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    Migration, exil et traduction

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    Dans le cadre des rapports transversaux entre les sphères linguistiques germanophone et francophone en Europe, les conditions et les pratiques de la traduction, envisagées dans une perspective diachronique, sont enrichies, dans la lignée du spatial turn des études culturelles, par le facteur espace, afin de montrer ou d’interroger la coïncidence entre la circulation des personnes et des textes. Dans quels cas, dans quelles périodes historiques en particulier le déplacement des hommes favorise-t-il la prise en compte de l’étranger ? Quel est le lien avec la traduction ? Quelles sont les différences dans la position sociale et institutionnelle du traducteur d’une ère culturelle à l’autre ? Y a-t-il des lieux spécifiques de la traduction ? Traduction et histoire mettent-ils en jeu des transferts binaires, triangulaires ? La réflexion s’inscrit globalement dans un temps long, allant du Moyen Âge à nos jours, la période du xviiie au xxe siècle étant cependant privilégiée, et certains moments clés comme la Révolution française, l’entre-deuxguerres (pour les exilés allemands) et la période de l’Occupation, étant cruciaux

    L'évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d'investissement public. Rapport du groupe de travail

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    Pour une bonne allocation des ressources de la puissance publique, l’objectif de l’évaluation socioéconomique est d’apprécier, avec des critères transparents, l’utilité et l’intérêt collectif de projets d’investissement public ou de politiques publiques, y compris vis-à-vis de la protection de la santé des personnes dont l’enjeu est d’une importance particulière. Pourtant, la prise en compte des effets sur la santé dans les évaluations est souvent réduite à des tentatives isolées et exploratoires. Le manque d’outils ou de valeurs monétaires permettant d’évaluer et de valoriser les effets relatifs à la santé des personnes – on parlera d’« effets de santé » dans ce rapport pour couvrir à la fois les maladies et la qualité de vie, terme utilisé en économie de la santé1 – apparaît comme l’une des raisons de leur absence des évaluations socioéconomiques ex ante, ce qui revient finalement à considérer qu’ils sont nuls lors de la prise de décision. Dans ce contexte, mais également pour encourager le transfert des avancées méthodologiques du secteur de la santé (tel le recours à un indicateur synthétique de santé) vers d’autres secteurs et rendre explicite un coût de l’inaction, le Comité d’experts des méthodes d’évaluation socioéconomique, installé par France Stratégie et le Secrétariat général pour l’investissement, a lancé un groupe de travail sur l’évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d’investissement public. Il a confié la présidence de ce groupe à Benoît Dervaux, économiste de la santé, maître de conférence-praticien hospitalier de santé publique à l’université de Lille et au Centre hospitalier universitaire de Lille (UMR 1167 RID-AGE), et Lise Rochaix, professeure agrégée des universités en sciences économiques à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, affiliée à l’École d’économie de Paris et responsable scientifique de la chaire Hospinnomics, EEP et AP-HP. Ce groupe a cherché à établir une méthodologie d’estimation des coûts tangibles et intangibles des effets de santé qui puisse être appliquée à différents secteurs, dont quatre en particulier : dommages psychologiques des inondations, bénéfices de bénéfices de santé de l’activité physique dans l’espace public

    L'évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d'investissement public. Rapport du groupe de travail

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    Pour une bonne allocation des ressources de la puissance publique, l’objectif de l’évaluation socioéconomique est d’apprécier, avec des critères transparents, l’utilité et l’intérêt collectif de projets d’investissement public ou de politiques publiques, y compris vis-à-vis de la protection de la santé des personnes dont l’enjeu est d’une importance particulière. Pourtant, la prise en compte des effets sur la santé dans les évaluations est souvent réduite à des tentatives isolées et exploratoires. Le manque d’outils ou de valeurs monétaires permettant d’évaluer et de valoriser les effets relatifs à la santé des personnes – on parlera d’« effets de santé » dans ce rapport pour couvrir à la fois les maladies et la qualité de vie, terme utilisé en économie de la santé1 – apparaît comme l’une des raisons de leur absence des évaluations socioéconomiques ex ante, ce qui revient finalement à considérer qu’ils sont nuls lors de la prise de décision. Dans ce contexte, mais également pour encourager le transfert des avancées méthodologiques du secteur de la santé (tel le recours à un indicateur synthétique de santé) vers d’autres secteurs et rendre explicite un coût de l’inaction, le Comité d’experts des méthodes d’évaluation socioéconomique, installé par France Stratégie et le Secrétariat général pour l’investissement, a lancé un groupe de travail sur l’évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d’investissement public. Il a confié la présidence de ce groupe à Benoît Dervaux, économiste de la santé, maître de conférence-praticien hospitalier de santé publique à l’université de Lille et au Centre hospitalier universitaire de Lille (UMR 1167 RID-AGE), et Lise Rochaix, professeure agrégée des universités en sciences économiques à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, affiliée à l’École d’économie de Paris et responsable scientifique de la chaire Hospinnomics, EEP et AP-HP. Ce groupe a cherché à établir une méthodologie d’estimation des coûts tangibles et intangibles des effets de santé qui puisse être appliquée à différents secteurs, dont quatre en particulier : dommages psychologiques des inondations, bénéfices de bénéfices de santé de l’activité physique dans l’espace public

    L'évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d'investissement public

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    Pour une bonne allocation des ressources de la puissance publique, l’objectif de l’évaluation socioéconomique est d’apprécier, avec des critères transparents, l’utilité et l’intérêt collectif de projets d’investissement public ou de politiques publiques, y compris vis-à-vis de la protection de la santé des personnes dont l’enjeu est d’une importance particulière. Pourtant, la prise en compte des effets sur la santé dans les évaluations est souvent réduite à des tentatives isolées et exploratoires. Le manque d’outils ou de valeurs monétaires permettant d’évaluer et de valoriser les effets relatifs à la santé des personnes – on parlera d’« effets de santé » dans ce rapport pour couvrir à la fois les maladies et la qualité de vie, terme utilisé en économie de la santé1 – apparaît comme l’une des raisons de leur absence des évaluations socioéconomiques ex ante, ce qui revient finalement à considérer qu’ils sont nuls lors de la prise de décision. Dans ce contexte, mais également pour encourager le transfert des avancées méthodologiques du secteur de la santé (tel le recours à un indicateur synthétique de santé) vers d’autres secteurs et rendre explicite un coût de l’inaction, le Comité d’experts des méthodes d’évaluation socioéconomique, installé par France Stratégie et le Secrétariat général pour l’investissement, a lancé un groupe de travail sur l’évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d’investissement public. Il a confié la présidence de ce groupe à Benoît Dervaux, économiste de la santé, maître de conférence-praticien hospitalier de santé publique à l’université de Lille et au Centre hospitalier universitaire de Lille (UMR 1167 RID-AGE), et Lise Rochaix, professeure agrégée des universités en sciences économiques à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, affiliée à l’École d’économie de Paris et responsable scientifique de la chaire Hospinnomics, EEP et AP-HP. Ce groupe a cherché à établir une méthodologie d’estimation des coûts tangibles et intangibles des effets de santé qui puisse être appliquée à différents secteurs, dont quatre en particulier : dommages psychologiques des inondations, bénéfices de bénéfices de santé de l’activité physique dans l’espace public

    L'évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d'investissement public. Rapport du groupe de travail

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    Pour une bonne allocation des ressources de la puissance publique, l’objectif de l’évaluation socioéconomique est d’apprécier, avec des critères transparents, l’utilité et l’intérêt collectif de projets d’investissement public ou de politiques publiques, y compris vis-à-vis de la protection de la santé des personnes dont l’enjeu est d’une importance particulière. Pourtant, la prise en compte des effets sur la santé dans les évaluations est souvent réduite à des tentatives isolées et exploratoires. Le manque d’outils ou de valeurs monétaires permettant d’évaluer et de valoriser les effets relatifs à la santé des personnes – on parlera d’« effets de santé » dans ce rapport pour couvrir à la fois les maladies et la qualité de vie, terme utilisé en économie de la santé1 – apparaît comme l’une des raisons de leur absence des évaluations socioéconomiques ex ante, ce qui revient finalement à considérer qu’ils sont nuls lors de la prise de décision. Dans ce contexte, mais également pour encourager le transfert des avancées méthodologiques du secteur de la santé (tel le recours à un indicateur synthétique de santé) vers d’autres secteurs et rendre explicite un coût de l’inaction, le Comité d’experts des méthodes d’évaluation socioéconomique, installé par France Stratégie et le Secrétariat général pour l’investissement, a lancé un groupe de travail sur l’évaluation socioéconomique des effets de santé des projets d’investissement public. Il a confié la présidence de ce groupe à Benoît Dervaux, économiste de la santé, maître de conférence-praticien hospitalier de santé publique à l’université de Lille et au Centre hospitalier universitaire de Lille (UMR 1167 RID-AGE), et Lise Rochaix, professeure agrégée des universités en sciences économiques à l’université de Paris 1 Panthéon-Sorbonne, affiliée à l’École d’économie de Paris et responsable scientifique de la chaire Hospinnomics, EEP et AP-HP. Ce groupe a cherché à établir une méthodologie d’estimation des coûts tangibles et intangibles des effets de santé qui puisse être appliquée à différents secteurs, dont quatre en particulier : dommages psychologiques des inondations, bénéfices de bénéfices de santé de l’activité physique dans l’espace public

    Le théâtre antique entre France et Allemagne (XIXe-XXe siècles)

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    Au XIXe et au XXe siècle, le théâtre antique a été l'objet d'une vive rivalité mais aussi un terrain d'échanges fructueux entre la France et l'Allemagne. Qu'il s'agisse de traduction, d'interprétation ou de représentation, le rapport des Français au répertoire antique et plus précisément à la tragédie grecque s'est souvent trouvé médiatisé par l'Allemagne, et réciproquement, dans une relation triangulaire faite de défiance et de fascination, largement surdéterminée par les querelles esthétiques et les conflits politiques qui ont jalonné l'histoire des deux pays. Cet ouvrage collectif se propose de revenir sur ce dialogue franco-allemand et d'en éclairer les enjeux, depuis les premiers échanges qui remontent à l'orée du XIXe siècle - à l'occasion des ruptures décisives que furent la traduction d'Eschyle par Humboldt, celle de Sophocle par Hölderlin, ou encore la création d'Antigone à Postdam en 1841, première mise en scène d'une tragédie grecque - jusqu'aux débats contemporains, concernant notamment la redéfinition du rôle des universitaires dans le processus de réception. Réunissant treize contributions de spécialistes venus d'horizons divers (hellénistes, germanistes, comparatistes, historiens du théâtre, traducteurs et musicologues), il propose une approche décloisonnée et interdisciplinaire du théâtre antique et de sa traduction. Cet ouvrage s'adresse aux chercheurs (historiens du théâtre, de la traduction, philologues, comparatistes) et aux étudiants, mais il peut également intéresser tout public curieux du théâtre antique et de l'histoire de sa réception

    Vivre comme on lit

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    Professeur de littérature comparée, critique et écrivain, Philippe Chardin (1948-2017) avait fait sienne la célèbre formule de Robert Musil, « Vivre comme on lit ». Son enseignement et ses livres ont fait rayonner sa confiance passionnée dans les pouvoirs de la littérature. Ce volume lui rend hommage. Parcourant les genres, les époques et les cultures européennes, cet ouvrage interroge les représentations changeantes du livre et de la lecture et revient sur la notion de réception créatrice chère à Philippe Chardin : ce mystérieux processus qui « transforme, de manière diffuse, dans un inconscient littéraire d’écrivain, de la lecture en écriture »
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