71 research outputs found

    La qualité urbaine dans le projet communautaire

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    Le guide de qualité urbaine de l'agglomération bordelaise, Bordeaux, A'URBA, CUB, novembre 2008, p. 5-1

    La démolition des immeubles de logements sociaux. L'urbanisme entre scènes et coulisses

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    Demolition of social housing building is considered today, as an official and justified action process in 1/ patrimonial management of an obsolete public housing stock, 2/ urban management of working class neightborhoods. Responding to demolition request, firstly ponctual and localized, then more and more numerous and diversified, the state government will resist until 1988 to this inthinkable demolition process, and put forward the " repairing referential " of a generalized rehabilitation policy to the entire social housing stock. The rising development of local urban policies will lead the state government to a first administrative legitimacy of demolition in 1996 in the " urban project process ". The use will be common in 2001, in the name of urban renewal and of limits recognition of the urban policy to reduce the social and spatial segregation phenomena versus " egalitarian city " republican idealism. The long terme resistance of the french state government to transfer to the local authority the arbitration of using demolition for a social vocation public patrimony is analyzed, here, with the help of political science tools, and more particulary these ones of public policy analysis of non-decision making approach. These ones unable us to reveal the internal contradiction of concrete action system composed of the three interdependant partners of the social housing policy implementation : state government, local government and public housing authorities. Thought as between " scenes and screens ", betweem resistance and retreat facing local reality, the urban design project is considered here as a contingent product of actors strategies with divergent interests, about which the demolition thesis allows us to study the production process.La démolition des immeubles de logements sociaux est présentée aujourd'hui comme un mode d'action légal et légitime de la gestion patrimoniale d'un parc social public obsolète et de la gestion urbaine des " cités de la politique de la ville ". En réponse à des demandes de démolition, tout d'abord ponctuelles et localisées, puis de plus en plus nombreuses et diversifiées, l'Etat va opposer jusqu'en 1988 à cet " impensable " de la démolition le référentiel réparateur d'une politique de réhabilitation généralisée à l'ensemble du parc social. Le développement des politiques urbaines locales conduira l'Etat à reconnaître à la démolition une première légitimité administrativement encadrée en 1996 dans le cadre des projets urbains. L'usage en sera banalisé en 2001 au nom du renouvellement urbain et de la reconnaissance des limites de la politique de la ville à réduire les phénomènes de ségrégation socio-spatiale contraires à l'idéal républicain de la " ville égalitaire ". Le temps long de la résistance de l'Etat français à transférer à l'espace public local l'arbitrage du recours à la démolition d'un patrimoine public à vocation sociale est analysé ici à l'aide des outils de la science politique, et plus particulièrement ceux de l'analyse des politiques publiques et de l'approche non-décisionnelle. Ceux-ci permettent de révéler les contradictions internes des systèmes d'action concrets constitués par les trois partenaires interdépendants de la mise en œuvre de la politique du logement social, que sont l'Etat, les collectivités locales et les bailleurs sociaux. Pensé " entre scènes et coulisses ", entre résistances et cessions aux réalités du terrain, l'aménagement de l'espace est considéré ici comme le produit contingent de stratégies d'acteurs aux intérêts divergents, dont le sujet de la démolition nous permet d'étudier les modalités de production

    La fin du tabou de la démolition

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    National audienc

    Habiter la ville. Habitat et transport : Bordeaux, sa rive droite et son tram

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    Café Géo, Bordeaux, 4 avril 200

    Refaire la ville dans les quartiers par la rénovation urbaine

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    L'objet de la présente recherche est de comprendre et révéler la nature et les niveaux d'interactions existants entre les différentes échelles (immeuble, parc immobilier des bailleurs, quartier, commune, agglomération) concernées par des opérations de démolition d'immeubles à vocation sociale relevant de la politique de rénovation urbaine, telle qu'elle se décline dans l'agglomération bordelaise. Il s'agit d'identifier les effets d'un renouvellement urbain posé comme qualifiant socialement et spatialement et vecteur de rééquilibrage territorial et de justice sociale, ainsi que de mettre à jour les " innovations locales " susceptibles de faire progresser cette action publique dans le sens attendu, mais également les diverses résistances à l'œuvre en ce domaine

    Les saisons dans la ville (ss.dir)

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    Dossier thématiqueNational audienc

    Le quartier des Terres Neuves

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    Commune atypique dans le paysage bordelais, Bègles est la seule ville de la communauté urbaine à avoir à sa tête un député-maire écologiste. Alors qu'elle s'apprête à vivre la troisième révolution de son histoire urbaine, sa politique tente de concilier les singularités locales qui font la fierté de ses habitants, la pression d'une agglomération bordelaise impatiente de devenir " millionnaire " et les attendus génériques du Grenelle. Dans une démarche qui se veut éco-responsable, le nouveau quartier des Terres Neuves tente de relever le défi

    Le projet implicite du Vorarlberg

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    Le Vorarlberg, le plus petit des lands autrichiens, a réussi à relever le défi du développement durable de son territoire, tant du point de vue environnemental, qu'économique et social, en adossant son projet et son action politique à ses ressources propres : ses forêts, ses scieries, et son savoir constructif

    Belcier, le prix du renouveau

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    Bastide, Bacalan, Belcier. Chacun de ces quartiers, parce qu’il est situé « de l’autre côté de » : des bassins à flots pour Bacalan, du fleuve pour La Bastide et de la gare Saint-Jean pour Belcier, a connu ses moments d’espoir, d’attente, de déception voire de désarroi, puis d’espoir à nouveau. Quartiers peuplés d’habitants fiers d’avoir participé, de façon industrieuse, à la bonne fortune de la ville. Des habitants rebelles aussi quand cette participation n’était pas récompensée par une attention municipale qu’ils considéraient mériter. Des habitants solidaires également car, être de l’autre côté c’est être ensemble, ici, chez eux et pas ailleurs. Belcier est le quartier qui a le plus attendu mais aussi celui qui connaît aujourd’hui la plus rapide et profonde mutation, à croire que l'un ne va pas sans l'autr
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