61 research outputs found
Marcel Paul-Cavallier, Jacques Walter, dirs, Organisations, médias et médiations
Dirigé par Marcel Paul-Cavallier et Jacques Walter, Organisations, médias et médiations se prête à deux niveaux de lecture. En premier lieu, les dix-huit contributions rassemblées proposent une typologie très détaillée des interdépendances complexes reliant médias et organisations, mais également des formes de communication non strictement médiatiques, ou « médiations » mises en œuvre. En second lieu, la mise en perspective de ces textes donne à l’ouvrage une portée beaucoup plus étendue, rel..
Autonomie professionnelle et rationalisations cognitives : les paradoxes dissimulés des organisations post-disciplinaires
Qu’elles soient marchandes ou non marchandes, les organisations étendent les rationalisations industrielles de la production aux activités cognitives, c’est à dire au traitement de l’information et à la mobilisation de connaissances. Ces prolongements des dispositifs disciplinaires traditionnels sont porteurs de paradoxes : les systèmes d’information intégrés rigidifient les organisations autant qu’ils les flexibilisent, l’accroissement simultané de la normalisation s’accompagne d’une exigence d’autonomie croissante, il faut développer les activités communicationnelles au travail alors que les collectifs professionnels sont de plus en plus flous. En fait, la pression des clients, des usagers, des actionnaires, induit des contraintes dynamiques qui démultiplient les sources de pouvoir et de contrôle. Il résulte de cette situation un « verrouillage symbolique » qui se manifeste à trois niveaux : contraintes à la production collective de sens dans les situations de travail, discours univoque justifiant au niveau sociétal cette réalité, évaluation publique permanente des organisations en fonction d’indicateurs de synthèse rapportant leur activité à un niveau moyen minimal. Les paradoxes continuent d’exister, mais leurs effets sont dissimulés derrière l’obligation de résultat déclinée à tous les niveaux.‪Both merchant and non-merchant organizations are extending industrial rationalizations to cognitive activities that concern in particular data and knowledge mobilization processes in working situations. These developments in traditional disciplinary mechanisms carry paradoxes. Integrated information systems increase both flexibility and rigidity in organizations. Greater respect for specifications and greater individual autonomy are required from workers. Although communicational and collective activities play a fundamental role in work, long-term working teams with intensive links between the various members are becoming exceptional. In fact, pressure from customers, users, and shareholders induce dynamic constraints that increase the number of sources of control. The consequence is a rigid three-tier structure. While people are forced to resolve production problems jointly, many discourses justify and legitimate the current socioeconomic system, and organizations undergo a permanent recording process grounded in synthetic indicators of their activity. Although paradoxes remain, their consequences are hidden behind results obligations.
Jacques Dubois, Pascal Durand, Yves Winkin, dirs, Le symbolique et le social. La réception internationale de la pensée de Pierre Bourdieu
Omniprésente dans l’œuvre de Pierre Bourdieu, la notion de « symbolique » est davantage utilisée comme un adjectif (« capital symbolique », « violence symbolique », « domination symbolique » ou « pouvoir symbolique » par exemple) que mobilisée comme substantif (« le symbolique »), comme cela devrait être le cas s’il s’agissait d’un concept construit. Or, il semble bien que ce soit dans la catégorie du symbolique que se concentre une dimension irréductiblement originale de la pensée sociologiq..
Figures de l’individu au travail, figures du « collaborateur »
Cet article analyse comment le terme de « collaborateur », renvoie implicitement à une vision idéalisée de l’organisation, de l’individu au travail et des relations sociales. Les stratégies individuelles, l’asymétrie des rapports sociaux, les divergences d’intérêts sont passées sous silence au profit de la description performative d’une organisation cohérente, unitaire et fluide. L’étude menée dans une grande entreprise met en évidence la manière dont cette figure idéalisée relève de rationalisations communicationnelles articulées à des rationalisations industrielles plus générales, impliquant transformation des processus productifs, commerciaux et développement de nouveaux systèmes d’information.This article analyses how the word “collaborator” implicitly refers to an idealized view of organization, of work activities and social relationships. The multiplicity of the individual strategies, the divergences between interests of the different stakeholders are hidden in order to display the picture of a coherent and unitary organization. A study carried out in an important company shows that this idealized vision is a part of communicational rationalizations, embedded in more wide industrial rationalizations. Such rationalizations imply large transformations of productive and commercial processes, together with the development of new informations systems
De la communication organisationnelle aux « approches communicationnelles » des organisations : glissement paradigmatique et migrations conceptuelles
Les travaux relatifs aux questions informationnelles et communicationnelles associées aux organisations se sont multipliés depuis une quinzaine d’années, au travers de nombreuses journées d’études, colloques et ouvrages…, la revue « Communication et Organisation » occupant une place centrale dans cette dynamique. Une étude des productions scientifiques des vingt dernières années montre que les objets étudiés se sont inscrits dans des espaces de plus en plus étendus. Interrogeant initialement ..
Les applications conversationnelles des réseaux sociaux d'entreprise : normalisation de l'interaction et rationalisation communicationnelle de l'organisation
La contribution que nous proposons au colloque " communiquer dans un monde de normes " s'inscrit dans l'axe 1, Approche communicationnelle de la norme dans les organisations. Nous souhaitons montrer comment les rationalisations qui caractérisent les organisations contemporaines investissent le champ des activités communicationnelles inscrites au cœur du travail et visent à normaliser des interactions jusqu'ici largement tacites, participant à ce que la sociologie de la régulation sociale (Reynaud, 1988 ; de Terssac, 1992, 2003) qualifie de " régulations autonomes ". De tels échanges s'avèrent indispensables au sein des organisations. C'est le cas lorsque les règles formelles et les procédures ne sont plus suffisantes pour en assurer la bonne marche, par exemple en raison de dysfonctionnements ou de perturbations imprévues. C'est également le cas dans les activités de création, de recherche et de conception, où la réalisation de l'activité exige la production de connaissances nouvelles et des règles. C'est enfin le cas dans les activités à forte intensité relationnelle, lorsque la réalisation d'un service résulte d'un ajustement réciproque en situation entre le prestataire et le bénéficiaire, comme, par exemple, dans la vente, le conseil, l'enseignement et la formation. Au-travers de tels échanges, la communication est constitutive de l'organisation (Cooren, Robichaud, 2011), elle joue un rôle central dans sa construction sociale. C'est d'ailleurs parce qu'ils reconnaissent son importance que les acteurs en charge du pilotage organisationnel cherchent aujourd'hui à optimiser et à rationaliser ces activités communicationnelles. Nous analyserons ce phénomène au travers d'un objet d'étude constitué par les Réseaux Sociaux d'Entreprises (RSE). Déployés sur des réseaux intranet et extranet, ces dispositifs intègrent différentes fonctionnalités dites collaboratives dont les plus emblématiques paraissent être les " applications conversationnelles ". Ces dernières constituent un hybride entre le courrier électronique, qu'elles sont supposées remplacer à terme, et les forums, associant plusieurs participants. Elles intègrent un outil de type messagerie instantanée, utilisable de manière synchrone ou asynchrone et des fonctionnalités poussées d'archivage et de recherche des contenus échangés. Ces dispositifs ont vocation à se substituer aux réunions traditionnelles, qu'elles permettent de conduire indépendamment de l'unité de lieu et de temps qui caractérise traditionnellement une situation de communication. Leur capacité à conserver la dimension procédurale des connaissances produites, les arguments échanges, les alternatives envisagées et les contributions de chaque participant sont souvent soulignées. A partir d'une étude portant sur l'offre proposée par les éditeurs, nous chercherons à mettre en évidence la manière dont les réseaux sociaux d'entreprise et leurs outils conversationnels reposent sur un modèle sousjacent de l'interaction dans le cadre des situations de communication professionnelle. En particulier, ils codifient et inscrivent dans la logique de l'outil ces différentes phases de l'interaction. Il en est ainsi pour les dimensions relationnelles de l'interaction, dans la mesure où l'entrée en contact des protagonistes et leur présentation est médiatisée au-travers de fiches où chaque intervenant potentiel est amené à décrire (et à enregistrer dans une base de données) ses compétences, expériences, et plus largement son identité numérique professionnelle. La mise en relation tend ainsi à être déléguée à des algorithmes, qui proposent des interlocuteurs en fonction de critères définis. Le déroulement des interactions en tant que telles est également concerné par les dispositifs conversationnels, qui viennent équiper les échanges et organiser leur traçabilité. Les formes écrites de communication prennent ainsi une importance croissante par rapport aux formes orales. La vision idéalisée d'une transcription permettant de conserver le contenu des échanges, de le réifier pour les discuter et les critiquer (Goody, 1979) est souvent avancée, mais d'importants questionnements demeurent en suspens pour ce qui concerne la capacité de ces Technologies d'Accompagnement de la Coopération (de Terssac, Bazet, 2007) à établir et à entretenir la dimension relationnelle de la communication et l'ordre de l'interaction. Nous nous intéresserons aux constructions symboliques opérées par les éditeurs de logiciels pour inscrire leurs dispositifs dans les organisations et dans les activités où elles doivent prendre place. Les arguments développés dans les documents de présentations (plaquettes, livres blancs, sites internet) dans les opérations promotionnelles (salons professionnels) et dans les sites d'information spécialisée, que nous suivons depuis mi-2010, sont ainsi particulièrement étudiés. L'enjeu sera de faire ressortir les modèles communicationnels et organisationnels sous-jacents qui s'imposent au client : l'offre de dispositifs conversationnels intervient en effet largement dans la construction de la demande à laquelle elle répond, comme en témoignent les expériences d'organisations clientes où les services communication interne ou ressources humaines sont amenés à déployer à marche forcée des dispositifs collaboratifs sur injonction de la direction générale, selon des modalités reposant sur un simulacre de participation et " d'accompagnement du changement ". Par-delà l'affichage de la nécessité d'associer les différents acteurs de l'organisation pour garantir le bon déroulement des transformations, on assiste en fait à la persistance de conceptions positivistes de l'organisation et de visions instrumentales de la communication. Il semble ainsi que la normalisation de la conversation associée aux réseaux sociaux d'entreprise s'inscrive en correspondance étroite avec le mouvement de formalisation sans précédent des activités qui s'exprime au travers de l'organisation processus, du Business Process Management et des systèmes d'information intégrés qui permettent et contrôlent la mise en œuvre des procédures. Certes, ces deux approches peuvent apparaitre opposées : la seconde, fondée sur le contrôle, est fondée sur le respect de règles de contrôle, la première accompagne le développement de régulations autonomes et semble faire la part belle à l'auto-organisation. En réalité, elles constituent deux facettes d'un même mouvement de rationalisation organisationnelle, intégrant à la fois la définition d'un cadre formel et la possibilité de déroger à ce cadre, de l'adapter, de le contourner. La mise en œuvre d'une approche communicationnelle de l'organisation (Bouillon, 2008, 2010) parait de nature à saisir la globalité de ce mouvement. Elle permet en premier lieu d'identifier les différentes formes communicationnelles impliquées, à savoir les interactions professionnelles objet de la rationalisation, les dispositifs socio-techniques et normatifs sur lesquels s'appuient cette rationalisation (les RSE en font évidemment partie) et les discours venant assurer l'inscription de ces technologies dans l'organisation, légitimer et justifier leur mise en œuvre. En second lieu, cette approche permet d'articuler les différents niveaux de généralité de l'organisation où s'opère cette rationalisation, les situations de communication dans le travail, les processus organisationnels et les politiques d'institutionnalisation de l'organisation
Séminaires interdisciplinaires Mémoire organisationnelle et dynamique innovatrice, et Mémoires, inscriptions, actions individuelles et collectives, Université Technologique de Compiègne, 22-26 janvier 1996
Bouillon Jean-Luc. Séminaires interdisciplinaires Mémoire organisationnelle et dynamique innovatrice, et Mémoires, inscriptions, actions individuelles et collectives, Université Technologique de Compiègne, 22-26 janvier 1996. In: Sciences de la société, n°39, 1996. Pouvoir et dynamique des organisations (2). Vers un renouvellement des approches ? pp. 211-213
Les applications conversationnelles des réseaux sociaux d'entreprise : normalisation de l'interaction et rationalisation communicationnelle de l'organisation
La contribution que nous proposons au colloque " communiquer dans un monde de normes " s'inscrit dans l'axe 1, Approche communicationnelle de la norme dans les organisations. Nous souhaitons montrer comment les rationalisations qui caractérisent les organisations contemporaines investissent le champ des activités communicationnelles inscrites au cœur du travail et visent à normaliser des interactions jusqu'ici largement tacites, participant à ce que la sociologie de la régulation sociale (Reynaud, 1988 ; de Terssac, 1992, 2003) qualifie de " régulations autonomes ". De tels échanges s'avèrent indispensables au sein des organisations. C'est le cas lorsque les règles formelles et les procédures ne sont plus suffisantes pour en assurer la bonne marche, par exemple en raison de dysfonctionnements ou de perturbations imprévues. C'est également le cas dans les activités de création, de recherche et de conception, où la réalisation de l'activité exige la production de connaissances nouvelles et des règles. C'est enfin le cas dans les activités à forte intensité relationnelle, lorsque la réalisation d'un service résulte d'un ajustement réciproque en situation entre le prestataire et le bénéficiaire, comme, par exemple, dans la vente, le conseil, l'enseignement et la formation. Au-travers de tels échanges, la communication est constitutive de l'organisation (Cooren, Robichaud, 2011), elle joue un rôle central dans sa construction sociale. C'est d'ailleurs parce qu'ils reconnaissent son importance que les acteurs en charge du pilotage organisationnel cherchent aujourd'hui à optimiser et à rationaliser ces activités communicationnelles. Nous analyserons ce phénomène au travers d'un objet d'étude constitué par les Réseaux Sociaux d'Entreprises (RSE). Déployés sur des réseaux intranet et extranet, ces dispositifs intègrent différentes fonctionnalités dites collaboratives dont les plus emblématiques paraissent être les " applications conversationnelles ". Ces dernières constituent un hybride entre le courrier électronique, qu'elles sont supposées remplacer à terme, et les forums, associant plusieurs participants. Elles intègrent un outil de type messagerie instantanée, utilisable de manière synchrone ou asynchrone et des fonctionnalités poussées d'archivage et de recherche des contenus échangés. Ces dispositifs ont vocation à se substituer aux réunions traditionnelles, qu'elles permettent de conduire indépendamment de l'unité de lieu et de temps qui caractérise traditionnellement une situation de communication. Leur capacité à conserver la dimension procédurale des connaissances produites, les arguments échanges, les alternatives envisagées et les contributions de chaque participant sont souvent soulignées. A partir d'une étude portant sur l'offre proposée par les éditeurs, nous chercherons à mettre en évidence la manière dont les réseaux sociaux d'entreprise et leurs outils conversationnels reposent sur un modèle sousjacent de l'interaction dans le cadre des situations de communication professionnelle. En particulier, ils codifient et inscrivent dans la logique de l'outil ces différentes phases de l'interaction. Il en est ainsi pour les dimensions relationnelles de l'interaction, dans la mesure où l'entrée en contact des protagonistes et leur présentation est médiatisée au-travers de fiches où chaque intervenant potentiel est amené à décrire (et à enregistrer dans une base de données) ses compétences, expériences, et plus largement son identité numérique professionnelle. La mise en relation tend ainsi à être déléguée à des algorithmes, qui proposent des interlocuteurs en fonction de critères définis. Le déroulement des interactions en tant que telles est également concerné par les dispositifs conversationnels, qui viennent équiper les échanges et organiser leur traçabilité. Les formes écrites de communication prennent ainsi une importance croissante par rapport aux formes orales. La vision idéalisée d'une transcription permettant de conserver le contenu des échanges, de le réifier pour les discuter et les critiquer (Goody, 1979) est souvent avancée, mais d'importants questionnements demeurent en suspens pour ce qui concerne la capacité de ces Technologies d'Accompagnement de la Coopération (de Terssac, Bazet, 2007) à établir et à entretenir la dimension relationnelle de la communication et l'ordre de l'interaction. Nous nous intéresserons aux constructions symboliques opérées par les éditeurs de logiciels pour inscrire leurs dispositifs dans les organisations et dans les activités où elles doivent prendre place. Les arguments développés dans les documents de présentations (plaquettes, livres blancs, sites internet) dans les opérations promotionnelles (salons professionnels) et dans les sites d'information spécialisée, que nous suivons depuis mi-2010, sont ainsi particulièrement étudiés. L'enjeu sera de faire ressortir les modèles communicationnels et organisationnels sous-jacents qui s'imposent au client : l'offre de dispositifs conversationnels intervient en effet largement dans la construction de la demande à laquelle elle répond, comme en témoignent les expériences d'organisations clientes où les services communication interne ou ressources humaines sont amenés à déployer à marche forcée des dispositifs collaboratifs sur injonction de la direction générale, selon des modalités reposant sur un simulacre de participation et " d'accompagnement du changement ". Par-delà l'affichage de la nécessité d'associer les différents acteurs de l'organisation pour garantir le bon déroulement des transformations, on assiste en fait à la persistance de conceptions positivistes de l'organisation et de visions instrumentales de la communication. Il semble ainsi que la normalisation de la conversation associée aux réseaux sociaux d'entreprise s'inscrive en correspondance étroite avec le mouvement de formalisation sans précédent des activités qui s'exprime au travers de l'organisation processus, du Business Process Management et des systèmes d'information intégrés qui permettent et contrôlent la mise en œuvre des procédures. Certes, ces deux approches peuvent apparaitre opposées : la seconde, fondée sur le contrôle, est fondée sur le respect de règles de contrôle, la première accompagne le développement de régulations autonomes et semble faire la part belle à l'auto-organisation. En réalité, elles constituent deux facettes d'un même mouvement de rationalisation organisationnelle, intégrant à la fois la définition d'un cadre formel et la possibilité de déroger à ce cadre, de l'adapter, de le contourner. La mise en œuvre d'une approche communicationnelle de l'organisation (Bouillon, 2008, 2010) parait de nature à saisir la globalité de ce mouvement. Elle permet en premier lieu d'identifier les différentes formes communicationnelles impliquées, à savoir les interactions professionnelles objet de la rationalisation, les dispositifs socio-techniques et normatifs sur lesquels s'appuient cette rationalisation (les RSE en font évidemment partie) et les discours venant assurer l'inscription de ces technologies dans l'organisation, légitimer et justifier leur mise en œuvre. En second lieu, cette approche permet d'articuler les différents niveaux de généralité de l'organisation où s'opère cette rationalisation, les situations de communication dans le travail, les processus organisationnels et les politiques d'institutionnalisation de l'organisation
La rationalisation de la créativité. Enjeux communicationnels des nouvelles formes organisationnelles de construction collective de l’innovation
International audienc
Guy Le Boterf, De la compétence : Essai sur un attracteur étrange. 1995
Bouillon Jean-Luc. Guy Le Boterf, De la compétence : Essai sur un attracteur étrange. 1995. In: Sciences de la société, n°37, 1996. Territoires frontaliers. Discontinuité et cohésion. pp. 214-216
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