Astrocytes reverted to a neural progenitor-like state with transforming growth factor alpha are sensitized to cancerous transformation.

International audienceGliomas, the most frequent primitive central nervous system tumors, have been suggested to originate from astrocytes or from neural progenitors/stem cells. However, the precise identity of the cells at the origin of gliomas remains a matter of debate because no pre-neoplastic state has been yet identified. Transforming growth factor (TGF)-alpha, an epidermal growth factor family member, is frequently overexpressed in the early stages of glioma progression. We previously demonstrated that prolonged exposure of astrocytes to TGF-alpha is sufficient to trigger their reversion to a neural progenitor-like state. To determine whether TGF-alpha dedifferentiating effects are associated with cancerous transforming effects, we grafted intracerebrally dedifferentiated astrocytes. We show that these cells had the same cytogenomic profile as astrocytes, survived in vivo, and did not give birth to tumors. When astrocytes dedifferentiated with TGF-alpha were submitted to oncogenic stress using gamma irradiation, they acquired cancerous properties: they were immortalized, showed cytogenomic abnormalities, and formed high-grade glioma-like tumors after brain grafting. In contrast, irradiation did not modify the lifespan of astrocytes cultivated in serum-free medium. Addition of TGF-alpha after irradiation did not promote their transformation but decreased their lifespan. These results demonstrate that reversion of mature astrocytes to an embryonic state without genomic manipulation is sufficient to sensitize them to oncogenic stress

An ethic of dialogue between science and society

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Éléments pour une éthique de la communication des faits scientifiques

International audienceComment transmettre aujourd'hui les résultats scientifiques ? Cette question semble à première vue paradoxale en un temps où tant de canaux de communication existent. Paradoxale également, au regard des exigences de transparence, de démocratisation et de « science ouverte ». Et pourtant, à y bien regarder, jamais il n'a été aussi difficile de transmettre la réalité, oserais-je dire « la vérité », des faits scientifiques. Nous vivons un temps de bouleversement de la communication en général avec l'avalanche des « fake news » et des « infox ». La communication scientifique n'en est pas immunisée si l'on considère les études biaisées par des a priori idéologiques ou mercantiles : organismes génétiquement modifiés (OGM), glyphosate, effets des néonicotinoïdes… Mais plus généralement, c'est le modèle même de la transmission d'une information scientifique via un article validé par les pairs qui est remis en question, de même que la transmission de ses principaux résultats vers un plus large public. Aux moins deux groupes d'acteurs sont concernés, les scientifiques d'un côté et les communicants de l'autre. Je ne cherche aucunement à les opposer, d'autant que parfois ils appartiennent aux mêmes institutions. Je vous propose ici une grille de lecture à travers une réflexion éthique. Cette analyse comprend au moins deux grands volets. Le premier renvoie aux normes qu'il convient de respecter, c'est la dimension déontologique, l'intégrité. Le second renvoie à une réflexion ouverte à partir des objectifs d'autonomie du sujet, de non-malfaisance, de bienfaisance et de justice pour les personnes vers qui nous communiquons

De retour de Hong Kong ou l’éthique à l’heure d’une génétique d’« augmentation » de la personne humaine

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medecine/sciences in the bioeconomy era

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Lamarck as a special guest of the 30th anniversary of m/s

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Our students are talented!

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The biomedical research thought in french : New year, new concepts

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Recepteurs centraux des monoamines et de neuropeptides couples a l'adenylate cyclase de populations neuronales et astrocytaires de l'embryon de souris en culture primaire

SIGLECNRS T 60013 / INIST-CNRS - Institut de l'Information Scientifique et TechniqueFRFranc