22 research outputs found

    Philip F. Kennedy (éd.), On Fiction and Adab in Medieval Arabic Literature

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    L’ouvrage recensé ici reprend les communications faites dans le cadre du « Workshop  in  Medieval Arabic Literature » qui s’est tenu les 21 et 22 avril 2000 à l’université de New York (Department of Middle Eastern Studies). Il est dédié à la mémoire de Rina Drory. Le thème de cet atelier était « Defining Fiction and Adab in Medieval Arabic Literature ». Ces communications sont au nombre de dix. Elles sont toutes suivies d’une bibliographie, certaines d’annexes. En voici les titres et les noms..

    al-Masʿūdi (mort en 345/ 956), Les prairies d’or – Kitāb Murūğ al-Ḏahab wa Maʿādin al-Ğawhar. Traduction française de Barbier de Meynard et Pavet de Courteille, revue et corrigée par Charles Pellat. Paris, Librairie orientaliste Paul Geuthner, 1997 (Société Asiatique : Collection d’ouvrages orientaux, tome V)

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    Cheikh-Moussa Abdallah. al-Masʿūdi (mort en 345/ 956), Les prairies d’or – Kitāb Murūğ al-Ḏahab wa Maʿādin al-Ğawhar. Traduction française de Barbier de Meynard et Pavet de Courteille, revue et corrigée par Charles Pellat. Paris, Librairie orientaliste Paul Geuthner, 1997 (Société Asiatique : Collection d’ouvrages orientaux, tome V). In: Bulletin critique des annales islamologiques, n°16, 2000. p. 121

    Ibn ʿUmar al-Baġdādī (ʿAbd al-Qādir), Glossen zu Ibn Hišāms Kommentar zu dem Gedicht Bānat Suʿād (Ḥāšiya ʿalā šarḥ Bānat Suʿād li-Ibn Hišām), herausgegeben von Nazif Hoca, überarbeitet und mit Indices versehen von Muḥammad al-Ḥuǧairī. Teil 2 (I + II), Franz Steiner Verlag, Stuttgart, 1990 (Bibliotheca Islamica-27b)

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    Cheikh-Moussa Abdallah. Ibn ʿUmar al-Baġdādī (ʿAbd al-Qādir), Glossen zu Ibn Hišāms Kommentar zu dem Gedicht Bānat Suʿād (Ḥāšiya ʿalā šarḥ Bānat Suʿād li-Ibn Hišām), herausgegeben von Nazif Hoca, überarbeitet und mit Indices versehen von Muḥammad al-Ḥuǧairī. Teil 2 (I + II), Franz Steiner Verlag, Stuttgart, 1990 (Bibliotheca Islamica-27b). In: Bulletin critique des annales islamologiques, n°10, 1993. pp. 18-19

    A Reader of Classical Arabie Literature. Annoté et édité par S.A. Bonebakker et M. Fishbein. Cafoscarina [Quaderni di Studi Arabi. Studi e testi, 1], 1995

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    Cheikh-Moussa Abdallah. A Reader of Classical Arabie Literature. Annoté et édité par S.A. Bonebakker et M. Fishbein. Cafoscarina [Quaderni di Studi Arabi. Studi e testi, 1], 1995. In: Bulletin critique des annales islamologiques, n°15, 1999. pp. 26-27

    Ḥadīṯ Ḫālid b. Yazīd. Une lecture du <i>Livre des Avares</i> d'al- Ğāḥiẓ (II)

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    Not available[es] En este texto se prosigue el trabajo de relectura iniciado en el artículo publicado en el Bulletin d'Etudes Orientales de Damasco (LI, 1999: «Avarice ou sophistique? Une lecture du Livre des avares d'al-Ğāḥiẓ»), donde se plantea que el objetivo del célebre polígrafo no era tanto, en el caso de Jālid b. Yazīd, la crítica de la avaricia o de la picaresca (kudya) como la de la desviación de los discursos de sus funciones pretendidamente nobles. En el relato «autobiográfico» y el testamento espiritual de Jalawayh al-Mukaddī, lo que se imita, lo que se parodia para denigrarlo, es la práctica de los predicadores populares (quṣṣāṣ), y, de manera más general, la de los ulemas que pretenden educar al vulgo. El artículo trata de analizar los procedimientos estilísticos y retóricos utilizados por al-Ŷāḥiẓ para vilipendiar estos usos extraviados del discurso. [fr] Il s'agit de poursuivre le travail de relecture du Kitāb al-Buḫalà' commencé dans l'article paru dans le Bulletin d'Études Orientales de Damas (LI, 1999: "Avarice ou sophistique? Une lecture du Livre des avares d'al-Ğāḥiẓ"), travail qui pose que le propos du célèbre polygraphe n'est pas tant la critique de l'avarice, ou de la gueuserie (kudya) dans le cas de Ḫālid b. Yazīd, que celle du détournement des discours de leurs fonctions supposées nobles. Dans le récit «autobiographique» et le testament spirituel de Ḫālawayh al-Mukaddī, ce qui se trouve mimé, parodié pour être dénigré, c'est, semble-t-il, la pratique des sermonnaires populaires (Quṣṣāṣ), et, plus généralement, celle des 'ulamā' qui prétendent éduquer les foules. L'article s'attache à analyser les procédés stylistiques et rhétoriques utilisés par al-Ğāḥiẓ pour vilipender ces usages dévoyés du discours

    Albert Arazi, Amour divin et amour profane dans l’Islam médiéval, à travers le Dīwān de Khālid Al-Katib. G. -P. Maisonneuve et Larose (coll. «Islam d’Hier et d’Au-jourd’hui», 35), Paris, 1990

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    Cheikh-Moussa Abdallah. Albert Arazi, Amour divin et amour profane dans l’Islam médiéval, à travers le Dīwān de Khālid Al-Katib. G. -P. Maisonneuve et Larose (coll. «Islam d’Hier et d’Au-jourd’hui», 35), Paris, 1990. In: Bulletin critique des annales islamologiques, n°9, 1992. pp. 14-24

    Considérations sur la littérature d’adab. Présence et effets de la voix et autres problèmes connexes

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    &lt;p style="text-align: justify; text-indent: 36pt" class="MsoNormal"&gt;&lt;span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman'"&gt;Le propos de cet article est de montrer que l’écrit médiéval ne possède ni le même statut, ni tout à fait les mêmes valeurs qu’aujourd’hui, et, par là-même, de réagir contre l’oppsosition, souvent reconduite entre oral et écrit, qui est utilisée à propos de la littérature arabe à ses débuts. La thèse avancée est que, jusqu’à la deuxième moitié, sinon la fin du III&lt;sup&gt;ème&lt;/sup&gt; siècle de l’Hégire, si les textes d’&lt;em&gt;adab&lt;/em&gt; ont bien été composés, produits par écrit, ils l’ont été avec l’idée que leur circulation, c’est-à-dire leur communication et leur réception, sera faite, elle, le plus souvent par la voix. C’est bien ce phénomène, entre autres aspects qui seront abordés, qui rend compte du statut de l’&lt;em&gt;adab&lt;/em&gt;, de ses « auteurs », et de la nature des œuvres qui le constituent. &lt;/span&gt;&lt;/p&gt;&lt;br&gt;&lt;br&gt;&lt;span style="font-size: 12pt; font-family: 'Times New Roman'"&gt;El propósito de este artículo es mostrar que el escrito medieval no posee el mismo estatuto ni los mismos valores que hoy en día y, a partir de ahí, reaccionar ante la oposición entre lo oral y lo escrito que se utiliza a propósito de la literatura árabe en sus comienzos. La tesis propuesta defiende que, hasta la segunda mitad, si no hasta el final del siglo III de la Hégira, los textos de &lt;em&gt;adab&lt;/em&gt;, aunque compuestos y producidos por escrito, lo habían sido en la idea de que su circulación, su comunicación y recepción se haría, en la mayor parte de los casos, oralmente. Es este fenómeno el que define el estatus del &lt;em&gt;adab&lt;/em&gt; de sus «autores», y de la naturaleza de las obras que lo constituyen.&lt;/span&gt

    Figures de l’échanson (SÂQÎ) dans la littérature arabe médiévale

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    Il me faut, avant d’aborder la figure de l’échanson dans la littérature arabe médiévale, faire un détour par une brève évocation du statut du poète et de son évolution entre la période antéislamique et celle inaugurée par l’avènement de l’islam. Ce détour est nécessaire parce qu’il me semble que l’évolution de la figure de l’échanson est tout à fait tributaire de celle du poète et des fonctions assignées à la poésie. Le poète [nous dit un grand critique du xe siècle, Ibn Rashîq] est, pour les..

    Montgomery James E., The Vagaries of the Qaṣîdah. The tradition and Practice of Early Arabic Poetry. s. l. E. J. W. Gibb Memorial Trust, 1997 (Gibb Literary Studies, Number 1)

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    Cheikh-Moussa Abdallah. Montgomery James E., The Vagaries of the Qaṣîdah. The tradition and Practice of Early Arabic Poetry. s. l. E. J. W. Gibb Memorial Trust, 1997 (Gibb Literary Studies, Number 1). In: Bulletin critique des annales islamologiques, n°16, 2000. p. 23

    Du poète débauché au grand classique : Abū Nuwās vu par quelques historiens arabo-musulmans

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    Il s’agit de retracer les étapes de la métamorphose qu’a connue l’image du poète bachique Abū Nuwās (deuxième moitié du VIIIe siècle) dans les biographies que les historiens arabo-musulmans lui ont consacrées. De poète ivrogne chantant le vin et l’amour des mignons, compagnon de débauche d’un calife aux mœurs bien dissolues et qui finira assassiné, il finira au sommet du « panthéon » poétique arabe et l’une de ses plus illustres références aussi bien poétiques que linguistiques. Cette transfiguration a été l’œuvre d’historiens traditionnistes, prédicateurs ou théologiens et elle s’est faite par l’introduction progressive de récits relatant sa supposée conversion et son obtention du pardon divin.Cheikh-Moussa Abdallah. Du poète débauché au grand classique : Abū Nuwās vu par quelques historiens arabo-musulmans. In: La construction du grand auteur. Actes du 134e Congrès national des sociétés historiques et scientifiques, « Célèbres ou obscurs : hommes et femmes dans leurs territoires et leur histoire », Bordeaux, 2009. Paris : Editions du CTHS, 2011. pp. 84-92. (Actes des congrès nationaux des sociétés historiques et scientifiques, 134-7
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