33 research outputs found

    Les enseignements de pratique opérationnelle aprÚs 1968 : le cas des antennes pédagogiques expérimentales

    Get PDF
    Carnet de recherches du ComitĂ© d'histoire du ministĂšre de la Culture sur les politiques, les institutions et les pratiques culturelles« Le rĂŽle de la Pratique OpĂ©rationnelle est principalement d’apporter aux Ă©tudiants une vue concrĂšte et si possible complĂšte des mĂ©canismes et des rĂŽles respectifs des diffĂ©rents intervenants de l’acte de bĂątir en les faisant eux-mĂȘmes participer Ă  cet acte dans le cadre de l’enseignement. » DiffusĂ©e en 1971 au sein de la jeune unitĂ© pĂ©dagogique d’architecture n° 1 (UP1), cette note, qui dĂ©finit la pratique opĂ©rationnelle, est aux fondements de l’invention d’une structure novatrice : l’antenne pĂ©dagogique expĂ©rimentale, accueillant pour des stages longs les Ă©tudiants en architecture de 3e cycle, encadrĂ©s par des enseignants et des professionnels, dans des missions d’études et de rĂ©alisations architecturales et urbaines. AprĂšs un retour sur les arguments pĂ©dagogiques et les raisons politiques ayant justifiĂ© ce type d’expĂ©rimentation dans l’enseignement de l’architecture de la dĂ©cennie 1970, les acteurs, les lieux et les enseignements de trois de ces antennes (Cergy, Trappes et l'antenne rurale des CĂ©vennes) sont analysĂ©s, en mettant en lumiĂšre, dans la mesure du possible, les convergences et les Ă©carts entre les intentions initiales qui ont portĂ© ces projets pĂ©dagogiques et la rĂ©alitĂ© de la mise en Ɠuvre de ces derniers

    Les projets de formation diplÎmante des collaborateurs d'architecte des années 1960

    Get PDF
    Carnet de recherches du Comité d'histoire du ministÚre de la Culture sur les politiques, les institutions et les pratiques culturelle

    The architect’s office: practice and organization of work (18th-21st century)

    Get PDF
    An emerging research topic? To propose the architect’s office as the central theme of this issue of the Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagùre was somewhat of a gamble. We hypothesized that it would allow to exceed traditional “heroic” narratives, which concentrate on the charismatic figure of the architect, thus omitting the complexity and variety of architectural’s production, along with an understanding of more recent evolutions. One year having passed since the call..

    Quinze ans de « petit séminaire »

    Get PDF
    Étroitement associĂ©e Ă  la consolidation des institutions de la recherche architecturale française, l’histoire du « petit sĂ©minaire » qui rassemble les doctorants architectes Ă  partir de 1997 touche Ă  la fois l’histoire des lieux, celle des acteurs et des idĂ©es, celle du champ de la recherche et celle des Ă©coles d’architecture.VĂ©ritable complĂ©ment de formation, il est Ă  la source de certaines afïŹliations scientiïŹques et professionnelles, esquissant un rĂ©seau Ă  travers la France, des laboratoires aux Ă©coles d’architecture en passant par les revues.À mi-chemin entre la rĂ©ïŹ‚exion scientiïŹque et le soutien psychologique, entre l’échange d’informations sur le monde de la recherche et le partage des rĂ©fĂ©rences culturelles, gĂ©nĂ©ration aprĂšs gĂ©nĂ©ration, le « petit sĂ©minaire » a produit plusieurs sortes d’effets.Since 1997, the “Little Seminar” has been a venue for doctoral candidates wishing to explore amongst themselves questions concerning places, stakeholders, ideas, research and education in the field architectural and urban history. It has sought to enhance the life of France’s research institutions. In addition to reinforcing the research capacities of its participants, it has engendered a network of scientific and professional collaborators affiliated with “laboratories” in the French schools of architecture and is connected to journals in the field

    L’Agence : pratiques et organisations du travail des architectes (XVIIIe-XXIe siùcle)

    Get PDF
    Un objet de recherche Ă©mergeant ? Proposer l’agence d’architecture comme thĂšme d’étude central d’un numĂ©ro des Cahiers de la recherche architecturale, urbaine et paysagĂšre Ă©tait une sorte de pari, visant Ă  poser les jalons d’analyse d’un objet d’étude sociohistorique singulier. Nous faisions l’hypothĂšse qu’il permettrait d’outrepasser les traditionnels rĂ©cits « hĂ©roĂŻques » focalisĂ©s autour de la figure d’architecte charismatique, laissant dans l’ombre la complexitĂ© et la variĂ©tĂ© des conditio..

    Les projets de formation diplÎmante des collaborateurs d'architecte des années 1960

    No full text
    Carnet de recherches du Comité d'histoire du ministÚre de la Culture sur les politiques, les institutions et les pratiques culturelle

    Architects at work : the conditions of apparition, evolution, and standardization of the working places and structures of the architects, 1795-1940

    No full text
    De la libĂ©ralisation des mĂ©tiers lors de la RĂ©volution Ă  la fondation de l'ordre des architectes en 1940, le milieu de l'architecture est traversĂ© d'actions, de dĂ©bats et de combats tendant Ă  l'institutionnalisation de la profession d'architecte. Ce long processus, visant la rĂ©glementation de l'accĂšs Ă  la profession et l'obtention du monopole sur l'architecture Ă  partir de la dĂ©finition et de l'affirmation d'une identitĂ© sociale et professionnelle unique de l'architecte, est marquĂ© par plusieurs Ă©tapes inhĂ©rentes au processus de professionnalisation, parmi lesquelles la revendication de l'exercice d'un travail, l'Ă©tablissement d'Ă©coles de formation, la constitution d'associations professionnelles ou encore la promulgation d'un code de dĂ©ontologie. La dĂ©termination des rĂšgles d'activitĂ©s constitue Ă©galement un jalon du mĂ©canisme, influant au jour le jour sur l'Ă©volution des modalitĂ©s de la pratique des architectes. Si plusieurs travaux de recherche ont dĂ©jĂ  Ă©tĂ© consacrĂ©s Ă  l'histoire de la profession d'architecte, peu ont traitĂ© l'histoire de la dĂ©termination de ces rĂšgles d'activitĂ© et, consĂ©quemment, celle de l'organisation du travail des architectes. À partir de l'Ă©tude des lieux et des structures d'activitĂ©s communĂ©ment nommĂ©es « agences » par les architectes, ce travail ambitionne d'interroger sur le temps long la rĂ©ciprocitĂ© des apports du processus d'institutionnalisation de la profession et de la dĂ©finition des rĂšgles d'activitĂ©s des architectes. Notre hypothĂšse gĂ©nĂ©rale pose que les grandes forces actives dans le processus d'institutionnalisation de la profession – telles l'État agissant comme maĂźtre d'ouvrage public, les grands maĂźtres d'ouvrages privĂ©s nĂ©s de la rĂ©volution industrielle, les associations corporatistes ou encore l'École des Beaux-Arts – ont, tout en reconnaissant Ă  certains individus le statut, le rĂŽle et parfois anachroniquement le « titre » d'architecte, Ă©galement influencĂ©, voire codifiĂ©, les modes, les conditions et les mĂ©thodes de travail des acteurs du milieu qu'elles lĂ©gitimaient. En reconstituant l'histoire du terme « agence », c'est donc Ă©galement celle d'un groupe professionnel que nous retraçons. Dans une premiĂšre partie, les origines du mot « agence », employĂ© dĂšs la fin du XVIIIe siĂšcle et tout au long du XIXe par l'État pour dĂ©finir les structures d'activitĂ© des maĂźtres d'Ɠuvre rĂ©pondant Ă  la commande publique, rĂ©vĂšlent la force du pouvoir Ă©tatique sur la pratique des architectes, Ă  partir notamment de la normalisation de l'acte de la construction ; l'agence des travaux publics apparaĂźt comme un instrument d'homogĂ©nĂ©isation. Dans une deuxiĂšme partie, la diffusion du modĂšle d'organisation du travail des architectes conçu par l'État au cours du XIXe siĂšcle aux services publics dĂ©centralisĂ©s et spĂ©cialisĂ©s d'architecture, ainsi que sa reprise par certaines compagnies privĂ©es d'investisseurs de la rĂ©volution industrielle, illustre la transmission de mĂ©thodes Ă  divers sous-groupes de la profession. Dans une troisiĂšme partie, aprĂšs l'adoption du code Guadet en 1895 par les associations professionnelles, texte fondateur de l'affirmation de l'exercice libĂ©ral, les influences du marchĂ© et de la commande sur l'Ă©volution des agences sont observĂ©es et expliquent l'introduction et le dĂ©veloppement de l'exercice salariĂ© et en association dans la profession d'architecteFrom the liberalization of professions during the French Revolution to the foundation of the Order of Architects in 1940, the architectural world has been confronted to actions, debates and fights, which led to institutionalizing the profession of architect. This long process aimed at the regulation of access to the job and at the monopolization on architecture, through the definition and affirmation of a unique social and professional identity of the architect. It is made of several steps, all inherent in the professionalization process: the claim to a working activity, the establishment of training schools, the creation of professional associations, or the promulgation of a deontology code. The establishing of working rules is also a milestone to this process, influencing day by day the evolution of architects' practices. Already some research have been done in the general history of the profession of architect, but only a few have considered the history of these working rules, and, thus, of the working organization of architects. This research starts from the study of the places and structures, commonly called “offices” (agence) by the architects. It aims at questioning in the long run the reciprocal relation between the institutionalization of the profession and the definition of the working rules of the architects. The general hypothesis is the following: the active forces in the process of institutionalization of the profession – such as the State acting as a public sector contractor, the private sector big contractors born out of the industrial revolution, the corporate associations, the School of Fine Arts – have on the one hand given the status, role and, sometimes in an anachronistic way, the title of “architect”, and on the other hand influenced, even codified, the working conditions and methods of the actors they were legitimating. By reconstituting the history of the term “office”, this research also reconstructs the history of a profession. In a first part, we show that the word “office” has been used from the end of the 18th century and all along the 19th century by the State, in order to define the structures of activity of the project managers dealing with public procurement. This shows the strength of the state power on the architects' practices, through the normalization of the building process. The public works administration appears to be a tool of standardization. In a second part, the pattern for organizing the work of architects, designed by the State during the 19th century, is generalized to the decentralized and specialized architectural public services. It is also used by some private investment companies during the industrial revolution. This illustrates the transmission of methods to different sub-branches of the profession. In a third part, we start from the adoption of the Guadet code in 1895, a seminal text about liberal professions. We show how the growing influences of market and command on offices explain the introduction and development of the salaried and associational employmen

    Les enseignements de pratique opérationnelle aprÚs 1968 : le cas des antennes pédagogiques expérimentales

    No full text
    Carnet de recherches du ComitĂ© d'histoire du ministĂšre de la Culture sur les politiques, les institutions et les pratiques culturelles« Le rĂŽle de la Pratique OpĂ©rationnelle est principalement d’apporter aux Ă©tudiants une vue concrĂšte et si possible complĂšte des mĂ©canismes et des rĂŽles respectifs des diffĂ©rents intervenants de l’acte de bĂątir en les faisant eux-mĂȘmes participer Ă  cet acte dans le cadre de l’enseignement. » DiffusĂ©e en 1971 au sein de la jeune unitĂ© pĂ©dagogique d’architecture n° 1 (UP1), cette note, qui dĂ©finit la pratique opĂ©rationnelle, est aux fondements de l’invention d’une structure novatrice : l’antenne pĂ©dagogique expĂ©rimentale, accueillant pour des stages longs les Ă©tudiants en architecture de 3e cycle, encadrĂ©s par des enseignants et des professionnels, dans des missions d’études et de rĂ©alisations architecturales et urbaines. AprĂšs un retour sur les arguments pĂ©dagogiques et les raisons politiques ayant justifiĂ© ce type d’expĂ©rimentation dans l’enseignement de l’architecture de la dĂ©cennie 1970, les acteurs, les lieux et les enseignements de trois de ces antennes (Cergy, Trappes et l'antenne rurale des CĂ©vennes) sont analysĂ©s, en mettant en lumiĂšre, dans la mesure du possible, les convergences et les Ă©carts entre les intentions initiales qui ont portĂ© ces projets pĂ©dagogiques et la rĂ©alitĂ© de la mise en Ɠuvre de ces derniers

    Institutionnalisation de la profession d’architecte exprimĂ©e par un titre, XIXe-XXe siĂšcles

    No full text
    International audienc

    L’apparition de l’agence d’architecture

    No full text
    International audienc
    corecore