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    Compliance and treatment satisfaction of post menopausal women treated for osteoporosis. Compliance with osteoporosis treatment

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    International audienceBackgroundAdherence to anti-osteoporosis treatments is poor, exposing treated women to increased fracture risk. Determinants of poor adherence are poorly understood. The study aims to determine physician- and patient- rated treatment compliance with osteoporosis treatments and to evaluate factors influencing compliance.MethodsThis was an observational, cross-sectional pharmacoepidemiological study with a randomly-selected sample of 420 GPs, 154 rheumatologists and 110 gynaecologists practicing in France. Investigators included post-menopausal women with a diagnosis of osteoporosis and a treatment initiated in the previous six months. Investigators completed a questionnaire on clinical features, treatments and medical history, and on patient compliance. Patients completed a questionnaire on sociodemographic features, lifestyle, attitudes and knowledge about osteoporosis, treatment compliance, treatment satisfaction and quality of life. Treatment compliance was evaluated with the Morisky Medication-taking Adherence Scale. Variables collected in the questionnaires were evaluated for association with compliance using multivariate logistic regression analysis.Results785 women were evaluated. Physicians considered 95.4% of the sample to be compliant, but only 65.5% of women considered themselves compliant. The correlation between patient and physician perceptions of compliance was low (κ: 0.11 [95% CI: 0.06 to 0.16]). Patient-rated compliance was highest for monthly bisphosphonates (79.7%) and lowest for hormone substitution therapy (50.0%). Six variables were associated with compliance: treatment administration frequency, perceptions of long-term treatment acceptability, perceptions of health consequences of osteoporosis, perceptions of knowledge about osteoporosis, exercise and mental quality of life.ConclusionCompliance to anti-osteoporosis treatments is poor. Reduction of dosing regimen frequency and patient education may be useful ways of improving compliance

    Intérêt et place de la tomographie par émission de positons (TEP) chez les patients ayant des métastases osseuses révélatrices

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    POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    EFFETS ET MECANISMES D'ACTION DU FIBROBLAST GROWTH FACTOR-2 SUR LES OSTEOBLASTES DE CALVARIA HUMAINE

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    PARIS7-Bibliothèque centrale (751132105) / SudocSudocFranceF

    Etude des polymorphismes du gène du récepteur de la vitamine D au cours du cancer du sein avec ou sans métastase

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    POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de la densité minérale osseuse et des arthralgies chez les patientes ayant un cancer du sein traitées par inhibiteur de l'aromatase

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    Introduction : Le cancer du sein, cancer le plus fréquent chez la femme, est souvent traité par des inhibiteurs de l'aromatase (IA). De nombreuses études ont mis en évidence la présence d'arthralgies et une perte osseuse lors de ce traitement. L'origine des arthralgies est fréquemment rattachée à la carence en oestrogène. Ainsi cette étude mono-centrique, rétrospective, a pour but de rechercher s'il existe un lien significatif entre la présence d'arthralgies et une baisse plus importante de la densité minérale osseuse chez les patientes ayant un cancer du sein traitées par IA. Patients et méthode : Nous avons étudié les dossiers des 463 patientes suivies en rhumatologie au CHU de Poitiers, de janvier 2005 à juillet 2013, dans le cadre de leur cancer du sein traité par IA. 273 patientes ont répondu aux critères d'inclusion avec un traitement par IA pris plus d'un an, la réalisation, sur le même appareil, d'une ostéodensitométrie à l'initiation du traitement et au cours du suivi (à 1, 2, 3 ou 5 ans). Les patientes traitées initialement pour une ostéoporose ont été exclues. Nous avons recueilli l'apparition d'arthralgies, le délai d'apparition et leur durée; les caractéristiques et la prise en charge thérapeutique du cancer et les valeurs de densité osseuse, recueillies aux sites habituels. Résultats : Notre analyse ne retrouve pas de lien significatif entre arthralgies et perte osseuse. Trente sept patientes ont présenté une ostéoporose densitométrique (dont 2 patientes ayant une densité initiale normale). On note la survenue d'arthralgies chez 62,6% des patientes, en moyenne à 5,8 mois de traitement et d'une durée en moyenne de 2,26 ans. L'IA a été interrompu chez 15,4 % des patientes en raison des douleurs. Le changement d'IA a permis une amélioration des douleurs dans 54%. Nous notons comme facteurs de risque d'arthralgies un traitement par chimiothérapie notamment par taxanes et une ménopause récente ou chimio-induite. Nous ne retrouvons pas d'association entre arthralgies et rechute. Conclusion : Les patientes ayant bénéficié d'un traitement par chimiothérapie et ayant une ménopause récente ont plus de risque de développer des arthralgies. Le changement d'IA permet dans 54% des cas d'améliorer les douleurs. L'apparition d'arthralgies n'est pas corrélée à une majoration de la perte osseuse ni à une augmentation du risque de récidive du cancer.POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF

    Éditorial

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    SCOPUS: ed.jinfo:eu-repo/semantics/publishe

    Intérêt de la tomographie par émission de positons couplée à la tomodensitométrie, TEP-TDM, chez les patients hospitalisés pour métastases osseuses inaugurales

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    Introduction : Un grand nombre de patients présentant une ou plusieurs métastases osseuses révélatrices est hospitalisé dans le service de rhumatologie du CHU de Poitiers. Le diagnostic de la tumeur primitive est souvent difficile. L'apport de la tomographie par émission de positons couplée à la tomodensitométrie (TEP-TDM) dans cette indication a peu été étudié. Nous nous intéressons donc à la place de la TEP-TDM dans le bilan étiologique à la recherche du cancer primitif chez ces patients. Méthodes : 95 patients présentant une ou plusieurs métastases osseuses inaugurales ont été hospitalisés dans le service de rhumatologie entre le 01/07/2005 et le 30/06/2013. Un bilan comprenant outre l'examen clinique, une radiographie pulmonaire, un examen sénologique ou un dosage de PSA, un scanner thoraco-abdomino-pelvien (TAP), et des examens ciblés selon l'orientation clinique, a été effectué pour chaque patient. Une TEP-TDM a été réalisée chez 59 patients. Nous avons étudié de manière rétrospective l'apport de la TEP-TDM pour le diagnostic de la tumeur primitive et pour le bilan d'extension. Résultats : La tumeur primitive a été diagnostiquée chez 78 patients (82.1%). Trente néoplasies primitives ont été découvertes grâce aux examens standards (dont la radiographie pulmonaire, les explorations sénologiques et prostatiques) et 39 grâce au scanner thoraco-abdomino-pelvien. La TEP-TDM a permis un diagnostic supplémentaire chez 8 patients après échec du bilan conventionnel. Dix-sept néoplasies primitives n'ont pas été diagnostiquées, dont 4 en raison d'un mauvais état général ne permettant pas de réaliser l'ensemble du bilan. La TEP-TDM a été mise en défaut pour le diagnostic du cancer primitif chez 7 patients, et pour le bilan d'extension chez 4 patients. Conclusion : Nous avons confirmé l'intérêt de la TEP-TDM pour la recherche de la néoplasie primitive chez les patients présentant des métastases osseuses révélatrices. Cependant, des études complémentaires sont nécessaires, pour évaluer sa place en première ligne des explorations et l'impact sur la survie d'un meilleur diagnostic du cancer primitif chez ces patients souvent poly-métastatiques, afin de juger de son rapport coût/efficacité.POITIERS-BU Médecine pharmacie (861942103) / SudocSudocFranceF
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