61 research outputs found
Hepatitis C virus-specific cellular immune responses in individuals with no evidence of infection
The detection of hepatitis C virus (HCV)-specific T cell responses in HCV-uninfected, presumably unexposed, subjects could be due to an underestimation of the frequency of spontaneously resolving infections, as most acute HCV infections are clinically silent. To address this hypothesis, HCV-specific cellular immune responses were characterized, in individuals negative for an HCV PCR assay and humoral response, with (n = 32) or without (n = 33) risk of exposure to HCV. Uninfected volunteers (n = 20) with a chronically HCV-infected partner were included as positive controls for potential exposure to HCV and HCV infection, respectively. HCV-specific T cell responses in freshly isolated peripheral blood mononuclear cells were studied ex vivo by ELISPOT and CFSE-based proliferation assays using panels of HCV Core and NS3-derived peptides. A pool of unrelated peptides was used as a negative control, and a peptide mix of human cytomegalovirus, Epstein-Bar virus and Influenza virus as a positive control. Overall, 20% of presumably HCV-uninfected subject tested had detectable T-cell responses to the virus, a rate much higher than previous estimates of HCV prevalence in developed countries. This result would be consistent with unapparent primary HCV infections that either cleared spontaneously or remained undetected by conventional serological assays
Approche scientifique du thermalisme en 2008 (description d'une activité thermale à la station de Bagnères-de-Luchon)
La crénothérapie, médecine antique, doit aujourd'hui prouver son efficacité comme toute thérapeutique moderne afin de conserver une crédibilité auprès de la population et des organismes de soins. Il convient de prouver cette efficacité en se basant sur des études cliniques encadrées, adaptées à la thérapeutique thermale et supervisées par des médecins thermaux motivés, désireux de s'investir dans cette démarche scientifique. L'étude menée à la station thermale de Bagnères-de-Luchon au cours de l'été 2007 a permis de dégager un profil épidémiologique des curistes fréquentant l'établissement durant cette période. Ce profil entre dans une première étape d'élaboration d'une base de données qui pourrait servir à de futurs essais cliniques possibles en facilitant le travail d'inclusions de patients dans ces essais. Ces études pourraient être étendues et ainsi préparer d'autres études dans d'autres stations.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Pharmacovigilance formation et information sur le médicament (comment améliorer les relations entre les médecins généralistes et le Centre régional de pharmacovigilance en Midi-Pyrénées ? L'apport d'Internet)
Ce travail vise le développement par le CRPV d'un réseau de pharmacovigilance et de bonnes pratiques pharmacologiques et thérapeutiques en médecine générale. La sous notification des EIM au CRPV altère La pharmacovigilance. Il est probablement possible de la limiter par la mise en place d'une notification par Internet. Le CRPV est également une source d'information et de formation indépendante sur le médicament. La mise en place d'un site de FMC en pharmacologie et thérapeutique peut permettre de développer ce rôle. La pharmacovigilance est principalement une question de communication entre acteurs de santé qui peut être intensifiée par l'utilisation d'Internet.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Erythropoiétine et hormone de croissance (risques encourus dans une pratique de dopage sportif)
TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Allées (315552109) / SudocSudocFranceF
Le conseil officinal du sportif de compétition (à propos d'une enquête menée auprès de 101 pharmaciens d'officine et de 49 médecins)
Face à une législation complexe et une liste longue et fastidieuse de spécialités interdites, le pharmacien d'officine ne dispose pas de document traitant des médicaments non dopants et des recommandations destinés au sportif de compétition. L'objectif principal de ce travail était de réaliser un guide pratique de ce type de conseil officinal. Deux enquêtes portant sur le traitement du sportif de compétition lors de pathologies bénignes et courantes, ont été menées auprès de 101 pharmaciens d'officine et de 49 médecins. L'évaluation du caractère dopant et l'appréciation de l'efficacité des traitements proposés montrent que pharmaciens et médecins ont une connaissance globale des substances dopantes mais imprécise par manque d'informations claires et faciles d'accès. Ces résultats, nous ont permis de proposer un livret de conseil officinal du sportif de compétition qui allie traitement médicamenteux possible et informations pratiques.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocTOULOUSE3-BU Santé-Allées (315552109) / SudocSudocFranceF
Analyse rétrospective des effets indésirables notifiés aux Centre régionaux de pharmacovigilance en France dans le cadre d une prescription hors AMM en pédiatrie
Off-label and unlicensed prescriptions are widespread in paediatry without knowledge about efficacy, and adverse drug reactions profile (ADR). A retrospective study was carried out with spontaneous reports of ADR enregitered in the French Pharmacovigilance database in 2006. We included 823 observations corresponding to children from 2 to 11 years old. Forty-seven percent of patients received at least one off-label or unlicensed prescription. Serious ADR were more often found in off-label or unlicensed prescriptions (52,35%). The largest proportions of off-label or unlicensed prescriptions were found among antineoplasics (88,19%), and genito-urinary system and sexual hormones (60%). The largest proportions of off-label or unlicensed ADR belong to classes of liver and biliary ducts (76,09%) and extra cardiac vascular system (75%). Clinical trials should be undertaken in order to justify such practices, in addition to a more intense surveillance of ADR.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Le PMSI outil de détection des effets indésirables médicamenteux en pédiatrie, comparaison avec la notification spontanée (étude à l'hôpital des enfants de Toulouse de 2008 à 2009)
TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Effets indésirables médicamenteux de type cancer (inserts de la Banque nationale de pharmacovigilance)
Nos connaissances sur le risque de cancer lié aux médicaments sont limitées par de nombreux facteurs (longue période de latence, facteurs confondants ). L'objectif de notre étude a été d'analyser les EI type cancer enregistrés dans la BNPV de 1995 à 2006. 414 cas ont été identifiés chez des patients âgés de 2 à 95 ans. Les cancers les plus notifiés sont les lymphomes, les leucémies et les cancers cutanés. Les médicaments les plus cités sont les immunosuppresseurs, les glucocorticoïdes et les vaccins de l'hépatite B. Notre étude a permis de retrouver les associations médicament / cancer décrites dans la littérature et suggère l'existence potentielle d'autres associations. Ces résultats montrent que les données de la BNPV sont conformes aux connaissances actuelles et qu'elles peuvent être utiles dans la recherche du lien médicament / cancer. Une collaboration CRPV / registres des cancers et la réalisation d'études pharmacoépidémiologiques permettraient de mieux appréhender ce problème.TOULOUSE3-BU Santé-Centrale (315552105) / SudocSudocFranceF
Tremblements et mouvements anormaux aigus d'origine médicamenteuse
Les auteurs décrivent les caractéristiques sémiologiques et les étiologies des principaux mouvements anormaux aigus d'origine médicamenteuse : tremblements, myoclonies, mouvements choréïques, mouvements athétosiques, dyskinésies, dystonies, tics ainsi que les médicaments le plus fréquemment imputés. Ils discutent la conduite à tenir pratique. Les tremblements apparaissent comme les mouvements anormaux aigus d'origine médicamenteuse les plus fréquents. Devant tout mouvement anormal, on doit, a priori, rechercher une cause médicamenteuse, suspecter systématiquement et imputer en premier lieu les neuroleptiques (vrais ou "cachés") puis les autres médicaments psychoactifs. En général, les mouvements anormaux aigus d'origine médicamenteuse
sont des effets indésirables régressifs à l'arrêt du médicament en cause (lorsque ceci est possible) : ils ne nécessitent pas de traitement spécifique. Les mouvements anormaux d'origine médicamenteuse sont souvent insuffisamment renseignés dans les Résumés des Caractéristiques des Produits (RCP)
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