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    Val-d’Ajol (Vosges). Église Notre-Dame

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    Dans le cadre des travaux de réfection de l’intérieur de l’église Notre-Dame de Val-d’Ajol, une opération d’archéologie préventive a été prescrite sur une partie des élévations appelées à être ravalées. Dans cet édifice, construit du milieu du xvie s. à 1734-1735 en quatre étapes successives d’est en ouest, l’intervention s’est concentrée sur les collatéraux. L’étude des enduits y a révélé une stratigraphie de six séquences de décor peint. Sur le mortier crème qui recouvre directement les maç..

    L’église paroissiale Saint-Vincent de Sologny

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    Études archéologiques d’enduits peints : les exemples des chantiers de Cergy, Souvigny et Soissons

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    Les trois chantiers présentés illustrent l’étendue du champ de recherche archéologique sur les enduits peints : de l’étude stratigraphique d’enduits conservés in situ (Cergy) ou de l’analyse macroscopique de fragments trouvés en fouille (Souvigny), à l’identification physico-chimique des pigments (Soissons). Cergy-Pontoise (Val d’Oise), l’église Saint-ChristophePour parvenir à la restitution chronologique des états successifs du décor mural , les résultats de l’observation systématique des di..

    Études archéologiques d’enduits peints : les exemples des chantiers de Cergy, Souvigny et Soissons

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    Les trois chantiers présentés illustrent l’étendue du champ de recherche archéologique sur les enduits peints : de l’étude stratigraphique d’enduits conservés in situ (Cergy) ou de l’analyse macroscopique de fragments trouvés en fouille (Souvigny), à l’identification physico-chimique des pigments (Soissons). Cergy-Pontoise (Val d’Oise), l’église Saint-ChristophePour parvenir à la restitution chronologique des états successifs du décor mural , les résultats de l’observation systématique des d..

    L’église Notre-Dame du Val d’Ajol (Vosges). Étude des enduits.

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    Dans le cadre des travaux de réfection intérieure de l’église Notre-Dame du Val d’Ajol, une opération d’archéologie préventive a été prescrite sur une partie des élévations appelées à être ravalées . Sur les conseils du Service Régional de l’Archéologie de Lorraine, le Centre d’études médiévales d’Auxerre, opérateur agréé pour les périodes médiévale et moderne, a été sollicité par la municipalité, maître de l’ouvrage, pour prolonger l’étude archéologique du bâti par une étude des enduits. L’é..

    Polychromie architecturale et vitraux « en trompe-l’oeil » de la cathédrale de Chartres

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    Die Restaurierung der Fenster und des Putzes der beiden westlichen Joche des Langhauses der Kathedrale von Chartres in den Jahren 2010-2012 ermöglichten die Entdeckung von Glasfenster nachahmenden Wandmalereien. Archäologische Untersuchungen dieser Joche bestätigten, dass diese Malereien Teil des ursprünglichen Schmucks der ab 1195 errichteten Kathedrale darstellen. Die ikonographische Analyse offenbart eine enge Verbindung zu der Fenstergruppe des Bauwerkes ; die Absicht, eine ornamentale Einheit zu schaffen, führte zu ihrer Verwirklichung. In der Tat berücksichtigt die Ausführung der oberen Teile der westlichen Joche die architektonischen Leitlinien des Hauptschiffes der Kathedrale, indem zweibahnige und von Okuli bekrönte Blendfenster eingefügt wurden. Das ursprüngliche Malereiprogramm sah anscheinend die Darstellung großer Figuren in den Bahnen vor, jedoch sind nur die Malereien der Okuli erhalten ; es sind Achtpassrosen begleitet von acht kleinen Vierpässen, die genau das Motiv der Obergadenfenster wieder aufnehmen. Sie sind verziert mit auf Thronen sitzenden Musikerfiguren ; unter ihnen ist zweifellos König David zu erkennen. Der Stilansatz der Malereien bestätigt, dass sie untrennbar mit der Ausführung der Glasfenster zusammenhängen, insbesondere mit der der Westrose. Dadurch lassen sich die Malereien auf das erste oder zweite Jahrzehnt des 13. Jhs. datieren und die Absicht einer Einheit beim Entwurf des Dekors der Kathedrale findet somit ihre Bestätigung.In 2010-2012 the restoration of the windows and the render and wall coatings of the two western bays of the nave of Chartres Cathedral revealed wall paintings simulating the presence of windows. Archaeological study of these bays confirmed that they belonged to the original decoration of the cathedral built from 1195 onwards. Their iconographical study testified to their close relation to all the glazing of the building and a desire for decorative unity which probably inspired their realization. Indeed, the upper parts of the western bays respect the architectural conception adopted in the central vessel of the cathedral, with the emplacement of blind bays composed of two lancets crowned by an oculus. If the original painted program seems to have included large figures represented in the lancets, all that is preserved today are the oculi, formed of eight-petal roses with eight small quadrilobes placed above the commissures of the petals, exactly as in the clerestory in the nave. They are decorated with figures of musicians seated on thrones, among whom one probably represents King David. The paintings are closely related stylistically to the stained glass windows, especially the western rose, suggesting a date in the first or second decade of the thirteenth century for the paintings and confirming the insistence on decorative unity that presided in the conception of the gothic cathedral.En 2010-2012, la restauration des vitraux et des enduits des deux travées occidentales de la nef de la cathédrale de Chartres a permis la redécouverte de peintures murales simulant la présence de vitraux. L’étude archéologique menée sur ces travées a confirmé l’appartenance de ces peintures au décor original de la cathédrale élevée à partir de 1195. L’étude iconographique témoigne d’une étroite proximité avec l’ensemble vitré de l’édifice et de la volonté d’unité décorative qui a très probablement conduit à leur réalisation. En effet, la mise en oeuvre des parties hautes des travées occidentales respecte le parti architectural adopté dans le vaisseau central de la cathédrale avec la mise en place de baies aveugles composées de deux lancettes couronnées d’un oculus. Si le programme peint d’origine semble avoir inclus, dans les lancettes, la représentation de grands personnages, on ne conserve néanmoins plus aujourd’hui que les peintures des oculi composées de roses polylobées à huit pétales cantonnée de huit petits quadrilobes qui reprennent très exactement le motif des baies hautes de la nef. Elles sont ornées de figures de musiciens assis sur des trônes parmi lesquels il convient sans doute de reconnaître le roi David. L’approche stylistique de ces peintures témoigne enfin de relations très étroites avec la réalisation des vitraux, en particulier avec ceux de la rose occidentale. Elle conduit à dater ces peintures dans la première ou deuxième décennie du XIIIe siècle et confirme la volonté d’unité décorative qui a présidé à la conception du décor de la cathédrale gothique.Jourd'heuil Irène, Boissard-Stankov Emmanuelle. Polychromie architecturale et vitraux « en trompe-l’oeil » de la cathédrale de Chartres. In: Bulletin Monumental, tome 173, n°3, année 2015. La cathédrale de Chartres, Nouvelles découvertes. pp. 223-248

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