24 research outputs found

    Pyélonéphrite Emphysémateuse Avec Une Issue Favorable Après Traitement Conservateur.

    Get PDF
    Introduction: La pyélonéphrite emphysémateuse est une infection  nécrotique du rein dont la sanction est le plus souvent radicale.Objectif: Notre propos est de montrer que le traitement conservateur pourrait suffire surtout dans les stades précoces.Observation: Nous rapportons le cas d’une pyélonéphrite  emphysémateuse chez un patient diabétique ayant évolué très  favorablement sous antibiothérapie adaptée sans recours à un traitement radical.Commentaire: Initialement décrite en 1898, la pyélonéphrite  emphysémateuse est une infection nécrotique du rein caractérisée par la présence de gaz au sein du parenchyme rénal, des cavités excrétrices ou des espaces périrénaux. C’est une affection rare, survenant  préférentiellement chez des sujets diabétiques. En l’absence d’un  diagnostic et d’une prise en charge précoces, l’évolution peut être fatale par l’installation d’un choc septique et d’une défaillance multiviscérale. La tomodensitométrie est l’examen de référence qui permet le diagnostic positif par la présence de gaz et une classification en quatre stades  pronostiques. Les attitudes thérapeutiques divergent entre traitement mutilant, drainage percutané et traitement conservateur.Conclusion: Notre observation illustre la place du traitement médical essentiellement dans les stades précoces

    Angiomyolipome Rénal et Sclérose Tubéreuse de Bourneville: Revue de la Littérature à Propos de Deux Cas.

    Get PDF
    Objectif: La sclérose tubéreuse de Bourneville est une affection héréditaire caractérisée par le développement de tumeurs bénignes à type d’hamartomes au niveau de la peau, du rein, du cou, du cerveau et de l’oeil. Le but de rapporter nos deux observations est de rappeler les différentes caractéristiques de cette pathologie. Observations: Nous rapportons deux cas de sclérose tubéreuse de Bourneville avec manifestation rénale. Il s’agit de deux jeunes patients suivis pour sclérose tubéreuse de Bourneville et chez qui l’atteinte rénale sous forme d’angiomyolipome est venue corroborer le diagnostic. Discussion: L’atteinte rénale doit être dépistée systématiquement chez les patients ayant une sclérose tubéreuse de Bourneville. A côté des kystes corticaux et de l’angiomyolipome bénins, la malignité n’est pas exclue soulignant l’intérêt de la biopsie rénale devant le doute.Mots clés: Angiomyolipome, Rénal, Sclérose, Tubéreuse, Bournevill

    Le drainage pelvien après adénometomie prostatique transvésicale reste-il indispensable?

    Get PDF
    RésuméObjectifLa chirurgie ouverte garde encore sa place dans la prise en charge de l’hyperplasie bénigne de la prostate (HBP). Nous rapportons notre expérience préliminaire d’adénomectomie par voie haute sans drainage sous péritonéal.Patients et méthodesNous avons évalué de façon prospective 100 adénomectomies consécutives pour (HBP), effectuées par voie haute entre juin 2007 et juillet 2009. L’énucléation de l’adénome était faite par voie transvésicale. Chez les 50 premiers patients (groupe 1), un drain de Redon aspiratif a été placé en sous péritonéal. Chez les 50 suivants (groupe 2), après une épreuve d’étanchéité, aucun drain n’a été mis en place.RésultatsLes deux groupes avaient un âge moyen et un volume prostatique comparables. Le séjour hospitalier était supérieur d’un jour dans le premier groupe. Le taux global de complications postopératoires était identique dans les deux groupes (10%).ConclusionL’absence de drainage sous péritonéal après adénomectomie de la prostate ne s’accompagne pas de plus de complications que dans la technique classique avec drainage. Un gain en jours d’hospitalisation peut au contraire s’en suivre.AbstractObjectivesOpen surgery still has its place in the management of Benign Prostatic Hyperplasia (BPH). We present our preliminary experience with drain-free suprapubic prostatectomy.Patients and MethodsWe assessed prospectively 100 consecutive prostatectomies for BPH, performed by the transvesical suprapubic approach between June 2007 and July 2009. Adenoma enucleation was performed via sagittal incision of the bladder. In the first 50 patients (group 1), aspirative Redon drains were placed in the retroperitoneum. In the following 50 patients(group 2), after testing for water-tightness, no drains were placed.ResultsThe two groups were matched for age and prostate size. Average hospitalization was one day longer in group 1. Overall complication rates were identical in the two groups (10%).Conclusiondrain-free simple transvesical suprapubic prostatectomy is not associated with more complications than the classic procedure with a drain in the pelvis. It may actually allow for a shorter hospital stay

    Transperitoneal Laparoscopic Pyelopyelostomy for Retrocaval Ureter without Excision of the Retrocaval Segment: Experience on Three Cases

    Get PDF
    Introduction. Retrocaval ureter is a rare congenital anomaly. Open surgery was the classic treatment for this condition. Laparoscopy is currently an admitted procedure to treat many urological diseases. The objective of our study is to present our experience and discuss the safety and the feasibility of transperitoneal laparoscopic pyelopyelostomy for treatment of retrocaval ureter (RCU). Materials and Methods. Three symptomatic patients underwent laparoscopic repair for RCU in our department. The diagnosis was suspected on the computed tomography scan (CT) and confirmed on ascending pyelography. After placement of a JJ stent, and, using the transperitoneal approach, the retro peritoneum was exposed; the ureter was identified in both sides of the vena cava. The retrocaval segment was entirely mobilized and pulled from behind of the vena cava after section of renal pelvis. A pyelopyelostomy was done in a normal anatomic position. Results. All operations were achieved laparoscopically without conversion to open surgery. The mean operative time was 140 minutes (110–190). No intraoperative complication occurred. Blood loss was less than 50 mL in all patients. The mean hospital stay was 5 days (4–6 days). All patients were symptom-free after surgery and had reduction of hydronephrosis in control imagery. Conclusion. Laparoscopy seems safe, feasible, and reproducible in managing retrocaval ureter

    Kyste epidermoide du sesticule A propos d'une observation

    No full text
    No Abstract

    Genital self-amputation or the Klingsor syndrome: Successful non-microsurgical penile replantation

    No full text
    Self-mutilations of the external genitals in psychiatric patients also known as Klingsor syndrome is a rare urologic trauma. Men with religious conflicts, low self-esteem, unresolved transsexual issues and feelings of guilt are the most vulnerable. This condition requires immediate surgical intervention. Currently replantation involves meticulous microsurgery and has become the primary method for managing these patients. In this paper, we report a case of self amputation of penis in a patient with a psychiatric history significant for schizopfrenia. Because of the unavailability of a microscope in our department, a non-microsurgical replantation without microscopic magnification was attempted. After surgery, normal appearance and function including a good normal voiding, sensation, and erections were observed

    Case Report: Diagnostic et traitment des tumeurs kystiques de l\'albuginée. A propos d\'un cas

    No full text
    No abstract available African Journal of Urology Vol.11(2) 2005: 133-13

    Cystite emphaysemateuse: A propos d'une abservation

    No full text
    No Abstract
    corecore