177 research outputs found

    Research into the quality standard of homes delivered through change of use permitted development rights

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    The report provides the findings of independent research into the quality standard of homes delivered through certain national permitted development rights for the change of use. The research considers the quality of homes delivered in 11 case study areas in England in respect of size, amenity, location and design, drawing out the differences between homes delivered through permitted development compared with planning applications

    DualSPHysics: from fluid dynamics to multiphysics problems

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    DualSPHysics is a weakly compressible smoothed particle hydrodynamics (SPH) Navier–Stokes solver initially conceived to deal with coastal engineering problems, especially those related to wave impact with coastal structures. Since the first release back in 2011, DualSPHysics has shown to be robust and accurate for simulating extreme wave events along with a continuous improvement in efficiency thanks to the exploitation of hardware such as graphics processing units for scientific computing or the coupling with wave propagating models such as SWASH and OceanWave3D. Numerous additional functionalities have also been included in the DualSPHysics package over the last few years which allow the simulation of fluid-driven objects. The use of the discrete element method has allowed the solver to simulate the interaction among different bodies (sliding rocks, for example), which provides a unique tool to analyse debris flows. In addition, the recent coupling with other solvers like Project Chrono or MoorDyn has been a milestone in the development of the solver. Project Chrono allows the simulation of articulated structures with joints, hinges, sliders and springs and MoorDyn allows simulating moored structures. Both functionalities make DualSPHysics especially suited for the simulation of offshore energy harvesting devices. Lately, the present state of maturity of the solver goes beyond single-phase simulations, allowing multi-phase simulations with gas–liquid and a combination of Newtonian and non-Newtonian models expanding further the capabilities and range of applications for the DualSPHysics solver. These advances and functionalities make DualSPHysics an advanced meshless solver with emphasis on free-surface flow modelling

    «La relation de limitation et d’exception dans le français d’aujourd’hui : exceptĂ©, sauf et hormis comme pivots d’une relation algĂ©brique »

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    L’analyse des emplois prĂ©positionnels et des emplois conjonctifs d’ “exceptĂ©â€, de “sauf” et d’ “hormis” permet d’envisager les trois prĂ©positions/conjonctions comme le pivot d’un binĂŽme, comme la plaque tournante d’une structure bipolaire. PlacĂ©es au milieu du binĂŽme, ces prĂ©positions sont forcĂ©es par leur sĂ©mantisme originaire dĂ»ment mĂ©taphorisĂ© de jouer le rĂŽle de marqueurs d’inconsĂ©quence systĂ©matique entre l’élĂ©ment se trouvant Ă  leur gauche et celui qui se trouve Ă  leur droite. L’opposition qui surgit entre les deux Ă©lĂ©ments n’est donc pas une incompatibilitĂ© naturelle, intrinsĂšque, mais extrinsĂšque, induite. Dans la plupart des cas (emplois limitatifs), cette opposition prend la forme d’un rapport entre une « classe » et le « membre (soustrait) de la classe », ou bien entre un « tout » et une « partie » ; dans d’autres (emplois exceptifs), cette opposition se manifeste au contraire comme une attaque de front portĂ©e par un « tout » Ă  un autre « tout ». De plus, l’inconsĂ©quence induite mise en place par la prĂ©position/conjonction paraĂźt, en principe, tout Ă  fait insurmontable. Dans l’assertion « les Ă©cureuils vivent partout, sauf en Australie » (que l’on peut expliciter par « Les Ă©cureuils vivent partout, sauf [qu’ils ne vivent pas] en Australie »), la prĂ©position semble en effet capable d’impliquer le prĂ©dicat principal avec signe inverti, et de bĂątir sur une telle implication une sorte de sous Ă©noncĂ© qui, Ă  la rigueur, est totalement inconsĂ©quent avec celui qui le prĂ©cĂšde (si « les Ă©cureuils ne vivent pas en Australie », le fait qu’ils « vivent partout » est faux). NĂ©anmoins, l’analyse montre qu’alors que certaines de ces oppositions peuvent enfin ĂȘtre dĂ©passĂ©es, d’autres ne le peuvent pas. C’est, respectivement, le cas des relations limitatives et des relations exceptives. La relation limitative, impliquant le rapport « tout » - « partie », permet de rĂ©soudre le conflit dans les termes d’une somme algĂ©brique entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus de diffĂ©rent poids informatif et de signe contraire. Les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant dĂ©sĂ©quilibrĂ©es, le rĂ©sultat est toujours autre que zĂ©ro. La relation exceptive, au contraire, qui n’implique pas le rapport « tout » - « partie », n’est pas capable de rĂ©soudre le conflit entre deux sous Ă©noncĂ©s pourvus du mĂȘme poids informatif et en mĂȘme temps de signe contraire : les valeurs numĂ©riques des termes de la somme Ă©tant symĂ©triques et Ă©gales, le rĂ©sultat sera toujours Ă©quivalent Ă  zĂ©ro
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