8 research outputs found

    L'expression de la douleur physique en santé mentale, son évaluation et sa prise en charge

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    Une culture antidouleur s est progressivement instaurĂ©e en France, comme en tĂ©moigne la mise en place de plans nationaux de lutte contre la douleur. En SantĂ© Mentale, l expression de la douleur et sa perception diffĂšrent selon la pathologie psychiatrique du patient. Les difficultĂ©s de communication des patients peuvent rendre l Ă©valuation de la douleur et sa prise en charge dĂ©licates pour les professionnels de SantĂ©. Une enquĂȘte de pratiques professionnelles a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©e au sein de l Etablissement Public de SantĂ© Mentale (EPSM) Lille MĂ©tropole Ă  partir d un recueil de donnĂ©es informatiques, afin de montrer que tous les patients hospitalisĂ©s en psychiatrie bĂ©nĂ©ficient d une Ă©valuation de la douleur. L utilisation des Ă©chelles d Ă©valuation de la douleur et les prescriptions d antalgiques ont Ă©tĂ© analysĂ©es. L Ă©chelle visuelle analogique est la mĂ©thode d Ă©valuation la plus employĂ©e. Cette enquĂȘte a permis de montrer que l Ă©valuation de la douleur n est pas encore systĂ©matique, que les prescriptions d antalgiques ne sont pas toujours adaptĂ©es. Plus de la moitiĂ© des patients ont un antalgique prescrit alors qu ils n ont pas Ă©tĂ© Ă©valuĂ©s ou qu ils n expriment pas de douleur. La formation du personnel soignant Ă  la prise en charge de la douleur et les actions entreprises par le ComitĂ© de LUtte (CLUD) au sein de l EPSM Lille MĂ©tropole ont permis une nette amĂ©lioration de la prise en charge du patient douloureux en psychiatrie mais restent Ă  poursuivre.LILLE2-BU SantĂ©-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Éducation thĂ©rapeutique du patient (un travail de continuitĂ© du soin pour l'Ă©tat limite ?)

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    Le trouble de personnalitĂ© limite est caractĂ©risĂ© principalement par une instabilitĂ© : Ă©motionnelle, comportementale et relationnelle. Il en rĂ©sulte une prise en charge complexe. Si les psychothĂ©rapies restent le traitement de choix, d autres outils se dĂ©veloppent, tels que l Ă©ducation thĂ©rapeutique du patient. Il s agit d un concept nĂ© dans les annĂ©es 1970 suite Ă  l augmentation du nombre de patients atteints de maladies chroniques. D abord sauvage, l Ă©ducation thĂ©rapeutique a ensuite fait l objet d un encadrement juridique, principalement en 2009 avec la loi HPST. Celle-ci rĂ©glemente la formation des professionnels de santĂ© et les programmes d Ă©ducation. Plusieurs Ă©quipes amĂ©ricaines et canadiennes, françaises plus rĂ©cemment, proposent des programmes spĂ©cifiques aux personnalitĂ©s limites. Ce travail les prĂ©sente et rĂ©flĂ©chit Ă  l intĂ©rĂȘt d une telle pratique dans ce trouble.LILLE2-BU SantĂ©-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Les prodromes de la schizophrénie : les enjeux d'une intervention précoce

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    REIMS-BU Santé (514542104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Information du sujet souffrant de schizophrénie

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    REIMS-BU Santé (514542104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Tolérance hématologiques des antipsychotiques chez des patients schizophrenes e

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    REIMS-BU Santé (514542104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Troubles cognitifs chez le patient bipolaire vieillissant

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    REIMS-BU Santé (514542104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Mortality of people suffering from mental illness: a study of a cohort of patients hospitalised in psychiatry in the north of France

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    BACKGROUND: The mortality of people suffering from psychiatric illnesses is far higher than that of the general population, all categories of diagnosis combined; mortality statistics can be used as an index of quality of care. The aim of this study was to assess the all-cause mortality in psychiatric patients covering all diagnostic groups. METHODS: The living or deceased status of 4,417 patients of majority age hospitalised in a public mental health establishment between 2004 and 2007 were requested from French National Institute for Statistics and Economic Studies on 1st January 2011. The cause of death of those people who had died was obtained from French National Institute for Health and Medical Research and comparative standardized mortality ratios (SMR) were established from the population in a region of northern France of the same age in 2006. RESULTS: The study population was made up of 54% men and 46% women, median age 41 and 45 years old, respectively. Four hundred and seventy-three people died during the period studied. The SMR were 421 for men (95% CI 378-470) and 330 for women (95% CI 281-388). The highest SMRs were found in patients aged 35-54, with a 20-time higher mortality risk than the general population of the same age. CONCLUSION: Our study confirms the considerably higher mortality in psychiatric patients than in general population, particularly in mean age and mostly due to an unnatural cause
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