27 research outputs found

    Clinical and neuroimaging correlates of antiphospholipid antibodies in multiple sclerosis: a preliminary study

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>The presence of antiphospholipid antibodies (APLA) in multiple sclerosis (MS) patients has been reported frequently but no clear relationship between APLA and the clinical and neuroimaging features of MS have heretofore been shown. We assessed the clinical and neuroimaging features of MS patients with plasma APLA.</p> <p>Methods</p> <p>A consecutive cohort of 24 subjects with relapsing-remitting (RR) MS were studied of whom 7 were in remission (Rem) and 17 in exacerbation (Exc). All subjects were examined and underwent MRI of brain. Patients' plasma was tested by standard ELISA for the presence of both IgM and IgG antibodies using a panel of 6 targets: cardiolipin (CL), β2 glycoprotein I (β2GPI), Factor VII/VIIa (FVIIa), phosphatidylcholine (PC), phosphatidylserine (PS) and phosphatidylethanolamine (PE).</p> <p>Results</p> <p>In exacerbation up to 80% of MS subjects had elevated titers of IgM antibodies directed against the above antigens. However, in remission, less than half of MS patients had elevated titers of IgM antibodies against one or more of the above antigens. This difference was significant, p < 0.01, for all 6 target antigens. Interestingly, none of the MS patients had elevated plasma titers of IgG against any of the target antigens tested. Correlation analysis between MRI enhancing lesions and plasma levels of APLA revealed high correlation for aPC, aPS and aFVIIa (p ≤ 0.0065), a trend for aPE and aCL (p = 0.056), and no correlation for aβ2GP1. The strongest correlation was for aFVIIa, p = 0.0002.</p> <p>Conclusion</p> <p>The findings of this preliminary study show that increased APLA IgM is associated with exacerbations of MS. Currently, the significance of this association in pathogenesis of MS remains unknown. However, systematic longitudinal studies to measure APLA in larger cohorts of patients with relapsing-remitting MS, particularly before and after treatment with immunomodulatory agents, are needed to confirm these preliminary findings.</p

    Principales remarques du GT SFRP/CIPR concernant le projet de recommandations 2005 de la CIPR

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    La Commission internationale de protection radiologique a mis l’été dernier sur son site Internet, pour avis, son nouveau projet de recommandations avant de le finaliser courant 2005. Comme pour les ébauches précédentes, la Société française de radioprotection a, au travers d'un groupe de travail, fait ses commentaires sur le projet actuel. Le texte envoyé à la CIPR est présenté ici aux lecteurs de la revue de la SFRP

    Exposition aux rayonnements ionisants des personnels médicaux. Pour une catégorisation et une surveillance dosimétrique rationnelles

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    Avec les progrès des appareils et des techniques d'imagerie, la presque totalité des personnels médicaux exposés aux rayonnements ionisants ne reçoit plus aujourd'hui que des doses de rayonnement très faibles, voire insignifiantes. Ces personnels ne répondent plus à la définition légale de personne directement affectée aux travaux sous rayonnements (catégorie A), supposés pouvoir recevoir annuellement des doses à l'organisme entier comprises entre 6 et 20 mSv. Ces personnels doivent donc être classés en catégorie B et les salles où ils travaillent doivent être des zones surveillées et non des zones contrôlées. Seuls certains postes (angiographie et radiologie interventionnelle, injection de radiopharmaceutiques en médecine nucléaire) doivent rester classés en zones surveillées, avec classement en catégorie A des personnels qui y sont affectés. Ce changement de classement permet une surveillance dosimétrique rationnelle, réservant la dosimétrie active, électronique (en sus de la dosimétrie passive) aux seuls personnels de catégorie A, tandis que la majorité des personnels, catégorie B, restent surveillés par des dosimètres passifs, à périodicité de lecture trimestrielle. Ce classement repose sur des études de postes individuelles prenant en compte l'exposition réelle du personnel lors de l'activité de la salle et calculant l'exposition maximale théorique qui pourrait être atteinte par un travailleur affecté en permanence à cette salle

    Réflexions du Groupe de travail de la Sociéte française de radioprotection sur l'évolution du système de radioprotection proposée par la CIPR

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    Cet article présente les premières réflexions du Groupe de travail, créé en septembre 2001 par la Société française de radioprotection (SFRP) sur des questions clés qui seront abordées par la Commission internationale de radioprotection (CIPR) lors de l'élaboration de nouvelles recommandations sur la radioprotection. Le choix des sujets considérés résulte de l'analyse du memorandum de la CIPR, publié dans le Journal of Radiological Protection en juin 2001 et de l'expérience des membres du Groupe de travail. Ce sont :
- des réflexions générales sur le nouveau système de protection proposé par la CIPR, - les dimensions individuelle et collective du risque radiologique, - la comparaison avec la gestion des risques chimiques, - la protection radiologique de l'environnement, - les unités dosimétriques.

    Réflexions du groupe de travail de la Société française de radioprotection sur l'évolution du système de radioprotection proposée par la CIPR

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    L'Association internationale de protection radiologique (IRPA) a invité, en 1999, les sociétés nationales à participer au débat sur l'évolution du système de protection radiologique proposé par la CIPR. Répondant à cette invitation, le conseil d'administration de la Société française de radioprotection (SFRP) a créé un groupe de travail spécifique. Ce groupe s'est réuni d'avril 1999 à juillet 2000, et les résultats de ses travaux ont été présentés lors du congrès IRPA-10 en mai 2000. Pour continuer cette réflexion, le conseil d'administration de la SFRP a décidé de créer un deuxième GT qui a débuté ses travaux en septembre 2001. Ce GT est composé d'une trentaine de membres représentant les parties prenantes de la radioprotection en France : autorités, experts et professionnels des domaines nucléaire, médical et de la recherche, ainsi qu'une personne issue du mouvement associatif. L'objectif de ce GT est de formuler des propositions sur des questions clés qui pourraient être abordées, en particulier par la CIPR, dans le développement de nouvelles recommandations de radioprotection. Le choix des sujets prioritaires résulte de l'expérience des membres du GT ainsi que de l'analyse des propositions de la CIPR. Cet article présente les principales conclusions du GT dans une formulation cherchant à refléter les diverses opinions qui ont pu être exprimées lors des séances de travail

    MR imaging of acoustic neuroma with high resolution fast spin echo T2-weighted sequence

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    To assess the value of high resolution 2D fast spin echo T2-weighted sequence (HR 2D-FSE T2w) for evaluating the internal auditory meatus (IAM) in patients with asymetric or unilateral sensorineural hearing loss, vs. gadolinium-enhanced T1-weighted (T1w) sequence; to suggest a screening protocol to exclude the diagnosis of acoustic neuroma in a patient with isolated unilateral sensorineural hearing loss. One-hundred ten patients with suspected acoustic neuroma were evaluated with 1.5 T MRI system. The protocol included axial images focused on the IAM: HR 2D-FSE T2w images (4000/63, ETL = 16, 3-mm sections with 1.5 mm overlap, 18 FOV, 512 x 384 matrix) and gadolinium-enhanced T1w images (600/23, 3-mm sections, 18 FOV, 256 x 192 matrix). Two criteria for normality of the HR 2D-FSE T2w examination are defined: high homogeneous signal of the cerebellospinal fluid (CSF) and linear low signal of the nerves visible throughout the IAM. Overall results show no false-negative and six false-positive with HR 2D-FSE T2w sequences vs. gadolinium-enhanced T1w sequences. The sensitivity of HR 2D-FSE T2w sequences is 100%, specificity 93%, and negative preditive value 100%: normal images using HR 2D-FSE T2w sequence can rule out the diagnosis of acoustic neuroma. Using this protocol we can exclude the diagnosis of acoustic neuroma in case of normal HR 2D-FSE images and no additional gadolinium-enhanced T1w sequence is necessary. This protocol might reduce examination time, must promote recourse to MRI in the event of clinical suspicion of acoustic neuroma, and also enables savings by proposing MRI examination as a first-line exam
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