92 research outputs found

    Tourisme et environnement

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    Patrice Lessard, François Désalliers, Maxime Houde

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    Stanley PĂ©an, Jean-Louis Fleury, Natasha Beaulieu

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    Le tourisme gourmand : la dictature des guides ?

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    Le triangle tourisme, gastronomie et information est riche d’enseignements. En ce pays comme ailleurs, les critiques gastronomiques sont tout à la fois redoutés et enviés. Par l’entremise des guides et des magazines spécialisés ou par les médias d’information générale, ils agissent sur le comportement des clients et des établissements, entraînant chez les premiers des modifications de leurs fréquentations et même de leurs goûts, poussant les seconds à vouloir élargir leur notoriété et adopter, en conséquence, des stratégies de nature à se concilier les faveurs de ces « experts » et, ultimement, celles de la clientèle. La réflexion pourrait, mutatis mutandis, s’appliquer aux chroniqueurs de tourisme, comme l’illustre l’histoire des guides culinaires qui sont aussi des guides de voyage. De toute évidence, les guides gastronomiques ont activement contribué à consolider sinon à développer la réputation gastronomique de la France, en faisant une destination particulièrement rêvée pour les amateurs de bonne chère. Par les temps qui courent, l’univers de la cuisine est envahi par des termes alarmistes référant à la mondialisation, aux techniques transgéniques. À l’échelle de la planète, la chaîne McDonald’s, par exemple, s’est transformée en un emblème à honnir. Et une autre révolution est en train de s’opérer, à l’instigation cette fois des Italiens : celle du slow food. Déjà, dans la presse spécialisée, qu’elle soit gastronomique ou touristique, se manifeste un réel intérêt, pour ne pas dire un engouement, pour cet autre appel à une « réinvention de la cuisine » qui se veut tout à la fois un retour aux sources et une résistance à l’uniformisation du goût et des produits de l’agriculture. Le monde de l’information est encore appelé à la rescousse pour en établir, par ses analyses, ses comptes rendus et ses témoignages, une reconnaissance « objective » et constituer, de la sorte, un contrepoids aux moyens « omnipuissants » de la cuisine et de la restauration que rejette le slow food.L’univers du virtuel donne à tout individu, qu’il soit propriétaire d’un ordinateur ou qu’il utilise les services d’un fournisseur collectif (de type café Internet, par exemple), un accès direct et instantané aux critiques, aux lieux, aux établissements, aux chefs. De toute évidence, les rapports de force et d’influence s’en trouvent changés et continueront de l’être encore davantage. C’est ce qu’ont compris, on le voit bien, les initiateurs et les promoteurs du mouvement Slow Food

    Le circuit des fleurs

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    Mario Bolduc, André Jacques, Maureen Martineau

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    Jean Lemieux, Diane Vincent, Pierre Caron

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    Vendre l’hiver, oui. Mais de quel hiver s’agit-il au juste ?

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    Mandalian

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    Rôle et action des associations touristiques régionales

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