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Lower gastrointestinal bleedingâComputed Tomographic Angiography, Colonoscopy or both ?
Background: Lower endoscopy (LE) is the standard diagnostic modality for lower gastrointestinal bleeding (LGIB). Conversely, computed tomographic angiography (CTA) offers an immediate non-invasive diagnosis visualizing the entire gastrointestinal tract. The aim of this study was to compare these 2 modalities with regards to diagnostic value and bleeding control.
Methods: Tertiary center retrospective analysis of consecutive patients admitted for LGIB between 2006 and 2012. Comparison of patients with LE vs. CTA as first exam, respectively, with emphasis on diagnostic accuracy and bleeding control.
Results: Final analysis included 183 patients; 122 (66.7%) had LE first, while 32 (17.5%) had CTA; 29 (15.8%) had neither of both exams. Median time to CTA was shorter compared to LE (3 (IQR = 8.2) vs. 22 (IQR = 36.9) hours, P < 0.001). Active bleeding was identified in 31% with CTA vs. 15% with LE (P = 0.031); a non-actively bleeding source was found by CTA and LE in 22 vs. 31%, respectively (P = 0.305). Bleeding control required endoscopy in 19%, surgery in 14% and embolization in 1.6%, while 66% were treated conservatively. Post-interventional bleeding was mostly controlled by endoscopic therapy (57%). 80% of patients with active bleeding on CTA required surgery.
Conclusions: Post-interventional LGIB was effectively addressed by LE. For other causes of LGIB, CTA was efficient, and more available than colonoscopy. Treatment was conservative for most patients. In case of active bleeding, CTA could localize the bleeding source and predict the need for surgery.
=
La colonoscopie est le standard actuel pour le diagnostic des saignements digestifs bas. Lâangioscanner (angioCT) permet, quant Ă lui, une visualisation de lâensemble du tractus gastro-intestinal de maniĂšre non-invasive et la dĂ©tection dâun saignement aussi bas que 0.4ml/min avec une haute sensibilitĂ© et spĂ©cificitĂ©. Le but de notre Ă©tude est de comparer ces deux modalitĂ©s dans leurs performances diagnostiques et leur impact dans le contrĂŽle du saignement.
Il sâagit dâune Ă©tude rĂ©trospective de patients consĂ©cutifs admis dans le service de chirurgie viscĂ©rale pour hĂ©morragie digestive basse entre 2006 et 2012 (7 ans). Deux groupes patients ont Ă©tĂ© constituĂ©s, dĂ©pendant du premier examen effectuĂ©, colonoscopie ou angioCT. Les donnĂ©es des patients ont Ă©tĂ© comparĂ©es en mettant lâaccent sur la prĂ©cision diagnostique et la mĂ©thode de contrĂŽle final du saignement.
Nous avons inclus 183 patients dans notre Ă©tude. 122 (66.7%) ont eu une colonoscopie comme premier examen, alors que 32 (17.5%) un angioCT. Les 29 patients restant (15.8%) nâont eu aucun des 2 examens. Le temps mĂ©dian de rĂ©alisation de lâangioCT Ă©tait significativement plus court comparĂ© Ă la colonoscopie (3h vs. 22h, P < 0.001). Un saignement actif a Ă©tĂ© identifiĂ© chez 31% des patients aprĂšs angioCT vs. 15% aprĂšs colonoscopie (P = 0.031). Une source de saignement non-active a Ă©tĂ© identifiĂ©e aprĂšs angioCT dans 22% des cas, contre 31% aprĂšs colonoscopie (P = 0.305). Le contrĂŽle final du saignement a nĂ©cessitĂ© une intervention endoscopique dans 19% des cas, une chirurgie pour 14%, une embolisation pour 1.6%, alors que 66% des patients ont Ă©tĂ© traitĂ©s de maniĂšre conservatrice. Les saignements post-interventionnels ont Ă©tĂ© contrĂŽlĂ©s de maniĂšre prĂ©pondĂ©rante par intervention endoscopique (57%). 80% des patients prĂ©sentant un saignement actif sur lâangioCT ont nĂ©cessitĂ© une chirurgie.
Les saignements post-interventionnels sont efficacement traitĂ©s par rĂ©-intervention endoscopique. Pour les autres causes de saignements digestifs bas, lâangioCT est efficace, avec une meilleure disponibilitĂ© que la colonoscopie. Le traitement reste conservateur pour la plupart des patients. En cas de saignement actif, lâangioCT peut localiser la source de saignement et prĂ©dire le besoin dâune chirurgie
Transversal interface dynamics of a front connecting a stripe pattern to a uniform state
Interfaces in two-dimensional systems exhibit unexpected complex dynamical
behaviors, the dynamics of a border connecting a stripe pattern and a uniform
state is studied. Numerical simulations of a prototype isotropic model, the
subcritical Swift-Hohenberg equation, show that this interface has transversal
spatial periodic structures, zigzag dynamics and complex coarsening process.
Close to a spatial bifurcation, an amended amplitude equation and a
one-dimensional interface model allow us to characterize the dynamics exhibited
by this interface.Comment: 4 pages. To be published in Europhysics Letter
Extended patchy ecosystems may increase their total biomass through self-replication
Patches of vegetation consist of dense clusters of shrubs, grass, or trees,
often found to be circular characteristic size, defined by the properties of
the vegetation and terrain. Therefore, vegetation patches can be interpreted as
localized structures. Previous findings have shown that such localized
structures can self-replicate in a binary fashion, where a single vegetation
patch elongates and divides into two new patches. Here, we extend these
previous results by considering the more general case, where the plants
interact non-locally, this extension adds an extra level of complexity and
shrinks the gap between the model and real ecosystems, where it is known that
the plant-to-plant competition through roots and above-ground facilitating
interactions have non-local effects, i.e. they extend further away than the
nearest neighbor distance. Through numerical simulations, we show that for a
moderate level of aridity, a transition from a single patch to periodic pattern
occurs. Moreover, for large values of the hydric stress, we predict an opposing
route to the formation of periodic patterns, where a homogeneous cover of
vegetation may decay to spot-like patterns. The evolution of the biomass of
vegetation patches can be used as an indicator of the state of an ecosystem,
this allows to distinguish if a system is in a self-replicating or decaying
dynamics. In an attempt to relate the theoretical predictions to real
ecosystems, we analyze landscapes in Zambia and Mozambique, where vegetation
forms patches of tens of meters in diameter. We show that the properties of the
patches together with their spatial distributions are consistent with the
self-organization hypothesis. We argue that the characteristics of the observed
landscapes may be a consequence of patch self-replication, however, detailed
field and temporal data is fundamental to assess the real state of the
ecosystems.Comment: 38 pages, 12 figures, 1 tabl
Essais de cultures associĂ©es: RĂ©sultats de 2009 (Projet Propro: âDĂ©veloppement dâalternatives aux importations de sojaâ)
La production animale (y compris la production animale bio) utilise dâimportantes quantitĂ©s de fourrages concentrĂ©s importĂ©s pour la production dâoeufs et de viande de porc. Environ la moitiĂ© de ces importations concerne des matiĂšres protĂ©iques, en particulier le soja. Dans le secteur bio, la part de lĂ©gumineuses Ă graines produites en Suisse (telles que le pois protĂ©agineux ou la fĂ©verole) ne reprĂ©sente que le 3 % des importations. La dĂ©pendance de lâĂ©tranger est donc trĂšs problĂ©matique. DiffĂ©rentes dĂ©marches ont eu lieu pour acheter du soja bio dans les pays environnants au lieu de le faire venir du BrĂ©sil et de Chine. Mais les petites quantitĂ©s de soja bio produites au Baden-WĂŒrttemberg et en Alsace sont mises en valeur sur place. De mĂȘme, lâItalie, qui est le plus important producteur potentiel de soja bio, nâa plus rien Ă nous livrer. Le soja bio est dans toute lâEurope une denrĂ©e rare. Pour remplacer le soja au moins partiellement, il serait possible de dĂ©velopper la culture du pois protĂ©agineux et de la fĂ©verole dans les rĂ©gions situĂ©es au Nord des Alpes.
La production de soja est de toute façon problĂ©matique dans ces rĂ©gions en raison du froid au printemps et en arriĂšre-Ă©tĂ©. MĂȘme si les rĂ©cents travaux de sĂ©lection de soja effectuĂ©s en Suisse et en Autriche ont permis dâobtenir des variĂ©tĂ©s trĂšs prĂ©coces, qui permettent dâatteindre des rendements corrects dans les rĂ©gions favorables de la Suisse, cette culture reste risquĂ©e. Si les conditions sont dĂ©favorables au soja pendant sa pĂ©riode juvĂ©nile, les adventices, bien adaptĂ©es Ă notre climat, germent et poussent plus vite que le soja. La plante de soja est souvent Ă telle point concurrencĂ©e quâelle manque dâeau et de lumiĂšre. Un champ de soja propre exige encore actuellement beaucoup de travail manuel pour le dĂ©sherbage sur la ligne. Lors de la maturation, les feuilles se dessĂšchent progressivement et ombragent insuffisamment le sol. Cela permet aux adventices germant en Ă©tĂ© et aimant la chaleur telles que lâamarante et les millets de se dĂ©velopper et dâenvahir la culture. Ces adventices retardent la maturitĂ© du soja et rendent la rĂ©colte plus difficile. Cela entraĂźne une baisse de rendement et de qualitĂ© du soja.
Pour amĂ©liorer cette situation, il est possible de dĂ©velopper la culture du pois protĂ©agineux et de la fĂ©verole en Suisse. Les acheteurs y sont intĂ©ressĂ©s, quoique davantage par le pois protĂ©agineux que par la fĂ©verole. En effet, le pois protĂ©agineux a un spectre dâacides aminĂ©s plus proche de celui du soja que la fĂ©verole. En comparaison du soja, le pois protĂ©agineux et la fĂ©verole sont des plantes indigĂšnes, qui sont bien adaptĂ©es Ă notre climat. Le pois protĂ©agineux pousse plus vite que le soja et couvre mieux le sol ; mais lors de la maturation, il verse souvent totalement et les adventices prennent le dessus ; si tel est le cas, il ne peut plus ĂȘtre rĂ©coltĂ© Ă la moissonneuse-batteuse. Lors de certaines annĂ©es, les pucerons peuvent aussi causer des dĂ©gĂąts.
Il existe une possibilitĂ© de rĂ©soudre les problĂšmes techniques susmentionnĂ©s et de permettre ainsi un dĂ©veloppement de la production de lĂ©gumineuses Ă graine bio, câest la culture associĂ©e. Cette technique culturale connait un regain dâintĂ©rĂȘt en Europe, au niveau de la recherche (rĂ©seau www.intercrop.dk, www.mischfruchtanbau.de) et chez les producteurs (par ex : le KramerbrĂ€uhof, Pfaffenhofen, Allemagne). Elles permettent dâattĂ©nuer ou dâĂ©viter quelques problĂšmes techniques rencontrĂ©s en cultures pures : meilleure compĂ©titivitĂ© face aux adventices, meilleure aptitude Ă la rĂ©colte et meilleur rendement. On peut aussi sâattendre Ă des problĂšmes moindres de pucerons.
Nos essais ont pour but dâamĂ©liorer les connaissances sur les cultures associĂ©es en conditions bio et de rendre plus attractive cette production pour les agriculteurs. Il sâagit avant tout de trouver les bons partenaires Ă associer et la bonne proportion respective de chaque partenaire. La production de protĂ©ines est prioritaire, la cĂ©rĂ©ale a donc essentiellement la fonction de tuteur pour Ă©viter la verse de la lĂ©gumineuse Ă graine. Dans nos essais, la capacitĂ© de concurrence de la culture associĂ©e face aux adventices est comparĂ©e Ă celle des cultures pures ; les rendements sont mesurĂ©s et les caractĂ©ristiques techniques de la rĂ©colte sont relevĂ©es (rĂ©glage de la moissonneuse-batteuse...).
Mis Ă part les essais exacts de Agroscope ACW Changins sur des parcelles conventionnelles, les cultures associĂ©es avec des plantes semĂ©es en automne et destinĂ©es Ă la rĂ©colte en graine nâont encore jamais fait lâobjet dâessais en Suisse
The potential of silicate rock dust to control pollen beetles (Meligethes spp.)
In organic agriculture, treatments with rock dusts for soil amendment, disease prevention, or insect control have a long tradition. Clinoptilolite (a naturally occurring zeolite) was tested against pollen beetle Meligethes spp. in organic and IPM oilseed rape fields in order to find a control strategy compatible with the guidelines for organic and IPM agriculture in Switzerland. Dust and spray applications were evaluated in several large-scale field trials from 2008 to 2011. Dust applications using 300-750 kg/ha pulverized Clinoptilolite (particle size < 0.1 mm; product Klinofeed, available from Unipoint, Switzerland) were applied using a drop-box fertilizer spreader or a Vicon pendulum spreader. For spray applications the same Clinoptilolite (product Klinospray) with a particle size of 0.017 mm was applied at rates of 30-50 kg/ha with a wetting agent (Heliosol, 2 l/ha; 600 l waster/ha) using a standard field crop sprayer. Two or three applications were conducted during the inflorescene stage (BBCH 51-57) depending on the rate of development of the oilseed rape plants.
Under the dry and sunny weather conditions in 2009 and 2010, the treatments significantly reduced the number of pollen beetles by 50 to 80% until seven days after treatment (BBCH 51-54). Under the rainy weather conditions in 2008, no reduction of pollen beetles was observed. However, pollen beetles in treated plots showed a lower activity compared to beetles from the untreated control plots. In all experimental years flowering was visibly more intense in the treated than control plots. Pod setting on the main raceme was significantly increased in the treated plots. The yield was significantly increased by 23% in the experiments conducted under IPM conditions in 2010. However, no yield increase was observed in 2008 and 2009 under organic agricultural conditions
Mischkulturenanbauversuche: Resultate 2009 (Propro-Projekt: âEntwicklung von Alternativen zu importiertem Sojaâ)
Die Tierhaltung (inkl. Biotierhaltung) importiert grosse Kraftfuttermengen zur Produktion von Eiern und Schweinefleisch. Rund die HĂ€lfte davon sind importierte Proteine wie Soja. Im Biosektor betrĂ€gt der Anteil an einheimischen Körnerleguminosen wie Eiweisserbsen und Ackerbohnen zirka 3 % des Imports. Die AbhĂ€ngigkeit vom Ausland ist entsprechend problematisch. Verschiedene BemĂŒhungen laufen, den Biosoja aus benachbarten LĂ€ndern statt aus China und Brasilien zu importieren. Die kleinen in Baden-WĂŒrttemberg und dem Elsass produzierten Mengen werden vor Ort gebraucht. Italien als grösster potentieller Biosojaproduzent ist ebenfalls ausverkauft. Biosoja ist in Europa Mangelware. Anstelle von Soja könnte auf der Alpennordseite die Produktion von Eiweisserbsen und Ackerbohnen ausgedehnt werden. Die Produktion von Soja auf der Alpennordseite ist aufgrund der FrĂŒhjahrskĂ€lte und der fehlenden WĂ€rme im SpĂ€tsommer problematisch. Neuere ZĂŒchtungen aus der Schweiz und Ăsterreich sind zwar frĂŒhreif und in milden Lagen in der Schweiz lassen sich damit durchaus gute ErtrĂ€ge erzielen, trotzdem bleibt ein hohes Anbaurisiko. Bei ungĂŒnstigen Startbedingungen im FrĂŒhjahr keimt das an unser Klima angepasste Unkraut zuerst und ĂŒberholt Soja im Wachstum. Die Kulturpflanze wird oft so stark konkurrenziert, dass sie zuwenig Licht und Wasser hat. Ein sauberes Sojafeld bedingt auch heute noch viel Handarbeit. Bei der Abreife ziehen sich die BlĂ€tter langsam zurĂŒck und beschatten den Boden nur noch spĂ€rlich. Dadurch können sich wĂ€rmeliebende Sommerkeimer wie Hirsen und Amaranth ausbreiten und das Feld ĂŒberwuchern. Diese UnkrĂ€uter behindern dann die Ernte und durch ihre Beschattung auch die Abreife. Daraus ergibt sich ein geringerer Ertrag und eine mindere QualitĂ€t.
Eine Möglichkeit diese Situation zu verbessern wĂ€re der vermehrte Anbau von Eiweisserbsen und Ackerbohnen in der Schweiz. Die Verarbeiter können sich insbesondere die Eiweisserbse als Sojaersatz vorstellen. Diese ist in der AminosĂ€urezusammensetzung der Soja am nĂ€chsten. Die Ackerbohne ist weniger beliebt. Im Vergleich zu Soja sind Eiweisserbsen und Ackerbohnen einheimische Kulturpflanzen, die besser an unser Klima angepasst sind. Eiweisserbsen wachsen im FrĂŒhjahr schneller als Soja, decken den Boden besser, bei der Abreife wird das Unkraut aber auch oft zu einem Problem. Oft lagern die Erbsen vor der Ernte, sodass sie nicht mehr mit dem MĂ€hdrescher geerntet werden. In einzelnen Jahren können auch BlattlĂ€use problematisch werden.
Eine Lösung, um die erwĂ€hnten Anbauschwierigkeiten bei den Körnerleguminosen in den Griff zu bekommen und damit deren Anteil im Bioackerbau wesentlich zu steigern, ist der Mischfruchtanbau. Er hat in letzter Zeit in Europa wiederum an Interesse gewonnen, auf Stufe Forschung (siehe www.intercrop.dk oder www.mischfruchtanbau.de) wie auch in der Praxis (berĂŒhmt ist der KramerbrĂ€uhof in Pfaffenhofen, Deutschland). Der Mischfruchtanbau ergibt eine bessere KonkurrenzfĂ€higkeit gegenĂŒber UnkrĂ€utern und eine bessere Erntbarkeit und damit einen höheren Ertrag. Auch gegenĂŒber BlattlĂ€usen könnte er toleranter sein.
Das Ziel unserer Versuche besteht darin, die Kenntnisse ĂŒber den Mischfruchtanbau unter Biobedingungen aufzuarbeiten und fĂŒr die Landwirte attraktiver zu machen. Die Hauptfrage ist die richtigen Mischungspartner im richtigen MischverhĂ€ltnis zusammenzubringen. Die Proteinproduktion steht eindeutig im Vordergrunde, das Getreide hat vorwiegend StĂŒtzfunktion. In den Versuchen wird die Konkurrenzkraft der Mischkultur gegenĂŒber der Reinkultur bonitiert, der Ertrag gemessen und der Aufwand fĂŒr die Ernte festgehalten. Die ausfĂŒhrliche Beschreibung dieses Projektes ist im Projektantrag vom 18.03.2008 unter dem Titel â Entwicklung von alternativen zu importiertem Sojaâ publiziert worden.
Abgesehen von den Exaktversuchen von Agroscope ACW Changins auf konventionellen Parzellen wurden bisher keine Versuche mit Herbstsaaten von Mischkulturen in der Schweiz durchgefĂŒhrt
Essais de betteraves bio RĂ©sultats de 2010
Contexte
Depuis lâintroduction de lâaffouragement 100 % bio pour les ruminants, lâintĂ©rĂȘt pour la betterave fourragĂšre a de nouveau augmentĂ© dans certaines rĂ©gions. La betterave fourragĂšre reprĂ©sente en effet une alternative Ă la pulpe de betterave conventionnelle qui nâest plus autorisĂ©e en bio.
Le plus grand problĂšme de la culture de la betterave est le contrĂŽle des adventices. Le travail de dĂ©sherbage manuel sur la ligne peut atteindre 300 heures par hectare. De nouvelles machines prĂ©sentĂ©es plus en dĂ©tail dans ce rapport pourraient contribuer Ă rĂ©duire considĂ©rablement ce travail manuel. Les rĂ©sultats dâessais avec de telles machines pourraient Ă©galement ĂȘtre intĂ©ressants pour la culture de la betterave Ă sucre, du soja, du tournesol et du maĂŻs. Une meilleure maĂźtrise des adventices induira un meilleur rĂ©sultat Ă©conomique de la culture et donc un intĂ©rĂȘt plus grand pour la production de la betterave bio. Cela pourrait Ă©galement contribuer Ă la reconversion au bio de certains producteurs en rĂ©gion de grandes cultures
Mischkulturenanbau - Praxisversuche 2012
Das Ziel unserer Praxisversuche besteht darin, die Kenntnisse ĂŒber den Mischfruchtanbau unter Biobedingungen weiter zu vertiefen und fĂŒr die Landwirte attraktiver zu machen. Die Hauptfrage ist die richtigen Mischungspartner im richtigen MischverhĂ€ltnis zusammenzubringen und standardisierte Mischungen zu entwickeln. Die Proteinproduktion steht klar im Vordergrund und das Getreide oder der Leindotter soll die Funktion als StĂŒtzfrucht bzw. SekundĂ€rpflanze ĂŒbernehmen. Bisher hat sich die Mischung von Eiweisserbsen und Gerste wegen dem gleichen Abreifezeitpunkt am besten bewĂ€hrt. BezĂŒglich Proteinertrag schliesst die Mischung mit 40% der normalen Saatmenge Gerste weniger gut ab als die Mischungen mit nur 20% Gerste. Im Gesamtertrag hingegen liegen die Mischungen mit 40% Gerste vorne. Durch weniger dominante Gerstensorten könnte das VerhĂ€ltnis zugunsten der Eiweisserbsen verbessert werden. Deshalb wurden im Jahr 2012 die Versuche mit zwei verschiedenen Wintergerstensorten, einer kurz- und einer langhalmigen, fortgesetzt. Im Weiteren wurde an einem Standort die Mischkultur Ackerbohne / Hafer angebaut und an den Standorten mit FrĂŒhjahresaussaaten wurde erstmals die blaue Lupine angebaut
Mischkulturenanbau 2017. Ergebnisse der Praxisversuche in den Kantonen AG und ZH
Das Ziel unserer Praxisversuche besteht darin, die Kenntnisse ĂŒber den Mischfruchtanbau unter Biobedingungen weiter zu vertiefen und fĂŒr die Landwirte attraktiv zu machen.
In den ersten Jahren wurde das Schwergewicht auf die verschiedenen Kombinationen gesetzt, um das ideale MischungsverhĂ€ltnis zu bestimmen und herauszufinden, welches der ideale Mischungspartner ist. In der Zwischenzeit haben sich Gerste und Körnereiweisserbse in der Praxis etabliert, besonders die Herbstaussaat. Versuchsfragen fĂŒr diese Versuche:
- Anbau von drei (frostharten) Futtererbsensorten mit Triticale als Winterkultur zur Körnergewinnung
- Anbau von halblattlosen Erbsen mit Leindotter, mit und ohne zweiâ oder sechszeiliger Gerste
- Ein Demoâ und Vergleichsversuch mit den heute von Bio Suisse geförderten Körnerleguminosen in Reinâ oder Mischkultu
Die Erbse kommt zurĂŒck
90 Prozent des EiweiĂes fĂŒr die Schweizer Tierzucht stammt derzeit aus dem Ausland.
Dabei bieten Leguminosen eine echte Alternative zu dieser wenig nachhaltigen Praxis.
Das haben Mischkulturversuche in der Schweiz bewiesen
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