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    Etat des lieux de la contraception d'urgence et ses problématiques chez les adolescents. Enquête auprès de lycéens

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    En France le nombre d IVG, stable depuis sa légalisation, a tendance à augmenter chez les plus jeunes. La contraception d urgence (CU) qui a obtenu l autorisation de mise sur le marché il y a plus de 10 ans est un des moyens utilisés pour diminuer ce nombre d IVG. Cependant, on note une nette sous-utilisation de cette CU malgré les moyens mis en œuvre pour faciliter son accès. Une des principales raisons identifiées à cette sous-utilisation est la méconnaissance de cette dernière. Cette thèse présente les résultats d une enquête faite auprès de lycéens français (dans des lycées généraux et des lycées professionnels), par un questionnaire permettant d identifier leurs lacunes en terme de CU, d identifier les caractéristiques des élèves les mieux informés à ce sujet, et de cibler les sources d information les plus fréquentes et les plus efficaces. Les principaux résultats montrent que les élèves les mieux informés sur la CU sont les filles, les élèves en classe de terminale, ceux appartenant à des lycées généraux, ceux ayant déjà eu des rapports sexuels, et ceux ayant déjà été confrontés à la prise de la CU. Leurs principales lacunes concernent son prix, les lieux où il est possible de se la procurer, l existence de contre-indications ou effets indésirables, et l association à une méthode abortive. Enfin, l école et les médias semblent être les moyens les plus fréquents pour diffuser les informations sur la CU. L ensemble de ces données permettent d élaborer des outils pour améliorer la connaissance des lycéens sur la contraception d urgence, et éviter au mieux une grossesse non désirée chez ces jeunesIn France, the number of abortions that has been stable since its legalization tend to increase among the younges population. Emergency contraception which has obtained the authorization on the market more than 10 years ago is on way to reduce the number of abortions. However, there is as clear under-utilization of this emergency contraception despite an access already facilitated. Ignorance is one of the main reasons identified for this under-utilization. This thesis presents the results of a study conducted among French students (in general high schools and technical high schools) through a survey in order to measure their lack of awareness about emergency contraception, to identify the characteristics of the students who are best informed on this subject, and to target the sources of information that are the most common and most effective ones. The main results show that the best informed students about emergency contraception are girls, final year students, those belonging to general high schools, those who already had sex and those who already used emergency contraception. Their main shortcomings relate to its price, the places where it is possible buy it, the existence of cons-indications or side effects and the association with another abortive method. Finally, school and media seem to be the most common ways to disseminate information about emergency contraception. Thanks to these data, high school students knowledge on emergency contraception can be improved and unwanted pregnancy among young people can be avoided betterST QUENTIN EN YVELINES-BU (782972101) / SudocSudocFranceF

    Information du patient sur les risques d'effets indésirables des antalgiques (étude de pratique en consultation de médecine générale)

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    En médecine générale la prescription d antalgiques est fréquente et parfois responsable d effets indésirables. Le médecin doit informer son patient de ces risques. La réalité de cette information est mal connue. Explorer des pratiques d information du patient, dans leur fréquence et leur contenu, à partir d un groupe de Médecins Généralistes. Enquête qualitative, par observation directe, durant 4 mois, de 81 consultations donnant lieu à la prescription d un analgésique autre que le paracétamol. L information concerne les risques fréquents et peu graves. Les 18 cas de prescriptions d anti-inflammatoires non stéroïdiens s accompagnent de questions sur la tolérance médicamenteuse dans 22% des cas, de conseils dans 50% des cas, d une information sur le risque d inconfort gastrique dans 56% des cas, et d une sur le risque rénal dans 6% des cas. Les 39 cas de prescriptions de Dextropropoxyphène s accompagnent de questions sur la tolérance médicamenteuse dans 18% des cas, de conseils dans 5% des cas, d une information sur le risque de somnolence dans 15% des cas, et sur le risque de vertige dans 3% des cas. Les 11 cas de prescriptions de Tramadol s accompagnent de questions sur la tolérance médicamenteuse dans 9% des cas, de conseils dans 9% des cas, d une information sur le risque de somnolence dans 36% des cas, sur le risque de nausée dans 22% des cas et celui d interaction médicamenteuse dans 9% des cas. Les autres effets indésirables possibles ne sont jamais abordés.Sans être représentatif le groupe d'étude apporte un exemple des pratiques médicales d information en ambulatoire.In general practice, analgesic prescription involve a risk of side effects. General practitionners'have to inform their patients about. The reality of this information is unknown. To asses patient information practices, by measuring their frequency and content. Qualitative study, by live observation, of 81 general practitioners consultations with an analgesic prescription. Information is about frequent and not serious risks. Non steroidal anti-inflammatory prescription is going with an information on gastric disconfort risk (56 % of cases) and renal risk (6% of cases). Dextropropoxyphene prescription is going with an information on drowsiness risks (15 % of cases) and dizziness risk (3 %). Tramadol prescription is going with an information on drowsiness risks (36 %), nausea risk (22%) and drug interaction risk (9%). The other possible sides effects are never tackled.ST QUENTIN EN YVELINES-BU (782972101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Dépistage et prévention de l'obésité de l'enfant (évaluation des connaissances et des pratiques des médecins généralistes en Ile-de-France)

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    L obésité de l enfant touche près d un enfant sur six en France. Sa prévalence s est multipliée par cinq en trente ans. On définit l obésité chez l enfant par un IMC supérieur au centile atteignant 25 à l âge de 18 ans. Afin de stabiliser le nombre d obèses, il faut agir prioritairement sur la prévention ciblée en identifiant le plus précocement possible les individus à risque. Parmi les nombreux facteurs de risques connus, ceux constamment associés à l obésité sont l existence d une obésité chez un parent et l apparition d un rebond d adiposité précoce. Nous avons évalué les connaissances et les pratiques des médecins généralistes en Ile de France, par une étude transversale. Les principaux résultats montrent que l utilisation de l IMC fait partie des pratiques courantes et les médecins sont globalement sensibilisés au problème. La définition de l obésité de l enfant et les facteurs de risque sont méconnus et le principal obstacle à la prévention est le manque de temps des médecins.ST QUENTIN EN YVELINES-BU (782972101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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