27 research outputs found
Des erreurs aux stéréotypes : Des modèles cognitifs de différents niveaux dans le projet Pépite
De nombreux modèles de l'apprenant ont été proposés en EIAH : des catalogues d'erreurs, des modèles cognitifs, des stéréotypes, etc. Notre expérience au sein du projet Pépite qui s'attache au diagnostic de la compétence algébrique des élèves de fin de collège début lycée, nous conduit à proposer plusieurs niveaux de modélisation selon les usages prévus de ce modèle et les acteurs concernés. Nous présentons les trois niveaux que nous définissons : codage des réponses selon des critères multidimensionnels, caractéristiques personnelles exprimées par des taux de réussite et la liste des erreurs commises et, enfin, le stéréotype associé à des fragilités et à des leviers pour l'apprentissage. Nous exposons leur mode de calcul et leur utilisation, puis, après avoir brièvement rappelé les résultats essentiels qui ressortent des travaux antérieurs dans ce domaine, nous évoquons une expérimentation en cours et les différentes perspectives offertes par ce travail
Modélisation et mise en œuvre d'environnements informatiques pour la régulation de l'apprentissage, le cas de l'algèbre avec le projet LINGOT
200 pagesCe projet a pour objectif de mettre à la disposition des enseignants des outils performants pour un travail plus individualisé avec des élèves dans le domaine de l'algèbre élémentaire. Le travail s'appuie sur des recherches théoriques en Didactique des Mathématiques et en Environnements Informatiques d'Apprentissage Humain. Le projet a produit un logiciel, appelé Pépite, qui construit automatiquement le profil cognitif en algèbre d'un élève du secondaire à partir de ses réponses à un test spécialement élaboré à cet effet
Les tumeurs tubulo-papillaires du rein (intérêt pronostique de la distinction type 1/ type 2, implications thérapeutiques : à propos de 58 cas)
AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
L'uretéroscopie souple dans la pathologie du haut appareil urinaire
AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Cancer du rein et thrombus cave
AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocSudocFranceF
COMPLICATIONS DU TRAITEMENT DES STENOSES DE LA JONCTION PYELO-URETERALE PAR LE BALLONNET URETEROTOME ACUCISE (A PROPOS DE 50 CAS)
AIX-MARSEILLE2-BU MĂ©d/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
Cancers urologiques chez le transplanté rénal
But : Etudier les aspects épidémiologiques, cliniques, para-cliniques et pronostiques des cancers urologiques (cancer de la prostate, carcinomes urothéliaux et cancer du rein natif et transplanté) chez les transplantés rénaux de notre centre. Matériels et méthodes : De 1/1987 à 2/2006, 1050 patients consécutifs (384 femmes et 666 hommes) âgés de 44,7 +- 12,9 ans ont été transplantés et suivis dans notre centre. L immunosuppression utilisée dans notre centre était conventionnelle, quadruple et séquentielle. Le suivi a représenté 5434 personne-années. Un dosage du PSA et un toucher rectal ont été réalisés annuellement chez les hommes de 50 à 75 ans. Aucune surveillance spécifique des voies excrétrices urinaires et des reins natifs des transplantés n a été réalisée. Les cas de cancers urologiques chez les transplantés rénaux suivis dans notre centre ont été recensés de manière prospective. L incidence (I) et le risque relatif par rapport à la population générale (RR) ont été calculés. Résultats : Nous avons recensé 5 (I = 146/100 000/an RR = 1,95) cancers de prostate dont 2/5 étaient de haut risque de D Amico, 9 (I = 166/100 000/an RR = 2,58) tumeurs urothéliales de vessie dont 1/3 étaient d emblée infiltrantes, 2 (I = 37/100 000/an RR = 24,6) carcinomes urothéliaux des voies excrétrices supérieures et 12 (I = 221/100 000/an RR = 18,1) carcinomes à cellules rénales dont 46% de grade de Führman 3. Les âges moyens au diagnostic ont été de 58,7 +- 7,2 ans pour les cancers de prostate, 59,1 +- 7,9 ans pour les tumeurs urothéliales de vessie et 48,3 +- 9,8 ans pour les carcinomes à cellules rénales. Les survies globales et spécifiques ont été de 60% et 80% à 43 mois pour les cancers de prostate, 56% et 67% à 53 mois pour les tumeurs urothéliales de vessie et 83% et 92% à 48 mois pour les carcinomes à cellules rénales. Conclusion : Les cancers urologiques ont été plus fréquemment et plus précocement diagnostiqués et ont été histologiquement plus agressifs chez les patients transplantés que dans la population générale. L hypogonadisme lié à l insuffisance rénale chronique pourrait jouer un rôle dans le développement du cancer de la prostate. L immunosuppression a eu des conséquences thérapeutiques et pronostiques.AIX-MARSEILLE2-BU Méd/Odontol. (130552103) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF