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    Evaluation des systemes d’irrigation des cultures de Abelmoschus esculentus (L.) Moench et Cucumis sativus L. sur le site maraîcher de Bougoum, au 5ème arrondissement de Niamey (niger, Afrique de l’Ouest)

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    Les rendements de deux espèces de cultures maraîchères, à savoir le gombo (Abelmoschus esculentus) et le concombre (Cucumis sativus) ont été évalués selon quatre systèmes d’irrigation sur les sites maraîchers de Bougoum, à l’Ouest du Niger. Ainsi, les rendements moyens (T/ha) de la production du gombo par le système Traditionnel est le plus élevé (15,1 T/ha), suivi du système Jardin Tropical Africain (14,72 T/ha), ensuite par le système Goutte à Goutte (14,21 T/ha), puis le système par aspersion (8,38 T/ha). Ce dernier est le seul à ne pas donner un résultat comparable à ceux obtenus par la fédération des coopératives maraîchères du Niger (FCMN) qui est de l’ordre de 14 à 30 T/ha. Pour la culture du concombre, l’aspersion et le traditionnel ont donné des résultats satisfaisants, comparables aux résultats de la FCMN (30 à 80 T/ha) et dont les valeurs respectives sont 47,13 T/ha et 47,43 T/ha. Pour les systèmes Goutte à Goutte on obtient des faibles résultats qui pourraient être expliqués d’une part par les dégâts des vers de terre qui ont vidé le contenu des graines semées et d’autres parts l’effet de la chaleur sur les plantules.Mots-clés: irrigation, maraîchage, Bougoum, Niger, Afrique de l’OuestEnglish Title: Evaluation of irrigation systems Abelmoschus esculentus (L.) Moench and Cucumis sativus L. cultures on site gardener from Bougoum, the 5th district of Niamey niger West AfricaEnglish AbstractYields of two species of vegetable crops, namely okra (Abelmoschus esculentus) and cucumber (Cucumis sativus) were investigated using four irrigation systems on the vegetable production sites of Bougoum, west of Niger. Thus, average yields (t/ha) production okra by the traditional system is found to be the highest (15.1 t/ha), followed by the system Jardin Tropical Africa (14.72 t/ha), followed by the Drip system (14.21 t/ha), and the sprinkler system (8.38 t/ha). The latter yielded results that cannot be compared to those obtained by the Federation of vegetable production cooperatives in Niger (FVPCN), which is estimated from 14 to 30 t/ha. Regarding the cultivation of cucumber, sprinkling and traditional yielded respectively 47.13 t/ha and 47.43 t/ha which are satisfactory results comparable to the results of FVPCN (from 30 to 80 t/ha. Finally, the Drip Drip systems yielded poor results, which could be explained not only by the damage of earthworms emptying the contents of the sown seeds, but also the heat effect on seedlings.Keywords: irrigation, vegetable production, Bougoum, Niger, West Afric

    Etudes préliminaires sur l’utilisation alimentaire des plantes spontanées dans les zones périphériques du parc W du Niger

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    La présente étude, conduite dans 2 terroirs villageois (Boumba et Allambaré) de la périphérie du parc W du Niger, vise à répertorier les plantes alimentaires spontanées et à déterminer les préférences paysannes. La méthode de collecte des données repose sur des observations et des interviews ethnobotaniques individuelles etcollectives. Quarante neuf espèces végétales comestibles par les populations locales dont dix espèces herbacées ont été répertoriées. Les organes et produits utilisés sont principalement les fruits (40,91%), les feuilles (36,36%), les inflorescences/fleurs (9,09%), les graines/amandes (10,61%), la gomme (1,52%) et l’hypocotyle (1,52%). Parmi ces espèces comestibles certaines sont exploitées durant toute l’année (12%) et d’autres sont caractérisées par des périodes de récoltes saisonnières. L’utilisation alimentaire concerne la consommation en nature des fruits ou des graines (24 espèces), la préparation de sauce (12 espèces), de bouillie (4 espèces), de boisson (2 espèces), de salade (17 espèces) et du couscous (19 espèces). Plusieurs espèces sont en régression. ABoumba, 14 espèces ont été déclarées menacées de disparition contre 12 à Allambaré. Le transport constitue également un facteur limitant pour la valorisation des Produits Forestiers Non Ligneux (PFNL). Des programmes de conservation et de valorisation des espèces à usages multiples doivent être encouragés pour diminuer le risque de dégradation de l’environnement immédiat du parc W du Niger.Mots clés: Utilisation, communautés locales, cueillette, préférences paysannes, espèces spontanées, parc W, Niger

    Evaluation agro-morphologique des variétés et/ou écotypes locaux d’oignon du Niger

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    Vingt et une (21) variétés et/ou écotypes locaux d’oignon collectés dans différentes régions du Niger ont été caractérisés dans la station expérimentale de l’INRAN à Konni dans le sud-est du Niger. Les caractèresagronomiques qualitatifs et quantitatifs étudiés sont ceux recommandés par l’Institut International des Ressources Phytogénétiques (IPGRI, 2001). Ainsi, la longueur, la largeur, le poids, la couleur et la densité desfeuilles, le port, la vigueur des plants, le poids, le diamètre, la hauteur, la couleur et l’uniformité des bulbes et le nombre de bourgeons végétatifs ont été observés. A l’issue de l’analyse des résultats, il ressort unecorrélation positive entre la longueur des feuilles et la hauteur de bulbes (0,704), le diamètre des bulbes et le rendement (r2 = 0,653), la hauteur et le diamètre des bulbes (r2 = 0,618), le nombre de bourgeons végétatifs et la matière sèche (r2 = 0,570), et la longueur des feuilles et le cycle (r2 = 0, 522). Après analyse des caractères agro-morphologiques et physiologiques quantitatifs, trois groupes ont été remarqués dont 71% de variétés et/ou écotypes locaux pour le premier, 19% pour le deuxième et 10% pour le troisième, tandis qu’aucune corrélation n’a été observée au niveau des caractères qualitatifs. La variabilité observée dans les groupes est plus grande que celle qui existe entre les groupes, ce qui explique la présence des écotypes de différentes couleurs et différentes régions dans un même groupe. Une analyse moléculaire est plus que nécessaire pour confirmer cette diversité des variétés et/ou écotypes locaux d’oignon du Niger.Mots clés: Oignon, diversité, caractérisation agro-morphologique, Niger

    Diversité des champignons basidiomycètes à carpophores inféodés à certaines espèces des Caesalpiniaceae du Parc National du W du Niger (Afrique de l’Ouest)

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    Objectif : Ce travail a pour objectif de contribuer à la connaissance des macromycètes du Niger.Méthodologies et résultats : L’étude a été conduite dans le Parc National du W du Niger qui se trouve dans la zone la plus riche en biodiversité du pays. Ainsi, un inventaire des champignons a été réalisé dans quatre types de formations végétales. Il s’agit de la savane arborée plus ou moins arbustive à Afzelia africana et Combretum glutinosum (Site 1) ; de la forêt claire à Isoberlinia doka et Anogeissus leiocarpa (Site 2) ; de la forêt claire à Isoberlinia doka et Berlinia grandiflora (Site 3) et la savane arborée plus ou moins arbustive à Burkea africana et Terminalia avicennioides (Site 4). Au total, cinquante-six (56) espèces de macromycètes ont été recensées sur les sites explorés. Les espèces ectomycorhiziennes s’élèvent à vingt-quatre (24) dont dix-sept (17) dans le site 1, onze (11) au niveau du site 3, trois (3) dans le site 2 et une (1) sur le site 4. Ceci est lié à la présence des certaines essences forestières de la famille des Caesalpiniaceae, à savoir A. africana, I. doka et B. grandiflora.Conclusion et application des résultats : cinq (5) espèces fongiques ectomycorhiziennes (Amanita odorata, A. subviscosa, Lactarius gymnocarpoides, Phylloporus purpureus et Russula albofloccosa) sont communes à la fois à la savane arborée plus ou moins arbustive à A. africana et C. micranthum et à la forêt claire à I. doka et B. grandiflora.Mots-clefs : Macromycètes, Basidiomycètes, Écologie, Caesalpiniaceae, Parc National du W, Niger, Afrique de l’Ouest

    5-Fu inclusion complex capped gold nanoparticles for breast cancer therapy

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    We have attempted to prolong the circulation time and increase the solubility of 5-Fluorouracil by complexing it with cyclodextrin and then further conjugating onto the gold nanoparticle to form 5Fu ICAu. The 1H NMR and molecular docking studies suggested that 5-Fu was included within the 2HP-β-CD cavity and H-5 proton probably serves as the binding site for stabilization of the inclusion complex. The 5Fu-ICAu showed higher cell inhibition rate when studied on MDA-MB-231 and MCF-7 breast cancer cell lines due to the enhanced permeability and retention (EPR) effect by allowing the selective accumulation of nanoparticles at tumor site. This unique system can serve as a novel nanocarrier for delivery of hydrophobic drugs

    Évaluation des niveaux de contamination en éléments traces métalliques de laitue et de chou cultivés dans la vallée de Gounti Yena à Niamey, Niger

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    Objectifs : Située en plein centre ville et cernée par de nombreuses sources de pollution métallique, la vallée de Gounti Yena est l’une des principales zones de cultures maraîchères de la ville de Niamey. Cette étude a pour but de déterminer les teneurs en métaux des végétaux cultivés dans cette vallée.Méthodologie et résultats : Des prélèvements des échantillons de laitue (Lactuca sativa) et du chou (Brassica oleracea) ont été réalisés sur 3 sites retenus en fonction de leur proximité à des sources de pollution métallique. Les concentrations en éléments traces métalliques (ETM) des végétaux prélevés ont été analysées par spectrométrie de masse avec plasma à couplage inductif (ICP-MS) après digestion acide. Les résultats obtenus montrent une importante accumulation des ETM par le chou et la laitue cultivés dans la vallée de Gounti Yena. En effet, les teneurs moyennes en ETM atteignent 0,60; 3,73 ; 8,19 ; 2137,28 ; 2,85; 5,17 et 157,51 mg/kg MS respectivement pour cadmium (Cd), chrome (Cr), cuivre (Cu), fer (Fe), nickel (Ni), plomb(Pb), et zinc (Zn).Conclusion et application de la recherche : La détection dans le chou et la laitue des métaux comme Cd, Cr, Fe, Zn et surtout le Pb qui ont des effets néfastes sur la santé humaine, à des concentrations supérieures aux normes autorisées, pousse à rechercher les déterminants de leurs transferts vers les plantes cultivées. Des mesures adéquates pourront alors être prises par les autorités compétentes pour limiter ou réduire la contamination des végétaux évoluant dans cette vallée.Mots Clés: Contaminations, ETM, Végétaux, Normes, Gounti Yena, Niame
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