73 research outputs found

    Genetic Variant in HK1 Is Associated With a Proanemic State and A1C but Not Other Glycemic Control–Related Traits

    Get PDF
    OBJECTIVE A1C is widely considered the gold standard for monitoring effective blood glucose levels. Recently, a genome-wide association study reported an association between A1C and rs7072268 within HK1 (encoding hexokinase 1), which catalyzes the first step of glycolysis. HK1 deficiency in erythrocytes (red blood cells [RBCs]) causes severe nonspherocytic hemolytic anemia in both humans and mice. RESEARCH DESIGN AND METHODS The contribution of rs7072268 to A1C and the RBC-related traits was assessed in 6,953 nondiabetic European participants. We additionally analyzed the association with hematologic traits in 5,229 nondiabetic European individuals (in whom A1C was not measured) and 1,924 diabetic patients. Glucose control–related markers other than A1C were analyzed in 18,694 nondiabetic European individuals. A type 2 diabetes case-control study included 7,447 French diabetic patients. RESULTS Our study confirms a strong association between the rs7072268–T allele and increased A1C (β = 0.029%; P = 2.22 × 10−7). Surprisingly, despite adequate study power, rs7072268 showed no association with any other markers of glucose control (fasting- and 2-h post-OGTT–related parameters, n = 18,694). In contrast, rs7072268–T allele decreases hemoglobin levels (n = 13,416; β = −0.054 g/dl; P = 3.74 × 10−6) and hematocrit (n = 11,492; β = −0.13%; P = 2.26 × 10−4), suggesting a proanemic effect. The T allele also increases risk for anemia (836 cases; odds ratio 1.13; P = 0.018). CONCLUSIONS HK1 variation, although strongly associated with A1C, does not seem to be involved in blood glucose control. Since HK1 rs7072268 is associated with reduced hemoglobin levels and favors anemia, we propose that HK1 may influence A1C levels through its anemic effect or its effect on glucose metabolism in RBCs. These findings may have implications for type 2 diabetes diagnosis and clinical management because anemia is a frequent complication of the diabetes state

    Santé publique : par delà le bien et le mal (Commentaire)

    No full text
    Czernichow Pierre. Santé publique : par delà le bien et le mal (Commentaire). In: Sciences sociales et santé. Volume 25, n°1, 2007. pp. 25-31

    L’environnement, la santé et les citoyens : entre savoir et pouvoir (Commentaire)

    No full text
    Czernichow Pierre. L’environnement, la santé et les citoyens : entre savoir et pouvoir (Commentaire). In: Sciences sociales et santé. Volume 27, n°2, 2009. pp. 107-119

    L'émergence de l'éthique clinique : sociologie de la mort ou mort de la sociologie ? (Commentaire)

    No full text
    Czernichow Pierre. L'émergence de l'éthique clinique : sociologie de la mort ou mort de la sociologie ? (Commentaire). In: Sciences sociales et santé. Volume 21, n°2, 2003. pp. 71-78

    Dépistage et prévention du VIH par les médecins généralistes de l'agglomération rouennaise

    No full text
    Objectif : En 2008, on constate que près d'une personne sur trois (29%) découvre sa séropositivité à un stade avancé de l'immunodépression (CD4<200/mm3) et ces trois dernières années sont marquées par la stagnation de l'incidence des découvertes de séropositivité et des cas de sida. Fort de ces constats, la Haute Autorité de santé a élaboré de nouvelles recommandations impliquant largement le médecin généraliste dans l'amélioration du dépistage et de la prévention du VIH. Elle propose de dépister toute la population âgée de 15 à 70 ans, sans notion de facteur de risque , mais aussi les catégories répertoriées à risque , de façon régulière. L'objectif de ce travail de thèse était d'étudier le rôle actuel des médecins généralistes dans le dépistage et la prévention du sida et les méthodes qu'ils utilisent, à l'heure où les programmes de santé préconisent des méthodes innovantes les concernant majoritairement. Méthode: Il s'agissait d'une étude descriptive reposant sur des auto-questionnaires réalisés auprès de 104 médecins généralistes de l'agglomération Rouennaise et recueillis en décembre 2009. Elle abordait l'activité de prévention du VIH des médecins. les principaux critères utilisés pour la proposition du dépistage, la perception qu'a le médecin de sa place dans le dépistage et la prévention du VIH, ainsi que les principales difficultés à aborder ces thèmes auprès des patients. Enfin, il s'intéressait à la formation et aux compétences ressenties des médecins généralistes, en matière de communication dans le cadre du dépistage et de la prévention du VIH. . Résultats : La majorité des médecins (90%) pensait jouer un rôle important dans le dépistage et la prévention du VIH. Pourtant, seul 17% d'entre eux disaient être les initiateurs de la discussion sur le sida avec leurs patients. Les motifs de dépistage les plus fréquents étaient les consultations de grossesse et les personnes ayant des rapports sexuels non protégés. La population des jeunes était majoritairement ciblée, venaient ensuite les homosexuels, les toxicomanes et les immigrés sub-sahariens. Les séparés/divorcés, les célibataires, les populations plus âgées étaient très peu évoqués par les médecins. La plupart des médecins interrogés effectuait une activité de prévention auprès de ses patients, conjointement à la prescription du test VIH, que ce fut le patient ou le médecin lui-même à l'origine de la demande du dépistage. Pourtant, 62.5% d'entre eux pensaient jouer seulement quelquefois un rôle dans la modification des pratiques à risques des patients. Les médecins étaient ainsi 62% à n'avoir jamais fait de formation sur le VIH, 43% jugeaient leurs compétences de communication sur ces sujets insuffisantes et 48% pensaient que l'offre sur ces thèmes était insuffisante. Il se dessinait dans cette étude que, pour les médecins, la gêne du patient était le principal facteur freinant le dépistage et la prévention du VIH. Le manque de temps était évoqué par près de 39% d'entre eux et 30% incriminaient la stigmatisation persistante de cette maladie. La quasi-totalité des médecins indiquait ne pas être gênée pour parler du sida avec leurs patients. Il se dégage cependant dans cette étude que 24% d'entre eux ont déjà prescrit un test sans en informer leur patient. Conclusion : Les pouvoirs publics devraient élaborer des campagnes de promotion du dépistage élargi du VIH vers la population générale. Un large public pourrait alors se sentir concerné par le VIH et cela inciterait peut-être l'évocation du sujet au cours d'une consultation avec son médecin.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Facteurs associés à la mise en oeuvre d'un référentiel de surveillance du cancer de la prostate en Haute-Normandie

    No full text
    Contexte : L'augmentation attendue du nombre de patients porteurs de cancers dans les années à venir, incite les intervenants à réorganiser leur prise en charge et notamment leur suivi. C'est dans cette optique que le Réseau Onco-Normand a proposé en 2004 un référentiel régional visant à développer le suivi conjoint entre médecin spécialiste et médecin traitant des patients atteints de cancer de la prostate. Objectifs : Cette étude avait pour objectids de décrire les pratiques de suivi du cancer de la prostate en Haute-Normandie depuis 2004, de déterminer les facteurs de mise en oeuvre du référentiel régional de surveillance des patients traités pour cancer de la prostate. Méthodes : Cette étude rétrospective sur la période 2004-2006 incluait, à partir de la base régionale PMSI 2004 tous les établissements prenant en charge le cancer de la prostate. Dans chaque établissement 30 patients étaient tirés au sort. Les caractéristiques du patients, de sa prise en charge, et de la surveillace effectuée durant 2 ans étaient recueillies. Résultats : Au total, 175 patients traités pour cancer de la prostate provenant de 7 établissements de Haute-Normandie ont été inclus dans cette étude. L'âge moyen des patients était de 65,7 ans (+/- 8,1). le mode de découverte était dans 64,5% des cas le dépistage individuel par dosage du PSA. Le traitemet chirurgical le plus représenté était la prostatectomie radicale (N=117). Un traitement adjuvant a été prescrit chez 52 patients (29,7%), une radiothérapie chez 40 poatients (22,3%) et une hormonothérapie chez 31 patients (17,7%). Les consultations de suivi à 6 mois (N=159) et à 12 mois (N= 153) étaient effectuées respectivement dans 91,8% et 77,1% des cas par un chirurgien urologue. La particicpation la plus importante des médecins traitants était constatée à 18 mois de suivi (N=143), où ils intervenaient dans 31,5% des cas. Un suivi minimal, conforme au référentiel sur 2 ans, associant consultation et dosage du PSA semestriel, était retrouvé chez 78,9% des sujets inclus. Le délai de 6 mois entre 2 examens de surveillance était respecté dans 56,8% des cas. Au final, un suivi conforme au référentiel, en terme d'examens effectués et de délai, était retrouvé dans 46,9% des cas. Le seul facteur associé à un suivi conforme était la consultation par un médecin traitant, au moins une fois sur les deux premières années de suivi. Conclusion : Notre étude a montré que malgré les recommandations du référentiel régional de surveillance favorisant un suivi conjoint, la participation des médecins traitants au suivi des patients atteints de cancer de la prostate restait limitée. Néanmoins, le suivi des patients consultants leur médecins traitant était plus souvent conforme au référentiel que le suivi des patients ayant consulté exclusivement un médecin spécialiste. Cette étude a montré que la mise en place d'un suivi conjoint pouvait être bénéfique pour le patient, et doit encourager les intervenants à poursuivre dans cette voie.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Respect des droits des usagers du système de santé (évaluation par les données de certification des établissements de santé. Etude pilote en Haute-Normandie)

    No full text
    Contexte : Depuis l'arrêté du 10 juillet 2006, les conférences régionales de santé et de l'autonomie (CRSA) évaluent le respect des droits des usagers du système de santé selon un modèle de rapport-type constitué de 13 axes. La conférence nationale de santé (CNS) qui collecte et analyse ces rapports, a mis en évidence des disparités des méthodes d'évaluations régionales, ce qui rend difficile l'interprétation nationale. La certification des établissements de santé (ES) par la Haute Autorité de Santé (HAS) est constituée d'items dont certains reprennent les droits des usagers. Nous avons mis en place une méthode d'évaluation du respect des droits des usagers du système de santé, respectant le rapport-type, à partir de la certification. Une étude pilote a été menée en Haute-Normandie. Matériel et méthode : Pour chacune des versions de certification HAS V2, V2007 et V2010, nous avons sélectionnés les items répondants aux 13 axes du rapport-type de la CNS. Chaque item est réparti dans un ou plusieurs axes. Les cotations (A, B, C ou D) obtenues par les 27 ES Hauts-Normands certifiés V2 et V2007, pour les items retenus, sont relevées, ainsi que leur statut public/privé et leur capacité. Le pourcentage de A (meilleure cotation) obtenu pour chaque axe, chaque établissement et par groupe d'établissements V2N2007, public/privé et plus de 100 lits/ moins de 100 lits, est calculé. Un test du Khi-deux a été utilisé pour comparer la distribution des pourcentages de A obtenus. Résultats : Les pourcentages de A calculés varient significativement : entre les 13 axes (41% - 69%), tout ES confondu. entre les 27 ES (7% - 85%), tout axe confondu. entre les groupes d'ES certifiés V2 et V2007 (respectivement 53% et 59%), tout axe confondu. sur 2 axes entre le groupe Public/ Privé. entre les groupes d'ES de petite et grande capacité (respectivement 61 et 46%), tout axe confondu. Discussion : La méthode testée nous a permis d'évaluer, à partir de données publiques, contrôlées et potentiellement exhaustives, le respect des droits des usagers suivant les critères du rapport-type. Cette méthode a de nombreux avantages : les données sont facilement accessibles (via internet), leurs recueils n'engendrent pas de surcoût. Les items ont été sélectionnés et répartis par les investigateurs. Une validation de la sélection, répartition puis pondération des items au sein des axes par un groupe d'usagers, a été envisagée afin de palier à cette limite majeure. L'inclusion de nouvelles versions de certification permet une adaptation de l'évaluation aux exigences législatives, mais ne doit pas induire un écart artificiel dans les résultats. Il sera nécessaire d'évaluer la possibilité d'appliquer cette méthode à d'autres structures qui font ou feront l'objet d'une certification : psychiatrie, soins de suite et de réadaptation, hospitalisation à domicile voire réseaux de santé. Conclusion : Une fois validée, cette méthode pourrait-être exploitée au sein des différentes régions, dans le cadre de l'évaluation des respects des droits des usagers, selon une pratique qui serait alors uniformisée. Ceci permettrait, avec le concours de développement d'autres méthodes d'évaluation à partir de données publiques, de réaliser par la CNS une analyse facilitée, plus fine et plus fiable des différents rapports régionaux.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Relation à court terme entre pollution atmosphérique et santé (quelques aspects statistiques et épidémiologiques)

    No full text
    PARIS7-Bibliothèque centrale (751132105) / SudocSudocFranceF
    corecore