48 research outputs found

    Electroweak Radiative Corrections to Neutral-Current Drell-Yan Processes at Hadron Colliders

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    We calculate the complete electroweak O(alpha) corrections to pp, pbar p -> l+l- X (l=e, mu) in the Standard Model of electroweak interactions. They comprise weak and photonic virtual one-loop corrections as well as real photon radiation to the parton-level processes q bar q -> gamma,Z -> l+l-. We study in detail the effect of the radiative corrections on the l+l- invariant mass distribution, the cross section in the Z boson resonance region, and on the forward-backward asymmetry, A_FB, at the Fermilab Tevatron and the CERN Large Hadron Collider. The weak corrections are found to increase the Z boson cross section by about 1%, but have little effect on the forward-backward asymmetry in the Z peak region. Threshold effects of the W box diagrams lead to pronounced effects in A_FB at m(l+l-) approx 160 GeV which, however, will be difficult to observe experimentally. At high di-lepton invariant masses, the non-factorizable weak corrections are found to become large.Comment: Revtex3 file, 39 pages, 2 tables, 12 figure

    Résolution des équations de l'effet Kirkendall

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    The features of the Kirkendall effect, deduced from Darken's equations have been developped and verified for various cases with the aid of a Fortran, programmed computer. The calculation predicts an instability of the displacement of the Kirkendall plane caused by a discontinuity in the déformation in its neighborhood. This instability explains a number of problems encountered in Kirkendall type experiments, problems which had hitherto been attributed to non-intrinsic-effects : marker fragmentation and large scatter in the measurements of the displacements. An example of marker fragmentation is analysed quantitatively.Les propriétés de l'effet Kirkendall, déduites des équations classiques de Darken, sont vérifiées et développées dans différents cas de figure à l'aide de programmes de calcul numérique (*) (Fortran). Les calculs mettent en évidence une instabilité dans le déplacement du plan de Kirkendall, due à la discontinuité de la déformation à son voisinage. Cette instabilité explique les nombreux ennuis rencontrés dans les expériences, et jusqu'ici attribués à des phénomènes parasites : fragmentation des repères, dispersion dans les déplacements. Un exemple de fragmentation est analysé quantitativement

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    Les propriétés de l'effet Kirkendall, déduites des équations classiques de Darken, sont vérifiées et développées dans différents cas de figure à l'aide de programmes de calcul numérique (*) (Fortran). Les calculs mettent en évidence une instabilité dans le déplacement du plan de Kirkendall, due à la discontinuité de la déformation à son voisinage. Cette instabilité explique les nombreux ennuis rencontrés dans les expériences, et jusqu'ici attribués à des phénomènes parasites : fragmentation des repères, dispersion dans les déplacements. Un exemple de fragmentation est analysé quantitativement
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