31 research outputs found

    Productions lithiques en plateau et en fond de vallée en habitat au Néolithique moyen II : divergences techniques et économiques avec les exemples de Jossigny « Le Pré du But » (77) et de Neuville-sur-Oise « Chemin Fin de l’Oise » (95)

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    International audienceThe purpose of this article is to bring elements of reflections on the modalities of activities in housing environment, from assemblies lithics resulting from a site of tray in Jossigny (77) and from an activity in alluvial environment in Neuville-sur-Oise (95), these two sets are dated the average Neolithic II. The comparisons highlight techno-economic differences in particular in the management of mineral resources according to the considered circles. In the studio, this production seems directed to technically invested products and in alluvial context towards less elaborate products. The convergences bound to the modalities of activities are marked by a structuring of the housing environment between areas of size, pits were bound to the storage and the sorting of mineral resources.Le but de cet article est d’apporter des éléments de réflexions sur les modalités d’occupations en habitat, à partir d’assemblages lithiques provenant d’un site de plateau à Jossigny (77) et d’une occupation en milieu alluvial à Neuville-sur-Oise (95), ces deux ensembles sont datés du Néolithique moyen II. Les comparaisons font ressortir des différences techno-économiques notamment dans la gestion des ressources minérales en fonction des milieux considérés. En plateau, cette production semble orientée vers des produits techniquement investis et en contexte alluvial vers des produits moins élaborés. Les convergences liées aux modalités d’occupations sont marquées par une structuration de l’habitat entre aires de taille, fosses liées au stockage et tri des ressources minérales

    Nouveaux indices d'occupations de plateau au Néolithique moyen à Cormeilles-en-Parisis (Val-d'Oise)

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    National audienceUn diagnostic archéologique réalisé en 2011 au lieu-dit "Les Bois Rochefort" à Cormeilles-en-Parisis (Val-d'Oise) a permis la mise au jour d'indices d'occupation attribuables à la culture de Cerny, dont une structure de combustion. Le mobilier lithique témoigne d'un travail de débitage et confirme, avec les vestiges en céramique, une datation du Néolithique moyen. Ces indices permettent de compléter le corpus régional pour la période

    Lizy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne), "La Pièce des Pauvres" : Évaluation n° 74/73 - campagne 2002 : TGV Est Européen - Évaluation du lot 12 : Section Charny - Lizy-sur-Ourcq (77) : rapport d'évaluation

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    Le site de Lizy-sur-Ourcq, "La Pièce des Pauvres" a été découvert lors des diagnostics du lot 12 du tracé du TGV-Est en 2001. Il est situé à 12,65 km au nord-est de Meaux sur un plateau dominant la confluence entre l'Ourcq et la Marne. Une fosse livrant du mobilier datant du Néolithique avait alors été identifiée, aucune autre structure n'avait été trouvée dans l'environnement immédiat. Une opération d'évaluation complémentaire visait à décaper une plus large surface afin de déterminer la densité des vestiges et procéder à leur fouille. Quinze structures complémentaires ont été découvertes portant à seize leur nombre. Bien qu'un possible alignement permettrait de supposer un éventuel effet de paroi, il n'est guère possible, avec la pauvreté des témoins, de tirer de plus amples hypothèses à partir de leur distribution. Parmi les fosses découvertes dix ont livré du mobilier lithique ou céramique. Deux fosses se distinguent par la quantité relative de mobilier rencontré, la fosse FS 74007, correspondant à la structure dégagée au diagnostic et la fosse FS 74004. L'étude de la céramique et du mobilier lithique rattachent l'occupation à la fin du Néolithique ancien (Blicquy-Villeneuve Saint-Germain)

    Lizy-sur-Ourcq (Seine-et-Marne), "La Pièce des Pauvres" : Évaluation n° 74/73 - campagne 2002 : TGV Est Européen - Évaluation du lot 12 : Section Charny - Lizy-sur-Ourcq (77) : rapport d'évaluation

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    Le site de Lizy-sur-Ourcq, "La Pièce des Pauvres" a été découvert lors des diagnostics du lot 12 du tracé du TGV-Est en 2001. Il est situé à 12,65 km au nord-est de Meaux sur un plateau dominant la confluence entre l'Ourcq et la Marne. Une fosse livrant du mobilier datant du Néolithique avait alors été identifiée, aucune autre structure n'avait été trouvée dans l'environnement immédiat. Une opération d'évaluation complémentaire visait à décaper une plus large surface afin de déterminer la densité des vestiges et procéder à leur fouille. Quinze structures complémentaires ont été découvertes portant à seize leur nombre. Bien qu'un possible alignement permettrait de supposer un éventuel effet de paroi, il n'est guère possible, avec la pauvreté des témoins, de tirer de plus amples hypothèses à partir de leur distribution. Parmi les fosses découvertes dix ont livré du mobilier lithique ou céramique. Deux fosses se distinguent par la quantité relative de mobilier rencontré, la fosse FS 74007, correspondant à la structure dégagée au diagnostic et la fosse FS 74004. L'étude de la céramique et du mobilier lithique rattachent l'occupation à la fin du Néolithique ancien (Blicquy-Villeneuve Saint-Germain)

    Mont-de-Marsan (40), Les sites Protohistoriques et Médiévaux de Pémégnan 1 et 2

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    La fouille des sites Pémégnan 1 et Pémégnan 2 anticipe la construction d’un centre pénitentiaire sur la commune de Mont-de-Marsan, suite à un sondage diagnostic qui avait délimité deux zones à fort potentiel archéologique, avec des indices d’occupations protohistoriques et médiévaux. Au nord, le site de Pémégnan 1, avec une surface de 1500 mètres carrés, s’attachait à caractériser les indices d’occupation historiques, matérialisés par la présence de céramique médiévale, des scories associées à des reliquats de four ou torchis et des possibles structures négatives. La fouille a permis de délimiter une couche d’occupation sous la forme d’une vaste lentille de plan plus ou moins quadrangulaire. Elle livre un abondant mobilier céramique et quelques objets métalliques, l’ensemble étant daté entre les VIe et VIIe siècles de notre ère. Sous cette couche ou à ses abords immédiats, les structures sont de deux types : des fosses dépotoirs liées au fonctionnement domestique du site, et une structure de combustion interprétée comme un bas-fourneau très arasé. Au sud, la fouille du site de Pémégnan 2 porte sur près de 9000 m². Trois concentrations, attribuées à la protohistoire ancienne (Néolithique final/ Bronze ancien) rassemblent un corpus composé essentiellement de tessons issus de grands vases de stockages. Ces concentrations sont en outre accompagnées d’éléments de meulerie. Plusieurs indices d’occupations postérieures, du Bronze moyen mais surtout du Bronze final, sont plus dispersés sur l’ensemble de la surface étudiée, sans réelle cohérence. L’industrie lithique demeure elle-aussi hétérogène et diachronique. Enfin et toujours sur le site de Pémégnan 2, deux concentrations et une structure caractérisent l’extension des occupations au haut Moyen-Age déjà abordées avec le site de Pémégnan 1. Il s’agit dans le premier cas de simples concentrations, sans aménagements décelables. La structure consiste là encore en un bas-fourneau dont la fouille a livré en très grande quantité des déchets d’activités métallurgiques. Leur étude permet de préciser les modalités de la chaîne opératoire. Pour assurer une étude la plus complète possible des deux zones, la méthodologie instaurée a consisté à fabriquer de grands tamis opérationnels pour assurer un tamisage mécanisé systématique des sédiments selon une grille orthonormée. Plusieurs dizaines de mètres cubes ont ainsi été traités, assurant une représentativité poussée des matériels récoltés, tout en garantissant la possibilité d’analyses spatiales nécessaire à l’analyse d’une fouille extensive

    Varreddes (Seine-et-Marne), "La Cerisière" : TGV Est Européen - diagnostics des zones annexes du lot 12 : section Charny - Lizy-sur-Ourcq (77) : [rapport d'évaluation]

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    La page de titre porte en plus : "Évaluation n° 95 - campagne 2002"Le site de Varreddes, "La Cerisière" a été élaborée à l'été 2002 lors de l'évaluation complémentaire n° 95, dans le cadre des opérations archéologiques préalables à la construction de la ligne à Grande Vitesse Paris-Strasbourg (lot 12 du TGV Est). Les structures découvertes à l'issue du décapage de l'évaluation 95 corroborent la présence d'un site à occupations diachroniques approché lors du diagnostic de 2000 et découvert initialement lors des prospections pédestres de la JPGF à une centaine de mètres plus au nord, au lieu-dit "L'Ormelet". La zone soumise à expertise se développe sur une bande d'une trentaine de mètres de large et un peu moins de 500 m de longueur entre le chemin rural de Meaux à Acy-en-Multien et le chemin de la Fontaine d'Orteuil au sud du chemin de l'Ormelet. L'évaluation se situe à proximité du rebord du plateau qui, entaillé par un ancien méandre de la Marne, domine le centre du village actuel. La fréquentation à la période néolithique est attestée par moins d'une dizaine de contextes répartis sur l'ensemble de l'emprise livrant du mobilier lithique et céramique faible quantité. Il s'agit principalement de fosses. Une cave et un puits maçonnés ainsi que quelques fosses et fossés attestent d'une occupation des lieux à la période romaine. La partialité de la conservation des vestiges, et l'approche sommaire de ceux-ci en contexte d'évaluation ne permet pas de déterminer la nature même du site. La forme même de l'installation échappe à une lecture aisée. Sa durée de vie semble, du moins pour la principale structure rencontrée, assez courte, puisque le mobilier recueilli, en nombre, se situe dans une fourchette chronologique autour de la fin du Ier s. de notre ère. A l'occupation gallo-romaine, succède, après une longue période silencieuse, un habitat de la fin du haut Moyen Âge (Xe-XIe siècle). Celui-ci, regroupé en marge orientale de la zone explorée, comprend un bâtiment rectangulaire sur tranchées de fondation et quelques fonds de cabane. Ces vestiges peuvent être organisés en deux unités distinctes, mais l'étroitesse de l'emprise et les modalités d'intervention obligent à modérer ces interprétations
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