53 research outputs found

    Abondance et structure des populations d’un fruitier spontané : Haematostaphis barteri Hook. F. dans deux sites rocheux en région soudanienne au Togo

    Get PDF
    Haematostaphis barteri est un fruitier spontané rencontré au nord du Togo sur les cuestas et sur la chaîne montagneuse de l’Atakora. L’étude compare les structures de sa population dans ces deux sites (de différents degrés de pression humaine) dans le but de proposer une piste pour sa conservation. Les données relatives au diamètre et à la hauteur d’H. barteri ont été collectées dans 80 placeaux installés suivant sa densitésur le terrain, pour le calcul des paramètres dendrométriques et la construction des courbes de distribution. La densité moyenne d’H. barteri sur les cuestas est 1,6 fois supérieure à celle de l’Atakora. Les distributions en cloche assez similaires indiquent que l’espèce régresse dans les deux sites. Ceci se confirme par les coefficients d’asymétrie positifs, traduisant un déclin des populations. Cela est dû notamment au très faible potentiel de régénération de l’espèce (environ 1 individu/ha). Les cuestas bien que sous forte emprise humaine semblent constituer l’habitat privilégié d’H. barteri au Togo. La protection de tous les individus est nécessaire sur les cuestas et sur l’Atakora pour assurer la conservation in situ de l’espèce.Mots clés : Haematostaphis barteri, structure des populations, densité, espèce menacée, conservation, Togo

    Exploitation Agricole des Berges : Une Strategie D’Adaptation aux Changements Climatiques Destructrice des Forets Galleries dans La Plaine de L’oti

    Get PDF
    L’étude porte sur la dynamique des activités humaines liées aux cours d’eau et leurs impacts environnementaux notamment la dégradation des forêts galeries. Des enquêtes menées auprès de 65 exploitants agricoles, ont permis d’analyser les modes et les facteurs d’exploitation des terres riveraines. Ainsi, dans un contexte d’adaptation aux changements et à l’assèchement climatiques, d’insuffisance de terres, les activités agricoles migrent vers les terres des berges de la plaine de l’Oti. Aussi, des mesures dendrométriques dans les champs, jachères et forêts galeriesont-elles permis de ressortir les impacts négatifs inhérents à ces pratiques anthropiques. Ces impacts sont manifestes à travers de faibles paramètres structuraux obtenus dans les champs et jachères comparativement à ceux dans les forêts galeries. De plus en plus florissantes malgré de nombreuses contraintes naturelles, ces activités agricoles constituent certes, une adaptation aux changements climatiques mais elles dégradent les écosystèmes riverains.Mots-clés: activités humaines, impacts, forêt galerie, plaine de l’Oti, Togo

    Assessment of pesticide residues and trace element contamination in market gardens of Togo

    Get PDF
    All intensive agriculture, like periurban agriculture, uses massive inputs such as agrochemicals. This study aims to assess the environmental impacts of agrochemical use in periurban agriculture in Togo. It was based on the chemical analyses of soil, water and vegetable samples. These analyses were carried out by gas chromatography on extracts from soil, water and vegetable samples. In soil samples, the concentrations of pesticide residues are lower than 20 ìg/kg of dry material. For water samples, contamination levels vary from 0.02 to 1.1 ìg/L of dry material with the highest levels for metalaxyl M (1.1 ìg/L) and for dimethoate (1 ìg/L). In vegetables, the concentrations measured are between 0.01 and 0.1 mg/kg of dry material. All these concentrations are affected by a positive factor of the maximum limits of residues. These agrochemicals, coupled with periurban environmental management led to the high concentrations of trace elements. Lead and cadmium concentrations in water are 10 and 21 times respectively higher than the maximum concentration allowable for drinking water by the WHO. The study showed that inappropriate use of agrochemicals in Togolese periurban agriculture creates ecological disturbances that could affect produce quality.Key words: Togo, periurban agriculture, agrochemicals, pesticide residues, trace element

    Distribution et structure des parcs à Adansonia digitata L. (baobab) au Togo (Afrique de l’Ouest)

    Get PDF
    Les usages diversifiés et rependus des produits surtout à des fins alimentaires du baobab (Adansonia digitata) induits une forte pression sur cette dernière. La présente étude est une contribution à la gestion durable des parcs à A. digitata L. au Togo. Elle a pour objectifs de : (i) déterminer la distribution spatiale des populations à A. digitata et (ii) analyser la structure démographique de ses populations. La méthodologie suivit est basée sur l’inventaire forestier à l’intérieur de 80 placeaux de 50 m x 50 m choisis dans 30 carrés de dimensions 10 km x 10 km. Les paramètres dendrométriques relevés sont : la hauteur totale et le diamètre (dbh ≥ 10 cm) de toutes les espèces ligneuses. Les individus de diamètre < 10 cm sont considérés comme des régénérations potentielles. Au total 52 espèces reparties en 45 genres et 23 familles ont étés recensées. Les familles les plus représentées sont les : Anacardiaceae, Arecaceae, Bombacaceae, Caesalpiniaceae, Moraceae, Rutaceae, Rubiaceae et les Meliaceae. Une classification hiérarchique ascendante des relevés a permis de discriminer 4 parcs à A. digitata : les jardins de case, 2 types de   champs de village et les champs de brousse. L’espèce est plus abondante dans les zones I et II suivie de la zone V, presqu’absente dans la zone IV. La structure en diamètre de l’espèce est en cloche à asymétrique positive avec une prédominance des individus de faible diamètres. Par contre, la structure en diamètre des ligneux des 4 groupements est en « L », montrant une prédominance des individus de très faible diamètre. Compte tenu de l’importance socio-économique de cette espèce, il s’avère nécessaire de mettre des mesures de gestion durable.Mots-clés : parcs à baobab, distribution, structure, Togo

    Sorindeia warneckei Engl. (Anacardiaceae), une espèce multi-usagère de la dépression de la Lama au Togo

    Get PDF
    Sorindeia warneckei est une espèce multi-usagère utilisée comme brosse à dent végétale. Sa pérennité est très menacée à cause des installations humaines et du manque d’informations scientifiques la concernant. La présente étude réalisée dans la dépression de la Lama (Région Maritime du Togo) vise une valorisation de S. warneckei. La collecte des données est basée sur des inventaires phytoécologiques de 51 fourrés couplés à des enquêtes ethnobotaniques semi-directives par interviews individuelles et par focus-groupe. Une diversité de 149 espèces dont 36 préférentielles réparties en 128 genres et 51 familles ont été recensées. Les espèces les plus fréquentes sont respectivement: Zanthoxylum zanthoxyloides, Sorindeia warneckei, Carissa edulis et Azadirachta indica. Les espèces les plus abondantes sont respectivement : C. edulis, Z. zanthoxyloides, S. warneckei, Hexalobus monopetalus et Mallotus oppositifolius. Les investigations ethnobotaniques montrent qu’en plus des tiges de la plante utilisées comme brosse végétale, la pulpe des graines est consommée. La vente des brosses végétales de l’espèce se pratique par certaines femmes de l’ethnie Ouatchi. Cette espèce aux vertus sanitaires et aux potentielles économiques mérite d’être valorisée. Cependant, la forte dégradation des forêts littorales togolaises et des fourrés de la dépression de la Lama est une menace à la survie de l’espèce.Mots-clés : Sorindeia warneckei, brosse végétale, valorisation, dépression de la Lama, Togo

    Évaluation des propriétés antimicrobiennes de Pterocarpus erinaceus

    Get PDF
    Cette étude s’est appuyée sur des données d’enquêtes ethnobotaniques effectuées dans la Région centrale du Togo dans un contexte de valorisation de la flore médicinale. L’étude a permis de ressortir la fréquente utilisation de Pterocarpus erinaceus et Daniella oliveri, dans le traitement de maladies infectieuses. Pour tester l’efficacité de ces deux plantes, des tests ont été effectués sur une bactérie, Staphylococcus aureus et une levure, Candida albicans, des germes souvent impliqués dans des infections. Des extractions ont été réalisées sur les différents organes de ces plantes par épuisement de solvant et par extraction totale hydroalcoolique. Les feuilles, écorces de tronc, écorces de racines et racines des deux (02) plantes se sont révélées actives sur les deux germes avec une CMI variant de 1,875 à 30 mg/ml. La présence d’alcaloïdes, flavonoïdes, tanins, saponines et anthracènes dans ces extraits révélés par l’analyse phytochimique seraient à l’origine de ces activités. Ces résultats justifient l’utilisation de ces deux plantes dans le traitement de certaines onychomycoses et candidoses en médecine traditionnelle dans la préfecture de Tchamba au Togo.Mots clés : Pterocarpus erinaceus, Daniellia oliveri, propriétés antimicrobiennes, phytochimie

    Evaluation des propriétés antimicrobiennes de quatre plantes de la flore togolaise utilisées en médecine traditionnelle dans le traitement des diarrhées infantiles

    Get PDF
    Ce travail a été entrepris afin de justifier l'utilisation traditionnelle de quatre plantes de la flore togolaise dans le traitement des diarrhées infantiles. Les potentiels antibactériens et antifongiques des extraitshydroéthanoliques des feuilles de Byrsocarpus coccineus, Leptadenia hastata, Phyllanthus muellerianus, Pupalia lappacea, et d'écorces de racine de Phyllanthus muellerianus, ont été évalués in vitro par la méthode de dilution en milieu liquide associée à l'étalement sur milieux gélosés. Les germes : Escherichia coli, Shigella flexneri, Salmonella typhi, Salmonella enteritidis et Candida albicans, souvent incriminés dans les maladies diarrhéiques infantiles ont été testés. Les extraits hydroéthanoliques de ces plantes ont inhibé à divers degrés lacroissance in vitro des germes testés, à l'exception de ceux des feuilles de P. lappacea et de B. coccineus qui ont été inactifs respectivement sur C. albicans et S. flexneri. Les concentrations minimales inhibitrices desextraits ont varié de 0,5 à 4 mg/ml. Le test phytochimique a montré que tous ces extraits contiennent des alcaloïdes, des flavonoïdes, des tanins et des saponosides, sauf les extraits des feuilles de P. lappacea et de L.hastata qui ne possèdent respectivement pas d'alcaloïdes et de tanins.Mots clés: Infections diarrhéiques, extraits végétaux, antimicrobiens, phytochimie

    Agrodiversite, gestion paysanne et importance de Dioscorea praehensilis Benth. Dans la zone subhumide du Togo

    Get PDF
    Dioscorea praehensilis Benth. constitue une importante igname dans certains pays del’Afrique de l’ouest et du centre car elle y contribue à la sécurité alimentaire et à laréduction de la pauvreté. Au Togo, bien que cette espèce soit cultivée à des fins deconsommation par certaines populations locales depuis longtemps, elle demeuremarginale. L’objectif de cette étude est d’inventorier la diversité de D. praehensiliscultivé appelé bayèrè dans la zone forestière du Togo, d’analyser sa distribution, d’endocumenter les valeurs socioculturelles, économiques, alimentaires et les pratiquespaysannes de gestion. Pour ce faire des enquêtes ethnobotaniques semi-structurées àl’échelle individuelle et celles de focus groupes ont été conduites dans 34 localitésauprès des producteurs de D. praehensilis et complétées par des observations deterrains. Les données recueillies ont été analysées par la statistique descriptive et lesrésultats présentés sous forme de tableaux et de figures. Selon la couleur du tubercule,les producteurs distinguent quatre types de bayèrè cultivés à savoir le bayèrè « blanc »,le bayèrè « noir », le bayèrè « jaune » et le bayèrè « rouge ». Ces bayèrè sont obtenuspar transplantation et mise en culture d’individus sauvages dans les agroforêts ou dansles jardins de case ou leur préservation lors de l’implantation des agroforêts. Le bayèrèblanc est présent chez tous les producteurs enquêtés (100%) alors que les trois autressont signalés chez moins de 50% des enquêtés. 45% des unités de production de bayèrèsont des jardins de case et 55% des agroforêts. L’héritage (70%), le don (28%) etl’achat (1,2%) des semences assurent le maintien, la transmission et la diffusion desbayèrè et le bouturage la conservation de leur pureté. Les qualités culinaires (100%), laproductivité élevée (100%), la bonne régénération (65%) sont les plus déterminantsdans le maintien des bayèrè. La faible valeur commerciale (34%), la récolte difficile(25%), le manque de semenceaux (23%), l’inadaptabilité aux zones sèches (25%), lerecul de la forêt (24%), la perte des valeurs culturelles (20%), la scolarisation desjeunes (21%) sont les principales contraintes à la production des bayèrè et contribuent àla perte de leur diversité. Cette espèce négligée fait partie du patrimoine économique,biologique, sociale, culturelle locale et dispose d’une potentialité non négligeable luipermettant de jouer un rôle important dans le maintien des moyens de subsistance, lebien-être humain et l'amélioration de la santé.Mots clés: Igname, bayèrè, Dioscorea praehensilis, agrodiversité, gestion, valeurs,contraintes, conservation, sud- ouest Tog

    Description agromorphologique et détermination du potentiel antioxydant des variétés sous-utilisées et nouvellement introduites de maïs, manioc, niébé et piment dans la région Maritime-Est du Togo

    Get PDF
    Au Togo, l’importance accordĂ©e aux variĂ©tĂ©s locales diminue, suite au changement graduel des itinĂ©raires culturaux et des habitudes alimentaires.  Ces variĂ©tĂ©s se trouvent menacĂ©es de disparition, au profit des variĂ©tĂ©s introduites. Pour une gestion durable de cette diversitĂ© locale, une caractĂ©risation morphologique s’avère cruciale. Très peu d’étude ont portĂ©, sur la caractĂ©risation agromorphologique des variĂ©tĂ©s locales des principales cultures (maĂŻs, manioc, niĂ©bĂ© et piment) de la rĂ©gion Maritime-Est du Togo, ainsi que leurs valeurs nutritionnelles. Cette Ă©tude a pour  objectif de faire une description agromorphologique et une dĂ©termination du degrĂ© de menace ainsi que du potentiel antioxydant des variĂ©tĂ©s locales très menacĂ©es et celles nouvellement introduites de maĂŻs, manioc, niĂ©bĂ© et piment. Pour atteindre ces objectifs, des enquĂŞtes  ethnobotaniques sont rĂ©alisĂ©es dans 25 villages, auprès de 126 personnes ressources. Les villages sont choisis afin d’avoir une rĂ©partition homogène et une couverture totale des ethnies. Quant aux personnes ressources, elles sont choisies sur accord des autoritĂ©s locales ayant pris connaissance dudit questionnaire. Les variĂ©tĂ©s locales ont Ă©tĂ© diffĂ©rentiĂ©es grâce aux descripteurs agromorphologiques retenus Ă  cet effet. Le  degrĂ© de menace a Ă©tĂ© dĂ©terminĂ© grâce Ă  la matrice « variĂ©tĂ©s locales x localitĂ©s ». L’analyse en composante principale a permis d’évaluer la structuration de la diversitĂ© locale sur la base des critères agromorphologiques. Les 44 variĂ©tĂ©s locales sont discriminĂ©es en quatre catĂ©gories. Les catĂ©gories des variĂ©tĂ©s locales très menacĂ©es ; menacĂ©es ; assez menacĂ©es et peu menacĂ©es contiennent respectivement quatre, six, dix-huit et seize variĂ©tĂ©s locales. Le test de rĂ©duction de la 2,2-diphĂ©nyl-1-picrylhydrazyle est utilisĂ© pour dĂ©terminer le potentiel antioxydant des extraits des variĂ©tĂ©s locales très menacĂ©es (Ayidzin, Adibolo, Katowali et BlikouhĂ©) et celles introduites. Les variĂ©tĂ©s locales très menacĂ©es ont toutes, un potentiel antioxydant remarquable en comparaison aux variĂ©tĂ©s introduites. Le rapport est de l’ordre de 1,4 pour le piment ; 2,6 pour le maĂŻs ; 5,2 pour le manioc et 6,4 pour le niĂ©bĂ©. Ces donnĂ©es permettront une valorisation de cette agrobiodiversitĂ© en vue de leur sauvegarde. L’utilisation des variĂ©tĂ©s locales permettra ainsi de lutter contre la malnutrition et favorisera une gestion durable de ces ressources phytogĂ©nĂ©tiques. Un profond screening phytochimique s’avère nĂ©cessaire, afin d’identifier les molĂ©cules responsables des diffĂ©rences de potentiel antioxydant. Mots clĂ©s: MaĂŻs, Manioc, Piment, NiĂ©bĂ©, variĂ©tĂ©s locales, agrobiodiversitĂ©, antioxydant, agromorphologiques, 2,2-diphĂ©nyl-1-picrylhydrazyle   English Title: Agromorphological description and determination of the antioxidant potential of the underutilized and newly introduced varieties of maize cassava, cowpea and hot pepper in the Maritime-East region of TogoIn Togo, the importance given to local varieties of plants is decreasing due to the gradual change in cropping patterns and eating habits. These varieties are threatened with extinction for the benefit of introduced varieties. For sustainable management of these local varieties, a morphological characterization is necessary. Little research has been carried out on the agromorphological characterization of local varieties of the main crops(maize, cassava, cowpea and pepper) of the Maritime-East region of Togo, as well as their nutritional values. This study aims to undertake inventory  of the local varieties, to  determine their degree of threat, and to compare the antioxidant potential of the highly endangered local varieties and those introduced (corn, cassava, cowpeas and pepper). To achieve these objectives, ethnobotanical surveys were carried out in 25 villages, with 126resource persons. The villages were chosen in order to have a homogeneous distribution and a total coverage of the ethnic groups. As for the resource persons, they were chosen by agreement of the local authorities who have taken note of the questionnaire. Local varieties have been differentiated by the agromorphological descriptors used for this purpose. The degree of extinction threat was determined by the "local varieties xlocalities" matrix. The principal component analysis made it possible to evaluate the structuring of local diversity on the basis of agromorphological criteria. The 44 local varieties are discriminated in four categories. The category of very threatened local varieties; threatened; fairly threatened and less threatened contain respectively four, six, eighteen and sixteen local varieties. The 2,2-diphenyl-1-picrylhydrazyl reduction test is used to determine the antioxidant potential of the highly endangered local varieties (Ayidzin, Adibolo, Katowali and BlikouhĂ©) and those introduced. The highly endangered local varieties all have significant antioxidant potential compared to the introduced varieties. The ratio was as follows: 1.4 for pepper; 2.6 for maize; 5.2 for cassava and 6.4 for cowpea. These data will, thus, make possible the valorization of this agrobiodiversity with aims to safeguarding. The use of local varieties will thus help to combat malnutrition and promote sustainable management of these plant genetic  resources. A deep phytochemical screening should be necessary to identify the molecules responsible for differences in antioxidant potential. Key words: Maize, cassava, pepper, cowpea, local varieties, agrobiodiversity, antioxidant, agromorphological, 2,2-diphenyl-1-picrylhydrazy

    Évaluation de l’activité antifongique des extraits de Cassia alata L. et de Piliostigma thonningii (Schumach.) Milne Redh. (Fabaceae) sur Candida albicans

    Get PDF
    Les activités antifongiques des extraits de Cassia alata L. et de Piliostigma thonningii (Schumach.) Milne Redh. ont été évaluées sur Candida albicans par la méthode de dilution en milieu liquide couplée à l’étalement sur milieu gélosé. Les résultats obtenus montrent que C. albicans est totalement inhibé par l’extrait éthanolique des feuilles de C. alata et par l'extrait au dichlorométhane des feuilles de P. thonningii avec des concentrations minimales inhibitrices respectives de 0,312 et 0,625 mg/ml.Mots clés : Cassia alata, Piliostigma thonningii, extraits de feuilles, propriétés antifongiques
    • …
    corecore