12 research outputs found

    Conception d'un site Internet (techniques d'anesthésie locorégionale pour la chirurgie ophtalmologique et du membre supérieur)

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    L'anesthésie loco régionale (ALR) représente un ensemble de techniques qui font partie du champ de compétence tout praticien. Devant l'essor de ce domaine, il convient à chacun d'acquérir une connaissance de l'ALR. L'accès a l'information médicale c'est considérablement développé avec l'avènement du réseau informatique mondial que représente l'Internet. Le but de ce travail est de recenser, pour l'ALR, les connaissances basées sur la littérature et les pratiques au sein de notre établissement et de les présenter sous la forme d'un site Internet. L'autre aspect de ce travail est l'élaboration à proprement parler du site Inter-net. Il faut évidemment respecter un certain nombre de contraintes à la fois sur le plan éthique que sur le plan technique. Le choix des techniques d'ALR en chirurgie ophtalmologique et du membre supérieur à été fait pour leur fréquence d'utilisation, leur grande reproductibilité et leur description consensuelle dans la littérature. Ce site fait le point sur une partie de l'ALR a un instant donné. L'intérêt de ce type support que représente Internet est de pouvoir être mis à jour facilement. Ceci aussi bien pour modifier les données que pour étendre le site à l'ensemble des techniques d'ALR.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Intérêt de l'infiltration de l'espace de Tenon pour l'analgésie postopératoire de la chirurgie du segment postérieur de l'oeil sous anesthésie générale

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    L'anesthésie sous-ténosienne (AST) est utilisée par certaines équipes de chirurgie de la cataracte ou pour l'analgésie lors du décollement de rétine sous anesthésie péribulbaire (APB). Le but de cette étude est de démontrer l'efficacité de la technique, comparée à l'analgésie classique (per-os ou parentéale) lors de la chirurgie du décollement de la rétine sous anesthésie générale. Il s'agit d'une étude de pratique, prospective chez des patients devant bénéficier d'une chirurgie du segment postérieur sous AG. La comparaison se fait entre 2 groupes qui auront soit une analgésie par infiltraion de l'espace de Tenon soit une analgésie systémique classique. L'EVA ainsi que le niveau d'analgésique demandés (paliers d'analgésiques classifiés selon l'OMS) dans les 2 groupes sera analysé. La méthode statistique utilisée a été le test U de Mann-Whitney. 93 patients ont été inclus dont 47 dans le groupe analgésique classique et 46 dans le groupe AST. L'EVA a été significativement moindre durant les 6 heures postopératoires dans le groupes AST (p<0,001). Le niveau de demande du palier analgésique est également moins élevé de façon significative dans le groupe AST durant la même période (p<0,001). Après cette période, la sensation douloureuse est trop basse pour mettre en évidence de différence significative dans les 2 groupes. L'AST à la canule mousse sous contrôle de la vue dans la chirurgie du décollement de la rétine est une techique efficace.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Anesthésie péribulbaire et traitement antiagrégant plaquettaire (étude d'une cohorte de 168 patients)

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    En France, la chirurgie ophtalmologique est une chirurgie fréquente et notamment la chirurgie de la cataracte qui représente 560 000 interventions par an. Elle s'adresse à une population le plus souvent âgée, présentant des pathologies cardiovasculaires nécessitant un traitement par antiagrégants plaquettaires. La technique anesthésique reconnue pour la plupart de ces chirurgien est l'anesthésie péribulbaire et il n'existe actuellement pas de recommandations sur la gestion péri opératoire de ces traitements au cours de cette technique d'anesthésie. Le médecin anesthésiste se retrouvant de plus en plus souvent confronté à cette situation, nous avons réalisé, au sein du département d'anesthésie réanimation du CHU de Rouen, en accord avec le service d'ophtalmologie, une étude afin d'évaluer les complications lors de la réalisation de ce geste chez des patients ayant poursuivi leur traitement antiagrégant plaquettaire aux posologies habituelles. Méthode Il s'agit d'une étude prospective de novembre 2007 à août 2009. Cette étude avait pour objectif principal d'évaluer les complications hémorragiques inhérentes à la technique d'anesthésie péribulbaire chez des patients ayant poursuivi leur traitement antiagrégant plaquettaire aux posologies habituelles. Résultats De novembre 2007 à août 2009, 168 patients ont été inclus consécutivement avec une moyenne d'âge de 73 ans. Les indications opératoires sont dans 65 % des cas une chirurgie de la rata. acte, 25 % une chirurgie du segment postérieur et 10 ô du segment antérieur. Toutes ces chirurgies sont des chirurgien jugées à risque hémorragique faible par le protocole du CHU de Rouen. Autant de patients sont sous 75 mg et 150 mg d'aspirine. Dans cette cohorte, 5 patients ont présenté des complications. Il s'agit de cinq hématomes au point de ponction sans incidence ni sur la chirurgie ni sur la vision au décours. Ces complications sont classées en stade I selon notre classification des complications hémorragiques. Enfin, cette cohorte ne présente aucune complication d'ordre médical. Discussion Nos résultats corroborent ceux de la littérature, tant sur le plan démographique que sur la survenue de complications péri opératoires. Bien que de faible effectif, notre étude nous conforte sur la possibilité de réaliser cette technique d'anesthésie chez des patients poursuivant leur traitement antiagrégant plaquettaire aux posologies habituelles : ceci limitant le risque de décompensation d'une pathologie cardiovasculaire préexistante sans augmenter le risque hémorragique lié au geste anesthésique. Ainsi, la diffusion du protocole de gestion péri opératoire du risque hémorragique au cours des chirurgien ophtalmologiques semble validée.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Procédures ophtalmologiques avec anesthésie péribulbaire, chez 1000 patients traités par clopidogrel

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    Introduction: La chirurgie ophtalmologique est fréquente et s'adresse à des patients souvent âgés ayant de multiples traitements dont les antiagrégants plaquettaires. Il n'existe pas, à l heure actuelle, de recommandations sur leur gestion périopératoire lors de la réalisation de l anesthésie péribulbaire (APB), technique de référence dans cette spécialité. Plusieurs études ont montré que l aspirine n augmentait pas le risque hémorragique mais il existe peu de données concernant le clopidogrel. Notre objectif était d évaluer l incidence des événements hémorragiques suite à l APB chez les patients sous clopidogrel. Matériel et Méthodes: Tous les patients traités par clopidogrel et opérés d une chirurgie ophtalmologique (à risque hémorragique faible) sous APB entre 2005 et 2011 ont été inclus de façon prospective au CHU de Rouen. Le paramètre principal était la survenue d une complication hémorragique liée à l APB. Les données démographiques, les types de chirurgie ainsi que les complications hémorragiques chirurgicales et les complications médicales étaient colligés. Résultats: 1000 patients ont été inclus. Trente hématomes au point de ponction ont été observés, sans aucun retentissement. Aucune autre complication n'a été rapportée. Discussion: La poursuite du traitement par clopidogrel limite le risque thrombotique mais expose potentiellement à une majoration du risque hémorragique lors de la réalisation d une APB. Le taux de complications hémorragiques observées est superposable à celui sous aspirine. Conclusion: Le clopidogrel peut donc probablement être poursuivi lors d une chirurgie ophtalmologique sous APB sans majorer le risque de complication hémorragique.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Anesthésie péribulbaire sans compression oculaire pour chirurgie du segment postérieur (étude pilote)

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    La compression oculaire à 30mmHg durant 10 minutes après réalisation de l'injection du produit d'anesthésie locale fait partie de la technique de référence de l'anesthésie péribulbaire. Certains auteurs discutent de l'utilité de la compression oculaire, d'autant plus que les techniques d'anesthésie péribulbaire actuelles induisent une augmentation modérée de la pression intraoculaire. Nous avons voulu par cette étude évaluer notre pratique de anesthésie péribulbaire sans compression oculaire en terme d'efficacité et de sécurité pour la chirurgie du segment postérieur de l'oeil. Nous avons ensuite comparé nos résultats avec ceux d'études antérieures réalisées sur le même sujet dans notre institution. Matériel et méthodes Tous les patients opérés du segment postérieur de l'oeil de Janvier à Août 2008 dans le service d'ophtalmologie du CHU de Rouen ont étés colligés. Les critères d'exclusion étaient l'existence d'une contre-indication à l'anesthésie péribulbaire. Notre critère de jugement principal étant la douleur ressentie par le patient à l'incision de la conjonctive après une anesthésie péribulbaire sans compression oculaire. Nous avons comparé les résultats de l'étude de la cohorte actuelle avec ceux de deux études déjà publiées ayant été réalisées dans notre unité en 2000 et 2002. Résultats L'analgésie et l'akinésie sont parfaites pour 60% des patients. Il y a eu recours à une anesthésie locale sous-Ténonienne de complément dans 31% des cas. Il n'existait aucune différences significatives entre le groupe analgésie parfaite et le groupe analgésie insuffisante en termes d'age, de poids, de score ASA, de volume d'anesthésique local, de type d'intervention et de motif d'intervention. Ceux-ci ne semblent donc pas influencer le taux de succès de l'anesthésie péribulbaire. La qualité de l'analgésie était significativement diminuée dans le groupe Sans Compression par rapport aux 2 séries précédentes (p<0,0001). Discussion Les résultats de cette étude montrent qu'il est possible de pratiquer une chirurgie du segment postérieur de l'oeil sous anesthésie péribulbaire sans compression oculaire. Cependant, la qualité de l'anesthésie semble bien moindre sans compression. Les études publiées sur l'influence de la compression oculaire sur l'anesthésie péribulbaire ne montraient pas d'amélioration de la qualité de l'analgésie ; ce résultat est donc nouveau. Une étude randomisée, en double aveugle, semblerait intéressante pour confirmer le résultat de notre étude. Conclusion L'anesthésie péribulbaire est une technique d'anesthésie locorégionale sûre et efficace pour la chirurgie du segment postérieur de l'oeil. La compression oculaire après injection du produit d'anesthésie locale est la procédure de référence. La faisabilité de l'anesthésie péribulbaire sans compression dans la chirurgie du segment postérieur n'avait jamais été testée. L'efficacité de l'anesthésie semble nettement diminuée sans compression et une étude randomisée en double aveugle est nécessaire pour confirmer ce résultat.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Peribulbar anaesthesia using a combination of lidocaine, bupivocaine and clonidine in vitreoretinal surgery

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    <b>Purpose: </b>The efficacy and safety of peribulbar anaesthesia was assessed using a combination of lidocaine, bupivacaine and clonidine during eye surgery. <b>Methods: </b>We prospectively studied 100 vitreo-retinal surgical procedures performed by several surgeons. The exclusion criteria included age below 30 years and, axial length of the orbit above 28 mm. Peribulbar was performed using Hamilton&#x2032;s technique. A mixed anaesthetic solution of equal quantity of lidocaine 2&#x0025; and bupivacaine 0.5&#x0025; with clonidine (1mg/kg) was injected. Patients received a mean volume of 14.5 ml &#x00B1; 3.5 of the mixture. Akinesia and analgesia were assessed 15 minutes later by the surgeon. Whenever required, supplemental lidocaine 2&#x0025; (3 ml) by sub- Tenon infiltration was added by the surgeon. Supplemental injections were given only to patients who failed to develop analgesia. <b>Results: </b>The mean age of patients (male 52&#x0025;, female 48&#x0025;) was 66 years &#x00B1; 10 (mean &#x00B1; SD, range 44-90). The 100 surgical procedures were made up of vitrectomy &#x00B1; gas &#x00B1; silicone oil (22/100), vitrectomy and lensectomy (6/100), vitrectomy and epiretinal membrane &#x00B1; laser coagulation &#x00B1; gas &#x00B1; silicone oil (35/100), scleral buckling or encircling &#x00B1; gas (36/100), and cryosurgery &#x00B1; gas (1/100). Analgesia was adequate throughout surgery without any supplementation in 85&#x0025; of cases and with a sub-Tenon infiltration in 99&#x0025;. Akinesia was complete in 84&#x0025;, mild in 12&#x0025; and absent in 4&#x0025; of cases. The sub-Tenon injection was performed in 15&#x0025; of cases. Three patients (3&#x0025;) were agitated during surgery. No neurologic or cardiac complication was seen. In one patient, the systolic blood pressure decreased from 170 to 110 mmHg, 30 minutes after the institution of the peribulbar block. <b>Conclusion: </b>Our results show that peribulbar anaesthesia in the proposed mixture offers excellent analgesia in 85&#x0025; of patients, and in 99&#x0025; of the patients when supplemented by a subtenon injection. The current mixture of lidocaine, bupivacaine and clonidine is an excellent alternative to the previously used mixture etidocaine, bupivacaine and hyaluronidase for vitreoretinal surgery. However, a randomized controlled clinical trial is needed to prove the efficacy and safety of these results

    Peribulbar anesthesia in 750 patients treated with oral anticoagulants

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    AIM: To check the safety of continuation of oral anticoagulants in ophthalmic procedures requiring a peribulbar anesthesia.METHOD:A prospective case control study included 750 patients with oral anticoagulants in group A and 750 patients who had never been treated with oral anticoagulant in group B. Hemorrhages were graded as follows:1) spot ecchymosis of eyelid and or subconjunctival hemorrhage; 2) eyelid ecchymosis involving half of the lid surface area; 3) eyelid ecchymosis all around the eye, no increase in intraocular pressure; 4) retrobulbar hemorrhage with increased intraocular pressure.RESULTS: In group A, grade 1 was observed in 13 patients (1.74%) and grade 2 in 2 patients (0.26%). In group B, grade 1 was observed in 12 patients (1.6%) and grade 2 was absent. No 3 or 4 hemorrhage grade was encountered in both groups. There was not significant difference in grade 1 hemorrhage between both groups (P=0.21).CONCLUSION:Oral anticoagulants were not associated with a significant increase in potentially sight-threatening local anesthetic complications
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