17 research outputs found

    Spectres moléculaires et structure du méthane dans les phases solides

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    Les spectres infrarouges du mĂ©thane, et de ses diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s isotopiques dans les phases solides ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s afin de dĂ©terminer la structure cristalline du CH4 et du CD4 dans ces phases. Les spectres de diffĂ©rents mĂ©langes d'isotopes ont Ă©tĂ© obtenus afin de dĂ©terminer la, symĂ©trie de site du CH4 et du CD4. Dans la phase I, phase de haute tempĂ©rature, les spectres montrent des bandes larges et sans structure. C'est un phĂ©nomĂšne caractĂ©ristique d'un dĂ©sordre d'orientation molĂ©culaire. Dans la phase II, les spectres des mĂ©langes isotopiques Indiquent que la dĂ©gĂ©nĂ©rescence des molĂ©cules de s:/mĂ©trie n'est pas levĂ©e et que, par consĂ©quent, la structure cristalline do cette phase doit ĂȘtre cubique. Une telle structure prĂ©voit une seule composante pour les modes v3 et v4, du CH4 et du CD 4 pour expliquer le nombre supplĂ©mentaire de composantes obtenu, il faut faire appel au modĂšle de JAMES et KEEMM et attribuer ces composantes aux molĂ©cules libres de tourner. Le cristal des diffĂ©rents mĂ©thanes en phase II est donc constituĂ© par des molĂ©cules de deux sortes; les unes forment le rĂ©seau cristallin, les autres sont des molĂ©cules libres de tourner. Dans la, phase III, les molĂ©cules sont ordonnĂ©es mais la symĂ©trie est plus basse que celle de la phase II et 11 n'y a vraisemblablement qu'un type de molĂ©cules. Les spectres des solutions isotopiques mixtes indiquent que la symĂ©trie de site du CD4 peut ĂȘtre D2, C2v, c2, C8, ou C1. Un effet d'orientation est observĂ© sur les spectres des mĂ©thanes partiellement deutĂ©rĂ©s en solution dans le CD4 en phase III et ce phĂ©nomĂšne semble indiquer que la symĂ©trie de site du Cd4 est C1. MĂȘme avec cette seule symĂ©trie de site, il y a un grand nombre de structures cristallines possibles et il est impossible de proposer pour cette phase une structure qui soit dĂ©finitive

    Spectres moléculaires et structure du méthane dans les phases solides

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    Les spectres infrarouges du mĂ©thane, et de ses diffĂ©rentes variĂ©tĂ©s isotopiques dans les phases solides ont Ă©tĂ© enregistrĂ©s afin de dĂ©terminer la structure cristalline du CH4 et du CD4 dans ces phases. Les spectres de diffĂ©rents mĂ©langes d'isotopes ont Ă©tĂ© obtenus afin de dĂ©terminer la, symĂ©trie de site du CH4 et du CD4. Dans la phase I, phase de haute tempĂ©rature, les spectres montrent des bandes larges et sans structure. C'est un phĂ©nomĂšne caractĂ©ristique d'un dĂ©sordre d'orientation molĂ©culaire. Dans la phase II, les spectres des mĂ©langes isotopiques Indiquent que la dĂ©gĂ©nĂ©rescence des molĂ©cules de s:/mĂ©trie n'est pas levĂ©e et que, par consĂ©quent, la structure cristalline do cette phase doit ĂȘtre cubique. Une telle structure prĂ©voit une seule composante pour les modes v3 et v4, du CH4 et du CD 4 pour expliquer le nombre supplĂ©mentaire de composantes obtenu, il faut faire appel au modĂšle de JAMES et KEEMM et attribuer ces composantes aux molĂ©cules libres de tourner. Le cristal des diffĂ©rents mĂ©thanes en phase II est donc constituĂ© par des molĂ©cules de deux sortes; les unes forment le rĂ©seau cristallin, les autres sont des molĂ©cules libres de tourner. Dans la, phase III, les molĂ©cules sont ordonnĂ©es mais la symĂ©trie est plus basse que celle de la phase II et 11 n'y a vraisemblablement qu'un type de molĂ©cules. Les spectres des solutions isotopiques mixtes indiquent que la symĂ©trie de site du CD4 peut ĂȘtre D2, C2v, c2, C8, ou C1. Un effet d'orientation est observĂ© sur les spectres des mĂ©thanes partiellement deutĂ©rĂ©s en solution dans le CD4 en phase III et ce phĂ©nomĂšne semble indiquer que la symĂ©trie de site du Cd4 est C1. MĂȘme avec cette seule symĂ©trie de site, il y a un grand nombre de structures cristallines possibles et il est impossible de proposer pour cette phase une structure qui soit dĂ©finitive

    Aggregation of chlorophylls in monolayers: V. The effect of water on chlorophyll a and chlorophyll b in mono and multilayer arrays

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    The nature of the interactions between water molecules and monolayers and multilayers of chlorophyll a (Chl a), and monolayers and multilayers of Chl b. obtained by the Langmuir-Blodgett technique, is examined by infrared spectroscopy. Following deposition of the monolayer or multilayer of Chl a or Chl b onto a plate, repetitive scans showed some modifications in the infrared spectra which are interpreted as a reorganization of the molecules as some water molecules leave the array. Drying the sample further modifies the spectra, which indicates the departure of more tenacious water molecules. Putting the sample in a moist atmosphere does not restore the original spectrum. This is an indication of a nonreversibie reorganization in the chlorophyll array. The spectra of the monolayer of chlorophyll are much more complicated than those of the multilayer, owing to the nonintegrating effect of the monolayer, which reveals the perturbing effect of the different dielectric milieux on each functional group. On the basis of the analysis of the spectra and the information gathered from the surface pressure isotherms, a model is proposed for the monolayer arrangement at the air/water interface which implies two set of dimers of water per molecule of chlorophyll. One pair of dimers constitutes the water of the first kind and is composed of vapor-like dimers. This kind of water is situated between the porphyrin planes of chlorophyll molecules and is easily removed from the monolayer. The second pair of dimers is composed of water of the second and third kinds situated between the Mg atom of the chlorophyll molecules and the water of the subphase. The second kind of water is closest to the Mg atom and is the most difficult one to remove. The third kind of water is closest to the surface and its mobility is intermediate between that of water of the first kind and that of water of the second kind. Comparing the infrared spectra of a freshly prepared monolayers of Chl a with the resonance Raman spectra of intact chloroplasts (M. Lutz, Biochim. Biophys. Acta 460 (1977) 408), we notice great similarities. This is an indication that the model we propose for the monolayer of Chl a could play an important role in the chloroplast

    Glucose and Fructose Hydrates in Aqueous Solution by IR Spectroscopy

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    Infrared Spectroscopy of Aqueous Carboxylic Acids:  Malic Acid

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    Sucrose Hydrates in Aqueous Solution by IR Spectroscopy

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    Aggregation of chlorophylls in monolayers: Part IV. The reorganisation of chlorophyll a in multilayer array

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    The nature of the interaction between the chlorophyll a molecules in multilayer arrays obtained by the Langmuir-Blodgett technique is examined by electronic and infrared spectroscopies. Following the deposition of the multilayers, we observed a blue shift with time in the electronic spectra. This effect is monitored by infrared spectroscopy. The intensity of the coordinated ketone band is decreased while the intensity of the free ketone band is increased. These modifications are explained by the reorganization of the chlorophyll a molecules from an organized to a less organized one. The influence of H 2O, D 2O and SO 2 vapors on the chlorophyll a multilayers give some informations on the role of water molecules in the aggregation of chlorophyll a in this ordered system. From these observations, a model is proposed for the multilayer arrangement implying two molecules of water per molecule of chlorophyll a
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