrhea in 81.68 % of the males and 89.68% in the females. It contributed to a marked improvement in nasal obstruction in 16.81% of the males and 5.88% of the females. It also resulted in the reduction or elimination of notable symptoms such as headaches, rhinorrhea and nasal obstruction in more serious ills.Conclusion: This presentation aims at encouraging the use of saline solutions (SNI) for nose-washing as an important complement which has yielded encouraging results in the treatment of numerous naso-sinusian pathologies.Keywords: nasal irrigation, nose-washing. saline solutions, naso-sinusian symptom

    Mortalité hospitalière des enfants âges moins de 5 ans au CHR-Tsévié (Togo), de 2007 à 2011.

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    Objectif : Décrire la mortalité des enfants âgés de moins 5 ans hospitalisés au CHRTsévié (Togo) sur une période de cinq ans.Méthodologie : Il s’agissait d’une étude descriptive, rétrospective allant du 1er Janvier 2007 au 31 Décembre 2011.Résultats : Nous avons étudié 2893 dossiers d’enfants hospitalisés pour diverses pathologies dont 512, 580, 650, 518 et 633 respectivement de 2007 à 2011. Le taux de mortalité hospitalière était de 13,09% ; 15,52% ; 11,69% ; 15,06% et 6,79% de 2007 à 2011, la différence entre ces résultats reste non significative. Il existait une prédominance masculine des enfants décédés pendant les 5 ans. Les principales étiologies de décès pendant les cinq années étaient la malnutrition (20%) et le paludisme (17,04%) en 2007 ; la mauvaise adaptation à la vie extrautérine (MAV) (39,39%) en 2008 ; la prématurité (25%) en 2009 ; la MAV (45%) en 2010 et la prématurité (25%) en 2011. Les pathologies des nouveau-nés étaient donc les plus incriminées dans la mortalité des enfants âgés de 0 à 5 ans.Conclusion : La mortalité des enfants de 0 à 5 ans constitue encore un réel problème de santé publique. Le relèvement du niveau de vie de la population et la sensibilisation de la population à consulter à l’hôpital, constituent certains moyens pour diminuer considérablement le taux de mortalité hospitalièreMots clés : Mortalité hospitalière, enfants âgés de moins de 5 ans, Togo.English AbstractAim: Describe less than 5 years old children mortality in Tsevie hospital during 5 years.Methods: it was retrospective and descriptive study from first January 2007 to 31th December 2011.Results: 2893 medical records from hospitalized children were used in witch 512.580, 650.518 and 633 respectively from 2007 to 2011. Annual mortality rate was 13.09%; 15.52%; 11.69%; 15.06% and 06.79% from 2007 to 2011, the difference between these results is not significant. Boys were more died than girls. Main death etiologies during the five years were malnutrition (20%) and malaria (17.04%) in 2007; neonatal ufferance  (39.39%) in 2008; prematurity (25%) in 2009; neonatal sufferance (45%) in 2010 and prematurity (25%) in 2011. Newborns sicknesses were the most incriminated in the less than five years old children mortality.Conclusion: Less than 5 years old children mortality is still a real public health problem. The rising of life level of the population and their sensibilisation to consult early in the hospital, are some solutions to diminish a lot of hospital mortality.Keywords: Mortality, less than 5 years old children, Togo

    Etiologies des surdites de l’enfant au Chu Sylvanus Olympio de Lome

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    Objectifs: déterminer les étiologies des surdités de l’enfant et analyser la prise en charge.Matériel et méthode: étude rétrospective sur les dossiers de 318 enfants de 0 à 15 ans reçus et traités pour surdité du 1er janvier 2012 au 31 décembre 2013, au service d’ORL du Centre Hospitalier et Universitaire Sylvanus Olympio.Résultats: la surdité représentait 5,1% des consultations ORL chez les enfants de 0 à 15 ans. Le sexe féminin était prédominant avec 168 cas, soit un sex-ratio de 0,89. L’âge des enfants variait de 4 mois à 15 ans avec une moyenne de 7ans 7 mois. Le délai moyen de consultation était de 1 an 11 mois et 23 jours. La surdité de transmission représentait 63,20% des surdités et était unilatérale dans 60,70% des cas. La surdité de perception représentait 33,33% des surdités, était bilatérale dans 92, 45% des cas et sévère à profonde dans 79,24% des cas. L’étiologie des surdités de transmission était dominée par les bouchons de cérumen (168 cas). La méningite était l’étiologie la plus fréquente des surdités de perception (20 cas). La prise en charge des surdités de transmission était médicale. Seuls 7 enfants étaient appareillés.Conclusion: la vaccination contre la méningite, un dépistage systématique de la surdité chez les enfants et la création d’un centre de prise de la surdité sont indispensables dans notre contexte d’exercice.Mots-clés: surdité, enfant, étiologie, traitementEnglish Title: Etiologies of child deafness at Lome Sylvanus Olympio’s teaching hospitalEnglish AbstractObjectives: Determine etiologies of child deafnesses and analyze the treatment.Material and method: Retrospective study on the files of 318 children from 0 to 15 years old consulted and treated for deafness from January 1st, 2012 to December 31st, 2013 at the ENT department at Sylvanus Olympio’s teaching hospital.Results: Deafness accounted for 5.1 of ENT consultations among the children from 0 to 15 years old. The female sex was predominant with 168 cases, that is to say, a sex-ratio of 0.89. The children age varied from 4 mouths to 15 years with an average of 7 years and 7 mouths. The main waiting period of consultation was one year11 mouths and 23 days. The transmission deafness accounted for 63.20% of deafnesses and was unilateral in 60.70% of cases. Sensorineural deafness accounted for 33.33% of deafnesses; it was bilateral in 92.45% of cases and severe in deep in 79.24% of cases. The etiology of transmission deafnesses was dominated by cerumen (168 cases). Meningitis was the most frequent etiology of sensorinneural deafness (20 cases). The treatment of transmission deafness was medical. Only seven children were fitted with hearing aid.Conclusion: Meningitis vaccination, systematic screening of child deafness and creation of deafness care would improve taking deafnesses into care in the context of our work.Keywords: deafness, child, etiology, treatmen

    Erreurs d’administration medicamenteuse chez l’enfant a l’hopital de Tsevie (Togo)

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    Objectif : Identifier les erreurs d’administration des médicaments chez l’enfant hospitalisé et les causes de ces erreurs :Matériel et méthodes : Etude prospective transversale menée du 1er Août au 31 Novembre 2009. L’échantillon était constitué des enfants âgés de 0 à 15 ans hospitalisés pour différentes maladies dans le service de pédiatrie de l’hôpital. Etaient inclus dans l’enquête tous les enfants non comateux hospitalisés dans le service de pédiatrie pour différentes maladies ayant un traitement par voie parentérale et par voie orale.Résultats : 136 hospitalisations dont 88 (64,70 %) garçons pour 48 (35,30%) filles soit une sex-ratio de 1,83. Le poids moyen des enfants était de 13,68 ± 9,10 kg, l’âge moyen était de 3,54 ans (0 à 15 ans). Lepic des hospitalisations a été observé dans la tranche de 1 à 5 ans avec 65/136 cas (47,79%). Les médicaments injectables représentaient 65/136 (47,79%) les sirops buvables 48/136 (35,30%) tandis que les comprimés et ampoules buvables ne représentaient à elles deux que 23/136 (16,91%). La dilution et la voie d’administration étaient respectées dans tous les cas. En revanche, la quantité prélevée et la posologie ne l’étaient pas toujours notamment pour les antibiotiques, cette quantité était inférieure dans 10/136 (7,35%) des cas et supérieure dans 6/136 (4,41%) et pour la quinine les anomalies (quantité inférieure et supérieure) étaient respectivement de 7/136 (5,14 %) et 19/136 (14,70 %). Les horairesn’étaient respectés que dans 122/136 (89,7%) des cas. Ceci s’explique par la charge excessive de travail au niveau des infirmières qui souvent uniformisaient spontanément sans aucune consigne les heures d’injection dans 47/136 (34,55%), et parce que parfois les parents n’avaient pas les moyens financiers dans 86/136 (63,23%) d’acheter les médications à tempsConclusion : L’administration des médicaments à l’enfant hospitalisé est un acte auquel l’on doit accorder beaucoup d’attention que ce soit de la part du personnel ou des accompagnants pour diminuer les erreursd’administrations qui pouvant mettre en danger la vie de l’enfant qui a la particularité d’avoir un organisme fragile.Mots clés : Erreurs, médicaments, Enfant, Togo. Aim: Identify hospitalized child errors in medicine administration and the reasons of these errors.Material and methods: Transversal prospective study begun from 1st August to 31 November 2009. The sample consisted of hospitalized children aged from 0 to 15 years old for different illnesses in pediatricoffice. Were included all the children non in coma having parenteral or oral routes treatment.Results: 136 hospitalizations in which 88 (64.70%) boys and 48 (35.30%) girls at means an odd ratio of 1.83. The children mean weight was 13.68 ± 9.10 kg, the mean age was 3.54 years old (0 à 15). The hospitalizations’ peak was observed in 1 to 5 years stage with 65/136 cases (47.79%). The inject medicines represented 65/136 cases (47.79%), the syrups 48/136 (35.30%) while tablets and bulbs were the all two only 23/136 (16.91%). The dilution and administration route were respected in the whole cases. On the other hand, the quantity taken and the dosage were always wrong in particularly for antibiotics, this quantity was low in 10/136 cases (7.35%) and over in 6/136 (4.41%) and for quinine the anomalies (low and over quantities) were respectively 7/136 (5.14%) and 19/136 (14.70%). The timetables were not respected only in 122/136 (89.7%) cases. This is explained by the nurses excessive work who often uniformed  spontaneously without no instructions injection hours in 47/136 (34055%), and because sometimes parents did not have financial means in 86/136 (63.23%) to buy medicine in the time.Conclusion: Medicine administration to the hospitalized child is an act which we must tune a lot of attention as nurses or as parents to reduce administrations’ errors which will be put in danger child life. Keywords: Errors; Medicine, Child, Togo

    Profils des porteurs du VIH/SIDA au début du traitement antirétroviral au Togo

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    But : Décrire les profils des porteurs de VIH/sida au début du traitement antirétroviral. Matériels et méthode: Les dossiers des porteurs du VIH/sida de la région maritime ont été analysés de mai 2008 à avril 2009 par le comité thérapeutique. Résultats: Parmi les 641 dossiers analysés, 67,40% venaient du district de Yoto. Le nombre de femmes était de 416. L’âge moyen des femmes au début du traitement était de 39,78 ± 12,11 ans, celle des hommes de 44,33 ± 15,02 ans, la différence était significative (p inférieur à 0,05). Le VIH 1 était prédominant avec 99,21%. Le taux moyen des CD4 au début du traitement était de 158,55 ±131,40/mm3. Cinq cent vingt six patients (82,05%) ont été mis sous Névirapine/Lamivudine /Stavudine. Conclusion: Un effort doit être fait pour une mise sous traitement plus précoce.Mots clés : Profils, VIH/Sida, traitement antirétroviralAim: Describe HIV infected patients’s profiles at the beginning of antiretroviral treatment. Materials and method: Patients clinical records of maritime area of Togo were analysed from May 2008 to April 2009 by therapeutic committee. Results: Between the 641 clinical records analysed, 430 (67.40%) came from Yoto district. Women number was 416, sex-ratio was 0.54. Women mean age at the beginning of ARV ± SD was 39.78 ± 12.11 years, this of men ± SD was 44.33 ± 15.02 years, the difference was meaningful (p was lower than 0,05). HIV 1 was important with 99.21% of cases. The mean lymphocytes CD4 rate at the beginning of ARV ± was 158.55 ±131.40/mm3. Five hundred twenty-six patients (82.05%) received Nevirapine/Lamivudine/Stavudine. Conclusion: An effort is necessary for beginning early the treatment.Keywords: Profiles, HIV/AIDS, antiretroviral treatmen

    Prevention de la transmission mere enfant du VIH/SIDA au Chu de Kara (Togo) : Bilan de l’evolution sur quatre ans d’activite

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    La transmission Mère Enfant du VIH/SIDA est le mode de contamination essentielle des enfants dans les pays en développement.Objectif : Evaluer les résultats de la Prévention de la Transmission Mère-Enfant (PTME) du VIH au CHU-Kara. Méthode: Il s’est agi d’une étude rétrospective descriptive de juillet 2005 à Juin 2009 à partirdes registres et dossiers portant sur les utilisateurs du programme de PTME. Les paramètres étudiés ont concerné le dépistage sérologique au VIH des parents, la thérapie préventive chez la mère, l’alimentationainsi que le statut sérologique de leurs enfants.Résultats : Sur 3031 femmes en consultation prénatale, 2723 (89,84 %) ont fait le dépistage avec une séroprévalence moyenne au VIH1 de 9,62 %. La proportion des conjoints reçus en counseling variait de 1,54 à 4,72%. Sur 152 enfants de mères séropositives, 49,34% ont été allaités, 50,66% mis sous substitution lactée ; 40,13% des enfants perdus de vue après leurs 1ers examens à la naissance. Trois décès d’enfants ont été enregistrés dont deux chez des enfants non allaités. Seuls 57 sur 97 enfants (58,76%) susceptibles d’avoir au moins un an d’âge ont leur statut sérologique connu avec une transmission d’infection de 14,04%.Conclusion : un renforcement des circuits de la PTME et une franche implication de la communauté sont nécessaires pour réduire ce taux de transmission.Mots clés : CHU-Kara, PTME, VIH.Preventing Mother-to-Child Transmission of HIV/AIDS at Kara Teaching Hospital (Togo): evolution assessment on four years of activity.The mother-to-child transmission (MTCT) of the HIV/AIDS is the main way of contamination in childrenin developing countriesObjective: To assess the Prevention of Mother-to-Child Transmission (PMTCT) of HIV programme’s results at Kara teaching hospital (CHU-Kara).Methods: It was about a retrospective descriptive study from July 2005 to June 2009 using mothers and children registers and files in PMTCT. Parents’ HIV serologic screening, mothers’ preventive care, children’s alimentation and their HIV serologic status have been evaluated. Results: Out of 3031 pregnant women attending prenatal care, 2723 (89,84 %) have undergone HIV testing with an average HIV1 seroprevalence of 9, 62 %. Spouses proportion whose undertook the counseling varies from 1,54 to 4,72%. Out of 152 infants of HIV infected mothers, 49,34 % were breastfed, 50,66 % put under replacement feeding; 40,13% of those infants are lost to follow up after their first checking in birth. We recorded tree deaths, two at not breastfed infants. Only 57, out of 97 infants (58,76 %) supposed to have at least one year old, have their serological status known with 14,04% of HIV transmission rate.Conclusion: Strengthen PMTCT programme’s circuits and true implications of the community are necessary to reduce this high transmission rate.Key Words: HIV, Kara Teaching Hospital, PMTCT
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