32 research outputs found

    Change in Sleep Quality of Residents the Night Before High-Fidelity Simulation: Results From a Prospective 1-Year National Survey.

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    peer reviewed[en] OBJECTIVE: The stress level of participants in high-fidelity simulation stems from various factors but may result in anticipatory anxiety causing sleep disturbances during the night prior to simulation. The objective of this survey was to determine the change in sleep quality of residents during the night prior to the simulation. METHODS: The survey was proposed for 1 year to all residents at the beginning of the simulation, in 10 simulation centres. The questionnaire combined demographics and the Leeds Sleep Evaluation Questionnaire using visual analogue scales divided into 4 sleep qualitative domains. The primary outcome was the prevalence of sleep disturbance (>10 mm on 1 domain). Secondary outcomes were the prevalence of severe sleep disturbance (>25 mm), as well as qualitatively and quantitatively reported explanatory sleep parameters. RESULTS: Among respondents, 66% [95% CI: 63 to 69] of residents had more than 10 mm and 27% [95% CI: 24 to 30] had more than 25 mm of sleep disturbance. Residents with a sleep disturbance of more than 10 mm had fewer hours of sleep (6.4 [standard deviation=1.8] vs 7.3 [standard deviation=1.3], difference: -0.9 [95% CI: -1.1 to -0.7]; P < .0001), with a higher number of night-time awakenings (1.3 [standard deviation=1.5] vs 0.7 [standard deviation=0.9], difference: 0.6 [95% CI: 0.4 to 0.8]; P < .0001). CONCLUSION: Among residents participating in the simulation, a high prevalence of change in sleep quality during the night before the simulation was noted. Strategies to help residents achieve better sleep prior to simulation should be explored

    CpG-ODN and MPLA Prevent Mortality in a Murine Model of Post-Hemorrhage-Staphyloccocus aureus Pneumonia

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    Infections are the most frequent cause of complications in trauma patients. Post-traumatic immune suppression (IS) exposes patients to pneumonia (PN). The main pathogen involved in PN is Methicillin Susceptible Staphylococcus aureus (MSSA). Dendritic cells () may be centrally involved in the IS. We assessed the consequences of hemorrhage on pneumonia outcomes and investigated its consequences on DCs functions. A murine model of hemorrhagic shock with a subsequent MSSA pneumonia was used. Hemorrhage decreased the survival rate of infected mice, increased systemic dissemination of sepsis and worsened inflammatory lung lesions. The mRNA expression of Tumor Necrosis Factor-alpha (TNF-α), Interferon-beta (IFN-β) and Interleukin (IL)-12p40 were mitigated for hemorrhaged-mice. The effects of hemorrhage on subsequent PN were apparent on the pDCs phenotype (reduced MHC class II, CD80, and CD86 molecule membrane expression). In addition, hemorrhage dramatically decreased CD8+ cDCs- and CD8- cDCs-induced allogeneic T-cell proliferation during PN compared with mice that did not undergo hemorrhage. In conclusion, hemorrhage increased morbidity and mortality associated with PN; induced severe phenotypic disturbances of the pDCs subset and functional alterations of the cDCs subset. After hemorrhage, a preventive treatment with CpG-ODN or Monophosphoryl Lipid A increased transcriptional activity in DCs (TNF-α, IFN-β and IL-12p40) and decreased mortality of post-hemorrhage MSSA pneumonia

    Morphine intraveineuse continue pour l'analgésie postopératoire en secteur d'hospitalisation pédiatrique

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    L'administration de morphine par voie intraveineuse continue pour l'analgésie postopératoire chez l'enfant est une méthode efficace et sûre mais dont les effets secondaires non négligeables imposent une surveillance rapprochée par du personnel compétent. Cette étude rétrospective sur 236 enfants a permis d'évaluer les effets secondaires, l'efficacité du traitement et la qualité de la surveillance. Aucun incident majeur n'est survenu grâce à une surveillance basée sur des protocoles écrits rigoureux et sur un personnel spécifiquement formé à ce type d'analgésie. Les signes précurseurs de surdosage et les épisodes d'analgésie inadaptée n'étaient pas rares et ont nécessité une adptation permanente du traitement en fonction de l'état de l'enfant. La tolérance dans le sous-groupe ayant bénéficié de kétamine a été excellente.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Métabolisme des agents anesthésiques et cytochromes P450 3A4, 1A2 et 2E1 (influence de l'âge et interactions médicamenteuses)

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    RENNES1-BU Santé (352382103) / SudocPARIS-BIUP (751062107) / SudocSudocFranceF

    Faisabilité et tolérance de l'induction au sévoflurane par manoeuvre de la capacité vitale chez l'enfant de plus de quatre ans.

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    Etude prospective auprès de 120 enfants ayant pour objectif principal l'évaluation de la faisabilité de l'induction anesthésique par la technique de la capacité vitale unique (CV) en fonction de l'âge et pour objectifs secondaires de préciser les facteurs influençant le taux de réussite, de décrire la tolérance clinique en évaluant l'incidence des complications et de préciser la vitesse d'induction à l'aide des stades de Guedel et de l'index bispectral. La CV est utilisable très tôt chez l'enfant. Son taux de réussite (57% entre 4 et 15 ans) est fortement lié à l'âge et atteint des résultats comparables à ceux de l'adulte entre 9 et 11 ans. La nécessité de plus de deux explications avant sa parfaite réalisation est un facteur prédictif d'échec. Le taux de complications est faible et non influencé par la réussite de la technique.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Évaluation de L'I-GEL chez le nourrisson

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    Au cours d'une anesthésie générale, les dispositifs supraglottiques sont une alternative à l'intubation trachéale et au masque facial. L'I-gel TM est un des derniers masques laryngés mis sur le marché en France. Son utilisation est facile chez le grand enfant mais a été peu explorée chez le nourrisson. Cette étude, prospective et observationnelle, a été réalisée sur 61 enfants, en chirurgie programmée, sur une période de 7 mois. L'objectif était d'évaluer la facilité d'utilisation des tailles 1 et 1,5 particulièrement chez l'enfant de moins de 12 kg. Le taux de succès d'insertion a été de 100 %. Seuls 2 enfants ont dû être intubés au cours de l'intervention. L'I-gelTM est une alternative intéressante au masque facial et à l'intubation pour assurer le contrôle des voies aériennes supérieures chez le très jeune enfant, à condition de maîtriser les spécificités de l'anesthésie pédiatrique dans cette tranche d'âge.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocSudocFranceF

    Effets hémodynamiques et respiratoires per-opératoires au cours de la cure de sténose hypertrophique du pylore du nourrisson (coelioscopie versus voie ombilicale)

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    L'objectif de ce travail était de comparer la tolérance respiratoire et hémodynamique de la cure de sténose hypertrophique du pylore chez le nourrisson par incision ombilicale ou par laparoscopie. Cette étude a été réalisée sur trois ans, prospective, randomisée. Cent trois enfants ont été inclus et 94 nourrissons ont été utilisés dans l'analyse (44 dans le groupe Cœlioscopie et 50 dans le groupe Laparotomie). Les paramètres étudiés étaient la saturation en oxygène, la fréquence cardiaque, les pressions artérielles moyenne, systolique et diastolique, la capnie. Les résultats ont mis en évidence une augmentation significative de l'incidence des désaturations lors du pneumopéritoine : 34 des enfants présentent une saturation inférieure à 95 dans le groupe cœlioscopie alors que les enfants étant traités par laparotomie ne sont que 8 à présenter une telle désaturation. Il est licite de ne pas proposer en première indication la technique cœlioscopique dans le traitement de la sténose hypertrophique du pylore.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Comparaison de deux méthodes d'induction anesthésique par inhalation de sévoflurane chez l'enfant (capacité vitale versus volume courant (résultats intermédiaires))

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    L'inhalation de sévoflurane est la méthode de référence pour l'induction anesthésique de l'enfant. Elle est également couramment pratiquée chez l'adulte avec la technique de la capacité vitale (expiration et inspiration profondes, suivies d'une apnée). La tolérance hémodynamique et respiratoire de cette technique est excellente chez l'enfant, mais le taux de réussite est fortement lié à l'âge. L'objectif de ce travail prospectif ouvert a été de comparer la rapidité de l'induction, la tolérance et les effets secondaires de l'induction par inhalation de sévoflurane, par la méthode de la capacité vitale (CV) ou en volume courant (VT). Après accord du CCPPRB et prémédication par midazolam, 114 enfants de 5 à 15 ans devant avoir une anesthésie par inhalation et capables de réaliser en consultation d'anesthésie une capacité vitale, ont été randomisés pour bénéficier soit d'une induction classique en volume courant, soit par capacité vitale, à l'aide d'un circuit préalablement saturé en sévoflurane (7%) dans un mélange 50% N2-0/50% O2. L'analyse a porté sur le délai de perte du réflexe ciliaire et d'obtention du stade III de Guedel, l'index bispectral (BIS), les effets hémodynamiques et respiratoires, l'incidence des mouvements anormaux pendant les dix premières minutes après l'application du masque, ainsi que sur la satisfaction de l'enfant après le retour en chambre. Ce travail rapporte les résultats intermédiaires portant sur les 40 premiers enfants. Aucune différence n'a été mise en évidence entre les deux techniques concernant les différents paramètres de vitesse d'induction anesthésique. Les délais médians (25-75%) de perte du réflexe ciliaire étaient comparables: 31 [27-38]s dans le groupe CV versus 35 [29- 39] s dans le groupe VT. La tolérance a été excellente, avec cependant une accélération de la fréquence cardiaque moindre pour la CV. L'incidence des effets indésirables a été également faible dans les deux groupes. Néanmoins, les épisodes d'agitation sans conséquence clinique et la nécessité d'une assistance transitoire de la ventilation au masque facial ont été plus fréquentes dans le groupe CV(20% et 35% versus 0% et 5%). En revanche, la CV a été plus appréciée des enfants (EVA à 90/100 versus 83/100), probablement en raison de son caractère très ludique et de la participation active qu'elle nécessite. Ainsi, bien qu'elle nécessite un apprentissage préalable consommateur de temps, l'induction anesthésique par inhalation de sévoflurane avec la technique de la capacité vitale est une alternative bien tolérée de la technique classique. Une relation entre le délai de perte du réflexe ciliaire et l'âge (positive dans le groupe VT et négative dans le groupe CV) reste à confirmer sur l'effectif total de patients initialement prévu.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prévention des nausées et vomissements postopératoires dans le cadre de la chirurgie du strabisme chez l'enfant

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    La chirurgie du strabisme est une chirurgie hautement pourvoyeuse de nausées et vomissements postopératoires (NVPO). A ce titre nous avons étudié l'impact de trois mesures prophylactiques associées. Un premier groupe recevait une anesthésie sous-tenonienne réalisée avec de la ropivacaine, un deuxième groupe recevait bolus de dexaméthasone IV à l induction en association avec l anesthésie sous-tenonienne et un dernier groupe recevait un bolus préincisionnel de kétamine IV en plus des mesures précédentes. Ces trois groupe étaient comparés à un groupe contrôle qui ne recevait aucune prophylaxie. Quatre cent quarante quatre enfants ont été analysés. Les quatre groupes étaient comparables. La consommation de nalbuphine était identique dans les quatre groupes. La fréquence d utilisation de l ondansétron et l incidence des NVPO étaient diminuée par 3 grâce à la réalisation d une anesthésie sous-tenonienne et par 6 lorsque l on y associait un bolus de dexaméthasone IV. La réalisation d un bolus préincisionnel de kétamine n apportait pas de diminution supplémentaire. L association d une anesthésie sous-tenonienne et d un bolus IV de dexaméthasone dans le cadre de la chirurgie du strabisme chez l enfant permet une bonne maitrise des NVPO.NANTES-BU Médecine pharmacie (441092101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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