Bazas – Rue du 8 mai 1945, Caillavet

Identifiant de l'opération archéologique : 025385 Date de l'opération : 2008 (EX) Les préalables historiques ou archéologiques concernant le lieu-dit Caillavet sur la commune de Bazas étant inexistants, la problématique se limite, selon le cahier des charges du SRA d’Aquitaine à « reconnaître la présence d’éléments du patrimoine archéologique dans l’emprise affectée par l’aménagement, et, le cas échéant, d’en caractériser aussi précisément que possible la nature, la chronologie, l’extension s..

Bergerac – Boulevard Henri Sicard

Date de l'opération : 2005 (EX) Une opération de diagnostic archéologique a été réalisée boulevard Henri-Sicard à Bergerac. Elle présente des résultats positifs concernant le néolithique et l’époque contemporaine. Les périodes intermédiaires (Protohistoire, Antiquité, Moyen Âge et époque moderne) ne sont pas représentées. L’environnement particulier de la moyenne vallée de la Dordogne a pu être appréhendé grâce à la réalisation de tranchées descendues systématiquement jusqu’au toit de la terr..

La Réole – Place Saint-Michel

Identifiant de l'opération archéologique : 025383 Date de l'opération : 2008 (EX) Un projet de reconstruction d’un centre pour enfants et adolescents polyhandicapés a motivé ce diagnostic archéologique. Il a mis au jour une partie d’un cimetière du XVIIIe s. Au nord (sondage 1), les sépultures sont au moins sur deux niveaux avec une puissance stratigraphique d’environ 0,80 m, tandis qu’au sud (sondage 2) on n’observe qu’un seul niveau, sur 0,50 m. Les sépultures, très proches les unes des aut..

Creysse (Dordogne). La Ribeyrie

Le site de la Ribeyrie est connu depuis la campagne de sondages archéologiques menés par L. Bourguignon (INRAP) en 2002 sur le tracé de la déviation nord de la RN 21 à Bergerac. À l’époque, il apparaissait que les structures découvertes étaient précisément liées à une activité métallurgique médiévale. La majeure partie des structures mises au jour est située entre le pied d’un des coteaux de Pécharmant et l’étroite plaine alluviale du Caudeau. Le coteau est aujourd’hui entièrement boisé et la..

Boé (Lot-et-Garonne). Tour Lacassagne

Cette opération de diagnostic située sur la commune de Boé, aux pieds de la tour Lacassagne, a permis de confirmer et de compléter une étude de bâti réalisée en 2005. Son apport principal est la découverte d’un fossé d’enceinte ceinturant la plateforme quadrangulaire qui a très certainement été édifiée à l’aide des sédiments extraits lors du creusement du fossé. En revanche, ce diagnostic infirme l’hypothèse émise lors de l’étude du bâti de la présence d’un rempart ceinturant le sommet de la ..

L’habitat de Naux à Colayrac-Saint-Cirq (Lot-et-Garonne) : une maison forte de bourgeois ?

Le présent article rend compte des résultats d’une opération d’archéologie préventive réalisée en 1999 sur le tracé de la RN 21 au lieu-dit de Naux sur la commune de Colayrac-Saint-Cirq en Agenais. Les vestiges mis au jour présentent toutes les caractéristiques architecturales d’une maison forte de la fin du xive siècle. Les études connexes du mobilier, de la faune, des archives et du paléoenvironnement convergent vers une hypothèse originale : la maison forte de Naux est une résidence bourgeoise à caractère « civil » et au mode de vie aristocratique.This article presents the results of a developer funded excavation carried out in 1999 on the layout of the RN 21 road at the Naux locality of the Colayrac-Saint-Cirq en Agenais commune. The remains brought to light present all the architectural characteristics of a moated residence dating to the late 14th century. The artefact, animal bone, archive and palaeoenvironmental studies all converge towards the original hypothesis : the moated site is a bourgeois residence of civil character, indicative of an aristocratic lifestyle.1999 erfolgte eine Notgrabung auf der Trasse der Nazionalstraße 21 in der Flur Naux der Gemeinde Colayrac-Saint-Cirq (Lot-et-Garonne), im Agenais. Die aufgedeckten Reste zeigen alle baulichen Merkmale eines leicht befestigten Ansitzes (maison-forte) des späten 14. Jhs. Die anschließend vorgenommenen Untersuchungen der Funde, der Fauna, der Schriftquellen und der Umwelt dieser Siedlung zur Zeit ihres Bestehens weisen übereinstimmend auf eine eigentümliche Hypothese hin : Der Ansitz von Naux war der unmilitärische Wohnort von Bürgern mit aristokratischem Lebensstil

Boé (Lot-et-Garonne). Tour Lacassagne [notice archéologique]

Cette opération de diagnostic située sur la commune de Boé, aux pieds de la tour Lacassagne, a permis de confirmer et de compléter une étude de bâti réalisée en 2005. Son apport principal est la découverte d’un fossé d’enceinte ceinturant la plateforme quadrangulaire qui a très certainement été édifiée à l’aide des sédiments extraits lors du creusement du fossé. En revanche, ce diagnostic infirme l’hypothèse émise lors de l’étude du bâti de la présence d’un rempart ceinturant le sommet de la plateforme [...

Pineuilh (33) "La Mothe"

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Les céramiques médiévales du site du Castérot à Sarron (Landes)

We studied a batch of ceramics gathered during a diagnostic boring on a ground close to the walled town of Sarron called the “Castérot”, in the Landes region of France. This collection spreads over a period going from the beginning of the XIVth century to the first half of the XVth. An other hypothesis allows a dating in the first quarter of the XIVth century. It gives us two main interesting informations : 1) the coexistence of two fashioning techniques ; 2) the presence of stone ware from the pottery village of Garos et Bouillon in the Béarn region.L'étude présentée ici porte sur un lot de céramiques recueilli lors d'un sondage-diagnostic réalisé sur un ouvrage de terre, le Castérot, lié à la bastide landaise de Sarron. Cet ensemble, qui fournit des informations non négligeables en terme d'individus, peut être placé dans une fourchette chronologique comprise entre le début du XIVe siècle et la première moitié du XVe siècle. Une autre hypothèse permet d'envisager une datation dans le premier quart du XIVe siècle. L'une ou l'autre de ces attributions s'avère intéressante dans la mesure où l'on note dans ce lot issu d'un site des pays de l'Adour, d'une part, la coexistence de deux techniques de façonnage et, d'autre part, la présence de grès identifiés comme provenant du centre potier béarnais de Garos et Bouillon.Ballarin Catherine, Berdoy Anne. Les céramiques médiévales du site du Castérot à Sarron (Landes). In: Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie, tome 16, 1999. pp. 317-338