14 research outputs found

    Pilot scale production of sea bass (Dicentrarchus labrax) fry

    No full text
    Determination of rearing data enabled production of sea bass fry for three years in Station DEVA-SUD, CNEXO, France. The larval breeding process is described. The food consists of the ROlÎfer Brachionus plicatilis, then nauplii and 1 mm long metanauplii of the Brachiopod Artemia salina. Weaning on dry pellets oceurs when larvae are 35 days old when an optimum temperature curve is respected. Production of season 1977-78 was 380 000 two month old weaned fry.Le loup (Dicentrarchus labrax) est un animal qui a Ă©tĂ© beaucoup Ă©tudiĂ© en Europe du fait de son marchĂ© important et de ses aptitudes Ă  l'Ă©levage. L'essentiel des travaux menĂ©s sur cette espĂšce jusqu'en 1974 a portĂ© sur une production de l'ordre de quelques milliers d'individus au sein de laboratoires spĂ©cialisĂ©s. Depuis 1974, date de la crĂ©ation de la Station DEVA-SUD du CNEXO, un certain nombre de normes d'Ă©levage y a Ă©tĂ© dĂ©terminĂ© en vue de la production Ă  grande Ă©chelle d'alevins de cette espĂ©ce. 200 000 alevins sevrĂ©s et prĂȘts Ă  l'Ă©levage ont Ă©tĂ© produits en 1976, 250000 en 1977. puis 380 000 en 1978 avec une capacitĂ© totale d'Ă©levage de 15 bassins de 10 m3 unitaire

    RĂ©seau national d'observation de la moule bleue Mytilus edulis - MYTILOBS. Campagne 2012

    No full text
    Le rĂ©seau national d’observation de la moule bleue MYTILOBS a Ă©tĂ© mis en place en 2012 sur le littoral atlantique en rĂ©ponse aux interrogations sur les mauvais rĂ©sultats rencontrĂ©s sur la croissance et la qualitĂ© des moules sur bouchot, dans certaines zones de production, les trois annĂ©es prĂ©cĂ©dentes, notamment en 2011. Sa mise Ă  l’eau, prĂ©vue en dĂ©cembre 2011, a Ă©tĂ© repoussĂ©e au mois de mars 2012. Des cinq rĂ©gions productrices de moules sur bouchot, quatre ont Ă©tĂ© retenues comme sites test. Chaque rĂ©gion est identifiĂ©e par une zone gĂ©ographique et un lieu dit : la Bretagne Nord en baie du Mont Saint Michel par Le Vivier-sur-mer, La Bretagne Sud en baie de Vilaine par Pont MahĂ©, Les Pays de Loire dans le Pertuis Breton par l’Aiguillon, le Poitou-Charentes dans le Pertuis d’Antioche par Yves. La Normandie n’a pas pu ĂȘtre Ă©quipĂ©e. En Poitou-Charentes dans le Pertuis Breton, la technique d’élevage sur filiĂšre, tĂ©moin immergĂ©, complĂšte l’observation sur bouchot rĂ©alisĂ©e cette annĂ©e. Dans ce contexte rĂ©gional reprĂ©sentatif, le rĂ©seau doit permettre d’acquĂ©rir des donnĂ©es de croissance et de mortalitĂ© resituĂ©es dans un contexte environnemental physique (tempĂ©rature, salinitĂ©) et phytoplanctonique. Le suivi biologique est rĂ©alisĂ© Ă  parti d’un lot de moules calibrĂ©es (longueur 35,29 +/-0,7 mm) rĂ©parti en paniers de 120 moules, prĂ©levĂ©e individuellement chaque fin de saison : printemps (juin), Ă©tĂ© (septembre), automne (dĂ©cembre) et hiver (mars). La croissance, reprĂ©sentĂ©e par la longueur, caractĂ©rise le printemps comme la saison de plus forte croissance. Les rĂ©gions semblent se distinguer par un schĂ©ma de croissance diffĂ©rent du Sud au Nord avec une croissance en Ă©tĂ©-automne nulle Ă  faible en Poitou-Charentes (Yves) et Pays de Loire (Aiguillon) et plus continue en Bretagne Sud (Pont MahĂ©) et Bretagne Nord (Vivier). La qualitĂ© du produit est restituĂ©e au travers les indices de condition rĂ©fĂ©rents dans la profession (indice de chair CCP 24 et indice de Lawrence et Scott (120) de l’AOP moules de bouchot baie du Mont Saint Michel). Chaque rĂ©gion a un profil spĂ©cifique. La Bretagne Nord (Vivier) doit attendre l’étĂ© pour atteindre la rĂ©fĂ©rence de l’AOP. La rĂ©gion Poitou-Charentes (Yves) n’atteint une qualitĂ© marchande suffisante qu’en Ă©tĂ© (>CCP 24). La mortalitĂ©, paramĂštre difficile Ă  suivre par la profession, est caractĂ©risĂ©e par deux Ă©pisodes de mortalitĂ© estivale importante en Bretagne Sud (38 % Ă  Pont MahĂ©) et Bretagne Nord (27% au Vivier). La tempĂ©rature entre rĂ©gions exprime un gradient Sud Nord classique. La salinitĂ© est soumise aux influences des fleuves en la baie de Vilaine (Vilaine, Loire) et dans les pertuis charentais (SĂšvres Niortaise, Charente, Gironde), alors que la baie du Mont Saint Michel est plus ocĂ©anique. Le phytoplancton, trĂšs printanier dans ces booms, est caractĂ©risĂ© par trois classes dominantes les Diatomophyceae les Dynophyceae et les Euglenophyceae. Le relevage final mars 2013, ne permet pas de finaliser l’ensemble des rĂ©sultats prĂ©sentĂ©s dans ce rapport. L’annĂ©e 2013 verra l’adoption d’un calendrier d’élevage diffĂ©rent pour se rapprocher du cycle d’élevage professionnel : la mise Ă  l’eau de la campagne sera plus prĂ©coce, dĂšs septembre. Les moules proviendront de naissain captĂ© sur corde (captage bouchot – Pertuis Charentais) d’une taille comprise entre 20 et 30mm. Le suivi saisonnier sera rĂ©alisĂ© de septembre 2013 (mise Ă  l’eau) Ă  dĂ©cembre 2014 (relevage final). Les prĂ©lĂšvements saisonniers seront rĂ©alisĂ©s en dĂ©cembre 2013 (P1), mars 2014 (P2), juin 2014 (P3), septembre 2014 (P4) et dĂ©cembre 2014 (P5). La campagne avec mise Ă  l’eau en 2013 portera le nom de campagne 2014 (annĂ©e de rĂ©colte). La biomĂ©trie sera semblable Ă  celle rĂ©alisĂ©e en 2012

    Summer mortality of hatchery-produced Pacific oyster spat (Crassostrea gigas). II. Response to selection for survival and its influence on growth and yield

    No full text
    Response to divergent selection for "high" and "low" survival during the summer period, from July to October, was investigated in juvenile (six-month-old) Pacific oysters, Crassostrea gigas, by producing two sets of progenies in 2002 (Generation 2) and three sets of progenies in 2003 (Generation 3). A strict between-family approach was used and resistance of these selected progenies to summer mortality was assessed in three sites along French coasts, to determine their response to selection and estimate realized heritability of the trait. A significant difference in survival was observed between the "high" and "low" selected groups at all sites for all sets of progenies, indicating a significant genetic component. High realized heritabilities for survival obtained from Generation 2 oysters, ranging from 0.61 ± 0.08 to 0.98 ± 0.15, were in line with previous results from the first generation. Finally, Generation 3 realized heritability, ranging from 0.55 ± 0.18 to 0.81 ± 0.13, supported results from Generation 2. Our results demonstrate that selective breeding to improve survival during the first summer can be successfully implemented and should lead to rapid gains. Overall, selection on survival did not have any impact on growth, although it did have one on yield

    DĂ©fi MOREST - MortalitĂ©s estivales de l'huĂźtre creuse Crassostrea gigas - CaractĂ©risation des facteurs de risques associĂ©s au mortalites estivales - SynthĂšse du thĂšme I - Évaluation des risques dans les Ă©cosystĂšmes conchylicoles. (La Rochelle 14- 15 mars 2006)

    No full text
    L'objectif de ce thÚme est de préciser les relations entre Mortalités et Environnement, en déclinant cette relation à travers les "risques environnementaux" caractérisés depuis le début du programme MOREST. La température, les bassins versant etlou l'eau douce, la ressource trophique, le compartiment sédimentaire, autant de facteurs impliqués directement ou indirectement dans les processus de mortalités de Crassostrea gigas. Ces facteurs d'influence "externe" sont étudiés à différentes échelles d'espace ("nationale", "régionale", "sites") et de temps (annuelle, mensuelle, bimensuelle, journaliÚre, horaire, infra horaire) en s'appuyant sur des données issues de bases institutionnelles (REMORA', REPHY~, METEO-FRANCE) et sur les résultats de terrain obtenus depuis le début du programme MOREST sur les 3 sites ateliers (Marennes Oléron, RiviÚre d'Auray, Baie des Veys

    Effects of age and environment on survival of summer mortality by two selected groups of the Pacific oyster Crassostrea gigas

    No full text
    This study investigated the effects of age (first or second summer of life) and environment (three study sites on French coasts) on summer mortality in Crassostrea gigas, using three generations of oysters produced during the Morest project. For each generation, two groups of oysters, selected either as 'resistant' (R) or 'susceptible' (S) to summer mortality at the age of 6 months in RiviÚre d'Auray (RA, South Brittany), were evaluated. In Ronce (Marennes-Oléron Bay) and RA, R oysters had low mortality during their first and second summers, while mortality was higher during the second summer in Baie des Veys (BDV, Normandy). In RA, S oysters exhibited higher mortality during their first summer than during their second, while the opposite result was found in BDV, indicating a significant environment by age interaction. Some oysters were also protected from mortality risk factors during their first year by keeping them in a nursery; they were then deployed at the two sites the following spring. Mortality in R oysters during their second year was lower than in S oysters in RA and BDV. Interestingly, mortality of the S oysters deployed in RA during their second year was much lower than the mortality observed in S oysters deployed during their first year, suggesting that S juveniles are more susceptible to summer mortality than S adults. As a consequence, the difference in mortality between the two selected groups in RA decreased from 40-45% to 5-9% when oysters were protected from summer mortality at the juvenile stage. In BDV, the difference in mortality between the two selected groups was similar whether oysters were deployed during their first or second year. The first reproductive event in oysters, combined with genetic differences between the groups interacting with local environmental conditions can go some way to explaining summer mortality events in our study. Cumulative mortality for each generation and site was higher in the S group than in the R group, indicating a positive response to selection in oysters up to 18 months old. Mortality was split into three categories: low background mortality, genetic effects from the selection and unknown mortality on which no investigation has yet concentrated. Finally, culture strategy on oyster farms is discussed with respect to oyster age and environment

    Qualité du Milieu Marin Littoral. SynthÚse Nationale de la Surveillance. Edition 2009

    No full text
    Ce document constitue une synthĂšse nationale proposĂ©e en complĂ©ment des bulletins de la surveillance publiĂ©s chaque annĂ©e par les Laboratoires Environnement Ressources (LER) de l’Ifremer. Elle prĂ©sente les principaux rĂ©sultats obtenus jusqu’en 2008 par les diffĂ©rents rĂ©seaux de surveillance, rĂ©seau de contrĂŽle microbiologique (REMI), rĂ©seau de surveillance phytoplancton et phycotoxines (REPHY), rĂ©seau d’observation de la contamination chimique (ROCCH) et rĂ©seau mollusques des ressources aquacoles (REMORA). Le rĂ©seau de contrĂŽle microbiologique (REMI) permet d’évaluer les niveaux de contamination microbiologique dans les coquillages et de dĂ©tecter les Ă©pisodes de contamination. Les donnĂ©es de surveillance permettent Ă©galement d’estimer la qualitĂ© microbiologique d’une zone et son adĂ©quation avec le classement de l’Administration. Le traitement des donnĂ©es acquises sur les 10 derniĂšres annĂ©es permet de suivre l’évolution des niveaux de contamination. Il apparaĂźt que la contamination est stable pour 66% des sites disposant d’un nombre suffisant de donnĂ©es sur une pĂ©riode dĂ©cennale, c’est le cas notamment dans le FinistĂšre ou les Ă©tangs languedociens. Une dĂ©gradation est observĂ©e pour 20% des sites que l’on peut localiser, notamment en Normandie et sur les dĂ©partements d’Ille-et-Vilaine et des CĂŽtes d’Armor. Enfin, l’amĂ©lioration de la qualitĂ© microbiologique est relevĂ©e sur 14% des sites, notamment dans la zone des pertuis charentais. Le rĂ©seau de surveillance du phytoplancton et des phycotoxines (REPHY) inclut Ă©galement le suivi de l’hydrologie des masses d’eau. Cet ensemble permet de suivre le schĂ©ma classique des Ă©volutions saisonniĂšres des populations phytoplanctoniques, maximales au moment du printemps et minimales en pĂ©riode hivernale, d’observer les taxons dominants et d’identifier les flores toxiques qui peuvent produire des toxines susceptibles de s’accumuler dans les coquillages, toxines lipophiles incluant les toxines diarrhĂ©iques DSP, toxines paralysantes PSP et toxines amnĂ©siantes ASP. Les toxines lipophiles (incluant DSP) induisent des Ă©pisodes toxiques sur une trĂšs large partie du littoral et Ă  diffĂ©rentes pĂ©riodes de l’annĂ©e. En Normandie, en Bretagne dans le FinistĂšre et le Morbihan, ainsi qu’en Loire atlantique et VendĂ©e, les Ă©pisodes toxiques apparaissent plutĂŽt en pĂ©riode printaniĂšre ou estivale. Les pertuis charentais sont Ă©pargnĂ©s, alors que des Ă©pisodes toxiques sont relevĂ©s entre mars et aoĂ»t dans le Bassin d’Arcachon. Les lagunes de la cĂŽte mĂ©diterranĂ©enne du Languedoc-Roussillon sont Ă©galement touchĂ©es durant toute l’annĂ©e, alors que ces Ă©pisodes sont observĂ©s surtout en janvier et fĂ©vrier dans les Ă©tangs corses. Des Ă©pisodes toxiques PSP ne sont observĂ©es en 2008 sur aucune zone du littoral. Les toxines ASP conduisent Ă  des Ă©pisodes toxiques sur les gisements de pectinidĂ©s du FinistĂšre, du Morbihan, et de Loire atlantique. Le rĂ©seau d’observation de la contamination chimique (ROCCH) prĂ©sente les derniers rĂ©sultats obtenus dans le cadre de la stratĂ©gie RNO. On peut observer, sur trois dĂ©cennies, des tendances dĂ©croissantes pour les mĂ©dianes des concentrations calculĂ©es Ă  l’échelle de l’ensemble du littoral. C’est le cas Ă©videmment pour le DDT, mais aussi pour le lindane, le cadmium, le plomb, les PCB. Les niveaux de contamination sont stables pour le mercure, plus variables pour les HAP. A une Ă©chelle locale, on trouve des situations contrastĂ©es, aux embouchures des fleuves, trĂšs fortes contamination en PCB et argent en estuaire de Seine, impact d’anciennes activitĂ©s miniĂšres, comme dans le cas bien connu Ă  prĂ©sent du cadmium en Gironde, ou moins connu pour le plomb et de l’argent Ă  l’embouchure de l’Aulne au sud de la rade de Brest, consĂ©quences des anciennes mines de plomb argentifĂšres des Monts d’ArrĂ©e. Des fonds gĂ©ochimiques naturels expliquent trĂšs probablement les niveaux de chrome et de nickel en baie d’Audierne. Trois mĂ©taux, cadmium, plomb et mercure, sont rĂ©glementĂ©s sur le plan sanitaire. Certains secteurs s’avĂšrent Ă  ce titre impropres Ă  la production de coquillages, comme la Gironde pour le cadmium. Des concentrations proches des seuils rĂ©glementaires sont observĂ©es dans le Bassin de Marennes-OlĂ©ron pour le cadmium et dans la Baie du Lazaret en rade de Toulon pour le plomb. Le rĂ©seau d’observation des mollusques permet de suivre les performances d’élevage et de croissance de deux classes d’ñge, juvĂ©niles et adultes, d’huĂźtres creuses Crassostrea gigas. L’annĂ©e 2008 a Ă©tĂ© marquĂ©e par de fortes mortalitĂ©s atteignant surtout les juvĂ©niles et ceci principalement en pĂ©riode estivale. Cet Ă©pisode de surmortalitĂ© estivale se distingue des Ă©vĂšnements passĂ©s par sa dimension nouvelle en termes d'intensitĂ©, de simultanĂ©itĂ© d'apparition sur le littoral français et de configuration spatiale. L'hĂ©tĂ©rogĂ©nĂ©itĂ© spatiale habituellement observĂ©e entre les diffĂ©rents bassins de production, apparaĂźt en effet gommĂ©e en 2008. La dynamique temporelle de progression habituelle du phĂ©nomĂšne, s'Ă©talant sur plusieurs mois selon un gradient sud - nord, s'est rĂ©duite Ă  quelques semaines. Des situations contrastĂ©es peuvent Ă©galement apparaĂźtre, avec des secteurs peu touchĂ©s comme la Baie de Morlaix en Bretagne nord, ou des diffĂ©rences marquĂ©es entre estran et eau profonde en Bretagne sud. Les huĂźtres adultes ont Ă©tĂ© beaucoup moins touchĂ©es que les juvĂ©niles, bien que le taux de mortalitĂ© soit supĂ©rieur pour cette classe d’ñge aux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. La croissance des huĂźtres, autant juvĂ©niles qu’adultes, ne semble pas corrĂ©lĂ©e aux Ă©pisodes de surmortalitĂ©s enregistrĂ©es, mĂȘme que des performances tout Ă  fait remarquables sont enregistrĂ©es par rapport aux annĂ©es prĂ©cĂ©dentes. L’annĂ©e 2008 se caractĂ©rise, sur les façades Manche - Atlantique, par un hiver doux et pluvieux. Ces conditions climatiques ont constituĂ© un facteur de fragilisation aggravant pour les huĂźtres, qui ont maintenu un mĂ©tabolisme hivernal supĂ©rieur Ă  la normal, et a conduit Ă  des blooms de phytoplancton et des teneurs en chlorophylle a trĂšs Ă©levĂ©s au mois de mai
    corecore