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Heterogeneously catalyzed lignin depolymerization
Biomass offers a unique resource for the sustainable production of bio-derived chemical and fuels as drop-in replacements for the current fossil fuel products. Lignin represents a major component of lignocellulosic biomass, but is particularly recalcitrant for valorization by existing chemical technologies due to its complex cross-linking polymeric network. Here, we highlight a range of catalytic approaches to lignin depolymerisation for the production of aromatic bio-oil and monomeric oxygenates
Études de structure et dynamique des radicaux libres muoniques : radiolyse par faisceaux de muons et spectroscopie µSR
Cet article a trait à l’étude des radicaux libres marqués par le muonium. Ce sont des radicaux organiques dont un atome d’hydrogène est remplacé par le muonium, Mu = µ+e-, celui-ci étant considéré comme l’isotope léger de l’hydrogène. De telles espèces sont formées à la suite de l’irradiation de certains composés non-saturés avec des faisceaux de muons positifs. Elles peuvent être détectées avec une grande sensibilité et sélectivité par la spectroscopie dite µSR, qui utilise le spin du muon comme sonde des interactions hyperfines. L’exemple du radical éthyl, et la comparaison des propriétés de l’espèce substituée CH2.CH2Mu avec celles de sa contre-partie CH2.CH3, servent à illustrer les possibilités spectroscopiques et à mettre en évidence d’intéressants effets isotopiques qui nous renseignent sur la structure de la molécule. Cet exemple sert aussi à démontrer la facilité avec laquelle les espèces muoniques peuvent être détectées, même en phase gazeuse. Un nouvel exemple est celui du C60Mu, l’adduct muonique du fullerène, qui sert à montrer l’utilité du marquage des radicaux polyatomiques dans des études dynamiques
Études de structure et dynamique des radicaux libres muoniques : radiolyse par faisceaux de muons et spectroscopie µSR
Longitudinal muon spin relaxation in metals and semimetals and the Korringa law
The longitudinal muon spin relaxation in metals and semimetals is suggestive of a form of Korringa relaxation in which the hyperfine interaction between the muons and the conduction electrons plays a dominant rôle. We give an alternative derivation of the Korringa law and show how muons may thus be used to study interactions with conduction electrons at interstitial sites. The alternative derivation links the topic to the use of implanted muons both as probes of magnetic and correlated-electron systems and as proton analogues, modelling the behaviour of hydrogen impurity in metals and semimetals
The order-disorder transition of monoclinic sulphur: a precise study by high-resolution neutron powder diffraction
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