42 research outputs found

    Histoire de la diplomatie et des relations internationales au XIXe siècle

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    Programme de l’année 2015-2016 : I. Initiation aux sources, aux méthodes et à l’historiographie. — II. Le « Concert européen » : recherches sur la diplomatie multilatérale au XIXe siècle

    Histoire de la diplomatie et des relations internationales au XIXe siècle

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    Programme de l’année 2018-2019 : I. Sources et méthodes de l’histoire de la diplomatie au XIXe siècle. — II. Le « Concert européen » : recherches sur la diplomatie multilatérale au XIXe siècle (suite et fin)

    Histoire de la diplomatie et des relations internationales au XIXe siècle

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    Programme de l’année 2019-2020 : I. Daumier et la diplomatie de son temps. — II. La diplomatie française en 1870 à partir de documents inédits

    Histoire de la diplomatie et des relations internationales au XIXe siècle

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    Programme de l’année 2015-2016 : I. Initiation aux sources, aux méthodes et à l’historiographie. — II. Le « Concert européen » : recherches sur la diplomatie multilatérale au XIXe siècle

    Un « enfant du siècle » ? Les premières études historiques de Barthélémy Hauréau

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    BRULEY Yves. Un « enfant du siècle » ? Les premières études historiques de Barthélémy Hauréau. In: Journal des savants, 2003, n°2. pp. 243-270

    The Quai d'Orsay during the French Second Empire

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    Cette thèse n’est pas une histoire de la politique extérieure de Napoléon III, mais du Ministère des Affaires étrangères et de l’action diplomatique. La première partie montre que la continuité des structures, du personnel, des modes de vie révèle l’attachement à un modèle classique. La deuxième partie montre que le rôle du Quai d’Orsay a été plus important qu’on ne l’a cru. Impliqués dans la politique qui conduit au Congrès de Paris (1856), les diplomates font preuve d’initiative. La politique italienne puis la question allemande suscitent un profond clivage au Quai d’Orsay, sans altérer les certitudes quant à la puissance de la France. La troisième partie décrit une diplomatie ouverte à la modernité : le Quai d’Orsay est actif dans l’extension de l’influence française dans le monde et dans l’essor de la diplomatie économique. Mais il souffre des dysfonctionnements politiques des dernières années du règne, tandis que Bismarck remet en cause les fondements de la diplomatie classique.This doctoral thesis is not a history of Napoleon III’s foreign policy. It concerns the history of the French Foreign Office, including its diplomatic action. The first part shows how continuity in structure, staff and way of life reflect the predominance of the classical model. In the second section, the role undertaken by the Quai d’Orsay is analysed : it was more important than has usually been alleged. The Diplomats implicated in Policy that lead to the Congrès de Paris (1856) demonstrate initiative, drive and vision. The Italian file and then German affairs deeply divide the diplomatic staff, but does not undermine their unfaltering opinion concerning the importance of French power. The third part describes how this classical diplomacy is opened to modernity, through the endeavour to develop French influence around the world and the expansion of economic diplomacy. However in the last years of Napoleon III’s reign, the Quai d’Orsay is suffering from political problems – whereas Bismarck is calling into question the principles of classical diplomacy

    La romanité catholique au XIXe siècle : un itinéraire romain dans la littérature française

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    [eng] Abstract During the nineteenth century, what we usually call ultramontanism was linked with a rediscovery of the catholic romanity, which had a symbiotic relationship with a town, Rome, a symbol ofuni- versalism, and with the person of the Pope. It stressed the need of a centralized power in the Church and led to a romanisation of the Catholicism. The French literature is a good spot to observe these thoughts about romanity from Chateaubriand to Stendhal and from the Goncourts to Maurras. [fre] Résumé Ce qu'on appelle couramment Fultramontanisme se nourrit au XIXe siècle d'une redécouverte de la romanité catholique, qui se traduit par un attachement à une ville, symbole universaliste, à la personne du pape, à un pouvoir central dans l'Église, et conduit à une romanisation du catholicisme. La littérature française est un bon observatoire de la réflexion menée au cours du siècle sur la romanité, de Chateaubriand à Stendhal puis des Goncourt à Maurras.

    Le droit de l’ambassade au XIXe siècle : la question des immunités diplomatiques dans les traités et manuels de droit des gens

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    Des lendemains de la Révolution française jusqu’aux prodromes de la Grande Guerre, le droit des immunités diplomatiques n’a jamais été remis en cause, ni dans la pratique diplomatique des États européens, ni dans la réflexion des juristes. Les manuels, traités ou précis de droit des gens rappellent tous qu’il s’agit d’un héritage européen des plus anciens, et que l’ancienneté suffit à donner à ces coutumes une légitimité incontestable. Sans qu’aucune convention internationale ni aucune législation nationale ne viennent les fixer en droit positif, les immunités ont pourtant, au XIXe siècle, des contours juridiques à peu près clairs, en ce qui concerne la résidence diplomatique, les diplomates, leur famille, leurs gens ou les courriers. Toutefois, des débats s’ouvrent sur les limites à leur donner, pour éviter les abus et les situations inacceptables. Certains auteurs sont favorables à des restrictions ; d’autres accordent la primauté au respect du principe. Sur le plan théorique, tous s’accordent, à la fin du siècle, pour renoncer à l’embarrassante fiction de l’exterritorialité, et préfèrent justifier les immunités par les nécessités du «service public» des relations internationales. Mais le refus de codifier ce qui relève de la coutume européenne reflète une conception de la diplomatie où le respect des traditions doit demeurer une question de «savoir vivre» . la résidence diplomatique, les diplomates, leur famille, leurs gens ou les courriers. Toutefois, des débats s’ouvrent sur les limites à leur donner, pour éviter les abus et les situations inacceptables. Certains auteurs sont favorables à des restrictions ; d’autres accordent la primauté au respect du principe. Sur le plan théorique, tous s’accordent, à la fin du siècle, pour renoncer à l’embarrassante fiction de l’exterritorialité, et préfèrent justifier les immunités par les nécessités du «service public » des relations internationales. Mais le refus de codifier ce qui relève de la coutume européenne reflète une conception de la diplomatie où le respect des traditions doit demeurer une question de «savoir vivre » .Bruley Yves. Le droit de l’ambassade au XIXe siècle : la question des immunités diplomatiques dans les traités et manuels de droit des gens. In: Mélanges de l'École française de Rome. Italie et Méditerranée, tome 119, n°1. 2007. Résidences d’ambassadeurs et immunités diplomatiques (XVIe-XXe siècle). La mobilité intellectuelle en Méditerranée, de l’antiquité à l’époque moderne. pp. 51-66

    L'ambassade idéale au XIXe siècle : étude comparative des prix de Rome d'architecture de 1841 et 1869

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    184 1 und 1 869 wurde den Kandidaten des Prix de Rome d 'architecture die Aufgabe gestellt, ein französisches Botschaftsgebäude in einem größeren Staat zu errichten. Die Analyse und der Vergleich der Pläne zeigt, wie sich die Diplomatie von der Mitte der monarchischen Herrschaft Louis-Philippes bis zu den letzten Jahren des Zweiten Kaiserreiches entwickelt hat : Das Projekt von 1841 zeigt eine diplomatische Bastion ; dasjenige von 1869 berucksichtigt die Erfordernisse der modernen Diplomatie. Die von den Kandidaten vorgeschlagenen Stilrichtungen zeigen auch die Entwicklung der nationalen französischen Architektur im Allgemeinen.Soon after the end of the Crimean War, the Académie des Beaux-Arts decided the program for the grand prix de Rome would be as follows : "A Palace for the French Embassy in Constantinople". After a preliminary examination, the eight best young architects were selected to work on this theme. From May to September 1 856, they made up their projects, though the program, even after having been made lighter, was still deemed too much ambitious. The two most valuable projects were Jean Baptiste Boittes and Edmond Guillaume's one. The other projects were not as good : indeed, many mistakes were left in some, some were uncompleted, some others awkward or unrealistic. On the contrary, Boitte's work was tasteful and wellbalanced, but it appeared that it was not sumptuous enough. That is why the Prize was bestowed to Guillaume whose project best fulfilled most of the program's purposes : so his work turn out to be a good illustration of the academic idea of an ambassadorial palace.En 1841 et 1869, le sujet donné aux candidats du prix de Rome d'architecture porte sur la construction d'une ambassade française dans un grand État. L'analyse et la comparaison des deux programmes montrent l'évolution de la diplomatie entre le milieu de la monarchie de Louis-Philippe et les dernières années du Second Empire: le projet de 1841 est une véritable citadelle diplomatique; celui de 1869 tient compte des exigences de la diplomatie moderne. Les styles proposés par les candidats montrent aussi l'évolution de l'architecture nationale française.Bruley Yves. L'ambassade idéale au XIXe siècle : étude comparative des prix de Rome d'architecture de 1841 et 1869. In: Livraisons d'histoire de l'architecture, n°4, 2e semestre 2002. pp. 9-26
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